Les Ivoiriens sont habitués à leur langage. Celui que leur a enseigné leur chef, le boulanger, le roi de la duplicité. Quand ils disent que c’es blanc, c’est que c’est noir. Quand ils disent « Oui », il faut entendre qu’ils sont en train de dire « Non ». Les Ivoiriens les connaissent comme leurs poches.
Regardez aujourd’hui ce qui se passe. Le pays souffre. Les entreprises luttent contre les fermetures. Il y en a parmi elles qui ont déjà imaginé des astuces pour ne pas disparaître. En tout cas, rien ne va. Mais prenez votre courage à deux mains pour suivre leurs interventions à la télévision qu’ils squattent. Comme tout va mal, ils expliquent à leurs partisans que tout va bien.
Les banques fonctionnent à merveille. Les deux ports du pays sont engorgés. Il n’y a plus suffisamment de places pour les navires qui y accostent. La queue arrive jusqu’à Monrovia pour l’un et Accra pour l’autre. Les Ivoiriens, selon eux, n’ont rien à craindre. Rien ne doit perturber leur sommeil. Le vaincu de la présidentielle de 2010 est le vrai vainqueur du scrutin. Tout baigne dans l’huile. Comme les Ivoiriens les connaissent, ils savent que plus ils (les refondateurs) affichent leur optimisme, moins bien se portent le pays. C’est à croire que ces anciens dirigeants se nourrissent de la souffrance du bon peuple de Côte d’Ivoire. Moins le peuple a à manger, plus ces socialistes à l’ivoirienne organisent des agapes. Ils rient aux éclats quand le peuple pleure. De vrais vampires qui pompent l’énergie des habitants de notre carré. Le peuple se demande alors si les amis à l’international du Machiavel des Lagunes connaissent vraiment leur nouveau camarade de jeu. Pas vraiment ! Quand vous lisez certaines de leurs contributions ou entendez leurs discours, vous vous demandez s’il s’agit de l’opposant historique et de ce que ses partisans et lui ont fait subir, en réalité, au bon peuple de Côte d’Ivoire. On a presqu’envie de leur dire, venez le recruter pour qu’il aille exercer chez vous. Si vraiment le Woody de Mama mène le combat pour la dignité de l’Africain en privant ses compatriotes d’infrastructures de développement, pour aller loger, pour son propre compte, des sommes colossales dans les banques occidentales, il y a de quoi être inquiet. Si promouvoir la démocratie, c’est refuser de se plier à la volonté du peuple, il y a quelque part, quelque chose qui ne tourne pas rond. Peut-être que les amis à l’international du perdant de la présidentielle 2010, prennent le bon peuple de Côte d’Ivoire pour moins que rien. Leurs voix ne pèseraient pas lourd et que leur volonté est frappée de nullité congénitale. Pourquoi raisonneraient-ils ainsi ? Eux seuls le savent
Regardez aujourd’hui ce qui se passe. Le pays souffre. Les entreprises luttent contre les fermetures. Il y en a parmi elles qui ont déjà imaginé des astuces pour ne pas disparaître. En tout cas, rien ne va. Mais prenez votre courage à deux mains pour suivre leurs interventions à la télévision qu’ils squattent. Comme tout va mal, ils expliquent à leurs partisans que tout va bien.
Les banques fonctionnent à merveille. Les deux ports du pays sont engorgés. Il n’y a plus suffisamment de places pour les navires qui y accostent. La queue arrive jusqu’à Monrovia pour l’un et Accra pour l’autre. Les Ivoiriens, selon eux, n’ont rien à craindre. Rien ne doit perturber leur sommeil. Le vaincu de la présidentielle de 2010 est le vrai vainqueur du scrutin. Tout baigne dans l’huile. Comme les Ivoiriens les connaissent, ils savent que plus ils (les refondateurs) affichent leur optimisme, moins bien se portent le pays. C’est à croire que ces anciens dirigeants se nourrissent de la souffrance du bon peuple de Côte d’Ivoire. Moins le peuple a à manger, plus ces socialistes à l’ivoirienne organisent des agapes. Ils rient aux éclats quand le peuple pleure. De vrais vampires qui pompent l’énergie des habitants de notre carré. Le peuple se demande alors si les amis à l’international du Machiavel des Lagunes connaissent vraiment leur nouveau camarade de jeu. Pas vraiment ! Quand vous lisez certaines de leurs contributions ou entendez leurs discours, vous vous demandez s’il s’agit de l’opposant historique et de ce que ses partisans et lui ont fait subir, en réalité, au bon peuple de Côte d’Ivoire. On a presqu’envie de leur dire, venez le recruter pour qu’il aille exercer chez vous. Si vraiment le Woody de Mama mène le combat pour la dignité de l’Africain en privant ses compatriotes d’infrastructures de développement, pour aller loger, pour son propre compte, des sommes colossales dans les banques occidentales, il y a de quoi être inquiet. Si promouvoir la démocratie, c’est refuser de se plier à la volonté du peuple, il y a quelque part, quelque chose qui ne tourne pas rond. Peut-être que les amis à l’international du perdant de la présidentielle 2010, prennent le bon peuple de Côte d’Ivoire pour moins que rien. Leurs voix ne pèseraient pas lourd et que leur volonté est frappée de nullité congénitale. Pourquoi raisonneraient-ils ainsi ? Eux seuls le savent