La Côte d’Ivoire n’a jamais été aussi près du gouffre, au point où il est sérieusement à craindre qu’elle n’y bascule, dans les tout prochains jours. Et, bien évidemment, ce sont les Ivoiriens – le peuple ivoirien dans toute sa composante – qui s’affaleront de tout leur long dans ce précipice de la mort. La « mort » ici se présentant sous l’affreux visage de la grande misère que seul peut générer un manque de ressources aussi aigüe que celui auquel nos compatriotes assistent actuellement, impuissants.
Avec la cascade de fermetures des établissements financiers, notre pays est pour ainsi dire en plein krach. Notamment au double plan économique et financier. Mais peut-être surtout au plan existentiel, la survie des citoyens de ce pays étant tributaire des vicissitudes des mouvements monétaires qui auront ainsi marqué un coup d’arrêt.
L’affolement est donc criant et tout le monde craint le pire. Sans argent que peut en effet la population si ce n’est assister à sa propre mort ? Citibank, Bicici, Access, Brvm, Sgbci, Biao, etc., toutes ces banques fermées, le pays pourrait retourner à l’âge du Cro-Magnon…
Qui est donc l’homme par qui cette véritable hécatombe annoncée est en passe de s’abattre sur les Ivoiriens ? Qui est donc ce bourreau qui veut anéantir son peuple en lui infligeant une famine meurtrière ? Qui, diantre, est cet ennemi du peuple qui veut transformer ce pays en cimetière ?
La réponse à ces interrogations, pour peu qu’on soit logique, honnête et que la justice et la vérité soient la seule boussole qui nous guide, est claire et nette : Laurent Gbagbo. Tout le malheur des Ivoiriens ne vient que de l’ex-chef de l’Etat ivoirien, qui refuse de se soumettre à la volonté de son peuple. Un peuple qui l’a démocratiquement prié de céder son fauteuil à celui qui l’a loyalement battu aux suffrages universels. C’est aussi simple que cela. Tout autre débat n’est que distraction.
Les gorges de mauvaise foi qui se déploient à tue-tête dans le camp du mauvais perdant, ne sont que mues par des projets funestes pour notre peuple.
C’est parce qu’il refuse le jeu démocratique que Laurent Gbagbo a occasionné autant de désolation parmi ses compatriotes, dont plus de 400 ont déjà perdu la vie dans la répression sauvage que les mercenaires à sa solde ont fait abattre sur les Ivoiriens. C’est parce qu’il se croit propriétaire exclusif de la Côte d’Ivoire que l’ancien chef de l’Etat s’obstine à opérer cette OPA sur ce pauvre pays. Ce que ses thuriféraires oublient volontairement de dire, c’est que l’une des raisons de la fermeture effrénée des banques vient du fait que pour être factice, le gouvernement de Gbagbo ne s’est pas moins montré brutal dans le braquage quotidien de ces entreprises financières. Comment laisser exposés aux attaques armées des hommes de Gbagbo des établissements qui emploient des centaines d’Ivoiriens ? La menace qui plane sur ce pays et qui le rend si moribond, ne vient que de Laurent Gbagbo, pas d’une autre personne. Les mesures de rétorsions infligées contre son régime ne sont que la réponse à son refus de la démocratie.
Laurent Gbagbo est un tyran qui, pour sa propre et seule gloire et alors que la coterie qui lui tient de gouvernement s’est emparée des richesses du pays, est prêt à affamer ses compatriotes.
Or, pour ceux qui suivent une certaine presse, la bleue notamment, le responsable de cette situation est tout trouvé. Il s’agirait d’Alassane Ouattara. Par un ahurissant raccourci, cet agrégat de journaux écrit que le Président de la République n’aimerait pas son peuple, puisque c’est sous son instigation que ces banques auraient décidé de baisser rideau. Ils disent ne pas comprendre comment un citoyen ivoirien pouvait entreprendre de faire fermer les établissements financiers qui régulent le salaire de ses propres compatriotes. Ils en ont les yeux imbibés de larmes et crient à la trahison. Bien entendu, le dessein inavoué de ces cris d’orfraie, relais évidents et frénétiques des jérémiades de leurs commanditaires, est de saper l’opinion, de manipuler les consciences en escamotant la réalité des choses.
Evidemment, ceci n’est que mensonges. Pour la simple raison que Ouattara est le Président élu de la République de Côte d’Ivoire et, à ce titre, n’a qu’une seule volonté, celle exprimée tout au long de sa campagne : redonner espoir à son peuple, le faire sortir de la misère dans laquelle il est plongé depuis une décennie. Mais aussi embarquer son pays dans le navire du développement économique et social en mettent son expertise, son expérience et sa compétence au service de ses concitoyens. C’est pour accomplir ce sacerdoce qu’il s’est porté candidat à la présidence de son pays. Comment afficher cette noble mission, se battre pour la rendre applicable et la contredire le moment venu ? C’est donc du pur mensonge, tout ce que distillent les journaux bleus.
Lesquels dans la même foulée accusent la France, l’ONU, l’Union européenne et, de façon générale, la communauté internationale d’être à la base du malheur de Gbagbo. Evidemment, tout n’est que manipulation.
Koré Emmanuel
Avec la cascade de fermetures des établissements financiers, notre pays est pour ainsi dire en plein krach. Notamment au double plan économique et financier. Mais peut-être surtout au plan existentiel, la survie des citoyens de ce pays étant tributaire des vicissitudes des mouvements monétaires qui auront ainsi marqué un coup d’arrêt.
L’affolement est donc criant et tout le monde craint le pire. Sans argent que peut en effet la population si ce n’est assister à sa propre mort ? Citibank, Bicici, Access, Brvm, Sgbci, Biao, etc., toutes ces banques fermées, le pays pourrait retourner à l’âge du Cro-Magnon…
Qui est donc l’homme par qui cette véritable hécatombe annoncée est en passe de s’abattre sur les Ivoiriens ? Qui est donc ce bourreau qui veut anéantir son peuple en lui infligeant une famine meurtrière ? Qui, diantre, est cet ennemi du peuple qui veut transformer ce pays en cimetière ?
La réponse à ces interrogations, pour peu qu’on soit logique, honnête et que la justice et la vérité soient la seule boussole qui nous guide, est claire et nette : Laurent Gbagbo. Tout le malheur des Ivoiriens ne vient que de l’ex-chef de l’Etat ivoirien, qui refuse de se soumettre à la volonté de son peuple. Un peuple qui l’a démocratiquement prié de céder son fauteuil à celui qui l’a loyalement battu aux suffrages universels. C’est aussi simple que cela. Tout autre débat n’est que distraction.
Les gorges de mauvaise foi qui se déploient à tue-tête dans le camp du mauvais perdant, ne sont que mues par des projets funestes pour notre peuple.
C’est parce qu’il refuse le jeu démocratique que Laurent Gbagbo a occasionné autant de désolation parmi ses compatriotes, dont plus de 400 ont déjà perdu la vie dans la répression sauvage que les mercenaires à sa solde ont fait abattre sur les Ivoiriens. C’est parce qu’il se croit propriétaire exclusif de la Côte d’Ivoire que l’ancien chef de l’Etat s’obstine à opérer cette OPA sur ce pauvre pays. Ce que ses thuriféraires oublient volontairement de dire, c’est que l’une des raisons de la fermeture effrénée des banques vient du fait que pour être factice, le gouvernement de Gbagbo ne s’est pas moins montré brutal dans le braquage quotidien de ces entreprises financières. Comment laisser exposés aux attaques armées des hommes de Gbagbo des établissements qui emploient des centaines d’Ivoiriens ? La menace qui plane sur ce pays et qui le rend si moribond, ne vient que de Laurent Gbagbo, pas d’une autre personne. Les mesures de rétorsions infligées contre son régime ne sont que la réponse à son refus de la démocratie.
Laurent Gbagbo est un tyran qui, pour sa propre et seule gloire et alors que la coterie qui lui tient de gouvernement s’est emparée des richesses du pays, est prêt à affamer ses compatriotes.
Or, pour ceux qui suivent une certaine presse, la bleue notamment, le responsable de cette situation est tout trouvé. Il s’agirait d’Alassane Ouattara. Par un ahurissant raccourci, cet agrégat de journaux écrit que le Président de la République n’aimerait pas son peuple, puisque c’est sous son instigation que ces banques auraient décidé de baisser rideau. Ils disent ne pas comprendre comment un citoyen ivoirien pouvait entreprendre de faire fermer les établissements financiers qui régulent le salaire de ses propres compatriotes. Ils en ont les yeux imbibés de larmes et crient à la trahison. Bien entendu, le dessein inavoué de ces cris d’orfraie, relais évidents et frénétiques des jérémiades de leurs commanditaires, est de saper l’opinion, de manipuler les consciences en escamotant la réalité des choses.
Evidemment, ceci n’est que mensonges. Pour la simple raison que Ouattara est le Président élu de la République de Côte d’Ivoire et, à ce titre, n’a qu’une seule volonté, celle exprimée tout au long de sa campagne : redonner espoir à son peuple, le faire sortir de la misère dans laquelle il est plongé depuis une décennie. Mais aussi embarquer son pays dans le navire du développement économique et social en mettent son expertise, son expérience et sa compétence au service de ses concitoyens. C’est pour accomplir ce sacerdoce qu’il s’est porté candidat à la présidence de son pays. Comment afficher cette noble mission, se battre pour la rendre applicable et la contredire le moment venu ? C’est donc du pur mensonge, tout ce que distillent les journaux bleus.
Lesquels dans la même foulée accusent la France, l’ONU, l’Union européenne et, de façon générale, la communauté internationale d’être à la base du malheur de Gbagbo. Evidemment, tout n’est que manipulation.
Koré Emmanuel