Les employés de la micro-finance Micro-Cred sise à Adjamé Saint Michel ont vécu un véritable enfer dans la matinée d’hier, vendredi 18 février. Ils ont reçu la visite de clients spéciaux ; des éléments des Forces de Défense et de Sécurité (FDS). Estimés à plusieurs dizaines, ces hommes du Général Magou ont vidé les coffres-forts de cette micro-finance de son contenu, emportant, selon nos sources, près d’un milliard de nos francs. Et pourtant, cette somme était destinée au paiement d’une partie du personnel de la Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie en Côte d’Ivoire (BICICI).
En effet, selon les informations en notre possession, c’est sur un coup de fil d’un militant du FPI, que ces hommes en armes sont arrivés à cet établissement de crédits. Ses agents auraient appris que l’agence était l’objet d’un braquage. Ayant constaté le contraire, ils décident d’emporter le coffre-fort de Micro-Cred. Malgré les explications des employés, ils ont pris sur eux, la décision d’aller avec ‘’leur butin’’ à l’Agence de la BCEAO (fermée pourtant) pour en connaître le montant exact. Un vrai braquage qui ne dit pas son nom. Aux dernières nouvelles, la Police Economique les a approchés pour nécessité d’enquête. Ont-ils été relâchés par la suite ? Difficile de répondre par l’affirmative. Au moment où nous mettons sous presse la présente édition, ces FDS indélicats seraient encore dans ce lieu. Nous y reviendrons !
J. CESAR
En effet, selon les informations en notre possession, c’est sur un coup de fil d’un militant du FPI, que ces hommes en armes sont arrivés à cet établissement de crédits. Ses agents auraient appris que l’agence était l’objet d’un braquage. Ayant constaté le contraire, ils décident d’emporter le coffre-fort de Micro-Cred. Malgré les explications des employés, ils ont pris sur eux, la décision d’aller avec ‘’leur butin’’ à l’Agence de la BCEAO (fermée pourtant) pour en connaître le montant exact. Un vrai braquage qui ne dit pas son nom. Aux dernières nouvelles, la Police Economique les a approchés pour nécessité d’enquête. Ont-ils été relâchés par la suite ? Difficile de répondre par l’affirmative. Au moment où nous mettons sous presse la présente édition, ces FDS indélicats seraient encore dans ce lieu. Nous y reviendrons !
J. CESAR