Foulant au pied les rapports contractuels qui existent entre les banques et leurs clients consommateurs de services bancaires de manière cavalière et abusive des institutions bancaires comme la BICICI, la SGBCI, la Citibank et la Standard Chartered Bank ont décidé de fermer leurs agences sur le territoire ivoirien sans en avoir au préalable informé leurs clients. Ce mépris à l’égard des cocontractants de ces banques pose le problème du respect des droits du consommateur dans nos pays sous les tropiques par les succursales des multinationales qui y exercent. Sinon comment comprendre qu’en 2011 des banques ferment leurs portes sans informer leurs clients alors que l’accès aux services financiers est un droit fondamental et universellement reconnus à tous les citoyens du monde.
Ces banques qui ferment leurs portes en Côte d’Ivoire, en ayant l’outrecuidance de ne pas informer leurs clients, ce qu’ils ne feraient nulle part ailleurs, nous interpelle tous en tant que citoyens et consommateurs de Côte d’Ivoire à une prise de conscience sur notre devenir. Face à cette situation, la FAC-CI est outrée et ne saurait accepter un tel mépris à l’égard du peuple Ivoirien par des multinationales occidentales déniant tout droit à l’existence.
La FAC-CI exige la réouverture immédiate des agences de ces banques sur tout le territoire national.
La FAC-CI lance un appel à la mobilisation en vue de faire barrage à toutes les initiatives dont le but est d’asphyxier le pauvre consommateur.
La FAC-CI se réserve le droit de saisir les tribunaux pour d’une part que les droits et intérêts des consommateurs soient rétablis ; et d’autre part pour obtenir réparation des préjudices financiers, moraux et humains.
Elle demande aux décideurs de tout mettre en œuvre pour assurer aux consommateurs leur pouvoir d’achat.
La FAC-CI lance enfin un appel aux politiques afin que l’intérêt du pays et du peuple soit préservé au détriment des intérêts bassement mercantilistes et des questions d’égo.
La FAC-CI revient pour la énième fois sur les questions de la cherté de la vie en faisant des propositions concrètes au gouvernement pour apporter des solutions idoines et durables aux problèmes de la cherté de la vie. Ainsi, la FAC-CI propose-une fois de plus pour assurer un contrôle efficient et efficace le blocage des prix des produits de grande consommation suivants :(huile de table, sucre, savon, riz, lait) conformément aux dispositions de l’article 2 de la loi n° 91-999 du 27 décembre 1991 relative à la concurrence.
Fait à Abidjan le 17 Février 2011
Pour la FACCI
Le Président du Conseil d’Administration
DOUKOUA GODE
Ces banques qui ferment leurs portes en Côte d’Ivoire, en ayant l’outrecuidance de ne pas informer leurs clients, ce qu’ils ne feraient nulle part ailleurs, nous interpelle tous en tant que citoyens et consommateurs de Côte d’Ivoire à une prise de conscience sur notre devenir. Face à cette situation, la FAC-CI est outrée et ne saurait accepter un tel mépris à l’égard du peuple Ivoirien par des multinationales occidentales déniant tout droit à l’existence.
La FAC-CI exige la réouverture immédiate des agences de ces banques sur tout le territoire national.
La FAC-CI lance un appel à la mobilisation en vue de faire barrage à toutes les initiatives dont le but est d’asphyxier le pauvre consommateur.
La FAC-CI se réserve le droit de saisir les tribunaux pour d’une part que les droits et intérêts des consommateurs soient rétablis ; et d’autre part pour obtenir réparation des préjudices financiers, moraux et humains.
Elle demande aux décideurs de tout mettre en œuvre pour assurer aux consommateurs leur pouvoir d’achat.
La FAC-CI lance enfin un appel aux politiques afin que l’intérêt du pays et du peuple soit préservé au détriment des intérêts bassement mercantilistes et des questions d’égo.
La FAC-CI revient pour la énième fois sur les questions de la cherté de la vie en faisant des propositions concrètes au gouvernement pour apporter des solutions idoines et durables aux problèmes de la cherté de la vie. Ainsi, la FAC-CI propose-une fois de plus pour assurer un contrôle efficient et efficace le blocage des prix des produits de grande consommation suivants :(huile de table, sucre, savon, riz, lait) conformément aux dispositions de l’article 2 de la loi n° 91-999 du 27 décembre 1991 relative à la concurrence.
Fait à Abidjan le 17 Février 2011
Pour la FACCI
Le Président du Conseil d’Administration
DOUKOUA GODE