La reprise du travail dans les agences de la Bicici et la Sgbci prévue, hier, par le ministre délégué du gouvernement Aké N’Gbo, n’a encore été qu’un effet d’annonce.
En effet, les images des employés de ladite banque recevant leurs salaires, dit-on, a circulé, lundi, sur les antennes de la Radio télévision ivoirienne (Rti). Cela après que la Bicici a fermé le 14 février sans les payer au préalable. La rencontre entre Koné Katinan et les employés de la filiale française tenue sous les feux des projecteurs pour ensuite être brandie à la télévision faisait suite à deux autres rencontres tenues précédemment. Vendredi, il a eu une rencontre avec les délégués du personnel de la Bicici et de la Sgbci. Au cours de ce rendez-vous, les travailleurs ont pris l’engagement, dit-on, de reprendre le travail. C’est donc pour finaliser les conditions de cette reprise qu’une seconde rencontre avec l’ancien Dcc de Gbagbo à Katiola s’est tenue, lundi, à la Caisse régionale des retraités et agents de l’Uemoa (Crae-Uemoa) au Plateau. C’est séance tenante que l’homme du Budget de Laurent Gbagbo a donné l’ordre de payer les employés.
Paiement qui devait se faire avec l’argent saisi vendredi dans une micro-finance à Adjamé. Alors que le Drh de la Bicici s’apprêtait à payer ses employés. Une fois l’argent en leur possession, ils ont déserté les lieux de la rencontre. Ils avaient promis de reprendre le travail hier. Mais ils n’ont pas répondu présents. Certains agents de la Sgbci qui étaient à la rencontre de lundi sont également restés chez eux. Selon des sources, ils ont décidé de ne pas prendre de risque dans le climat d’insécurité qui prévaut. Ils estiment en outre que jusqu’à preuve du contraire, la Bicici et la Sgbci restent des banques privées étrangères. Connaissant les procédures et règles qu’exige la nationalisation d’une banque, ils savent que les décisions du clan Gbagbo n’ont rien de légitimes.
C’est pourquoi les travailleurs des banques ont préféré prendre leurs distances de Koné Katinan et ses généraux.
K.A
En effet, les images des employés de ladite banque recevant leurs salaires, dit-on, a circulé, lundi, sur les antennes de la Radio télévision ivoirienne (Rti). Cela après que la Bicici a fermé le 14 février sans les payer au préalable. La rencontre entre Koné Katinan et les employés de la filiale française tenue sous les feux des projecteurs pour ensuite être brandie à la télévision faisait suite à deux autres rencontres tenues précédemment. Vendredi, il a eu une rencontre avec les délégués du personnel de la Bicici et de la Sgbci. Au cours de ce rendez-vous, les travailleurs ont pris l’engagement, dit-on, de reprendre le travail. C’est donc pour finaliser les conditions de cette reprise qu’une seconde rencontre avec l’ancien Dcc de Gbagbo à Katiola s’est tenue, lundi, à la Caisse régionale des retraités et agents de l’Uemoa (Crae-Uemoa) au Plateau. C’est séance tenante que l’homme du Budget de Laurent Gbagbo a donné l’ordre de payer les employés.
Paiement qui devait se faire avec l’argent saisi vendredi dans une micro-finance à Adjamé. Alors que le Drh de la Bicici s’apprêtait à payer ses employés. Une fois l’argent en leur possession, ils ont déserté les lieux de la rencontre. Ils avaient promis de reprendre le travail hier. Mais ils n’ont pas répondu présents. Certains agents de la Sgbci qui étaient à la rencontre de lundi sont également restés chez eux. Selon des sources, ils ont décidé de ne pas prendre de risque dans le climat d’insécurité qui prévaut. Ils estiment en outre que jusqu’à preuve du contraire, la Bicici et la Sgbci restent des banques privées étrangères. Connaissant les procédures et règles qu’exige la nationalisation d’une banque, ils savent que les décisions du clan Gbagbo n’ont rien de légitimes.
C’est pourquoi les travailleurs des banques ont préféré prendre leurs distances de Koné Katinan et ses généraux.
K.A