Le « garba » a fait du thon un produit alimentaire de grande consommation en Côte d’Ivoire. En tant que tel, sa commercialisation est une bonne niche qui devrait intéresser tout opérateur
économique soucieux de faire des gains intéressants.
Disponible uniquement en mer, Il se décline en plusieurs catégories ou espèces. Ce sont le germon, le listao, l’albacore, le ravil ou, le bonite, le thon blanc, la banane, le patudo et le thon rouge. Le thon que l’on utilise dans la vente du garba et autres plats comme le tchep, le riz gras et autres, est issue des espèces Ravil, thon blanc et banane. Ils forment ce que l’on appelle communément le faux thon. Appelés ainsi à cause de leur incompatibilité à la conserverie contrairement aux autres espèces. Par ailleurs, ces autres espèces, lorsqu’elles sont écorchées ou blessées, sont automatiquement considérées aussi comme faux thon. Les années 90 ont vu l’explosion de la consommation du thon grâce à l’émergence du « poisson garba ».
Par Marius Nouza
nouzatresor@yahoo.fr
Lire la suite de cet article dans le JDE N°103 du lundi 21 au dimanche 27 février 2011
économique soucieux de faire des gains intéressants.
Disponible uniquement en mer, Il se décline en plusieurs catégories ou espèces. Ce sont le germon, le listao, l’albacore, le ravil ou, le bonite, le thon blanc, la banane, le patudo et le thon rouge. Le thon que l’on utilise dans la vente du garba et autres plats comme le tchep, le riz gras et autres, est issue des espèces Ravil, thon blanc et banane. Ils forment ce que l’on appelle communément le faux thon. Appelés ainsi à cause de leur incompatibilité à la conserverie contrairement aux autres espèces. Par ailleurs, ces autres espèces, lorsqu’elles sont écorchées ou blessées, sont automatiquement considérées aussi comme faux thon. Les années 90 ont vu l’explosion de la consommation du thon grâce à l’émergence du « poisson garba ».
Par Marius Nouza
nouzatresor@yahoo.fr
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