Une dizaine de membres des forces de l`ordre fidèles au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo ont été tués mardi à Abidjan lors de combats avec des hommes armés non identifiés dans un quartier favorable à son rival Alassane Ouattara, a-t-on appris de source sécuritaire.
Se rendant en fin de journée pour une intervention dans le quartier d`Abobo (nord), "quatre véhicules du Cecos (Centre de commandement des opérations de sécurité, une unité d`élite, ndlr) sont tombés dans une embuscade", a-t-elle déclaré à l`AFP.
"Tous les occupants ont été tués", a-t-elle précisé, alors que chacun de ces véhicules est composé habituellement de quatre occupants, des gendarmes et des policiers.
"Il y eu des combats à l`arme lourde et l`armée est en train de se déployer dans le secteur", a ajouté cette source, dont les propos ont été confirmés par des responsables du camp Gbagbo.
Une source médicale a indiqué qu`au moins deux gendarmes blessés avaient dû être hospitalisés, dont l`un atteint par des "éclats métalliques" après ces combats.
Des habitants ont fait état de tirs très nourris en fin de journée dans ce quartier où au moins une dizaine de membres des Forces de défense et de sécurité (FDS), dont fait partie le Cecos, ont été tués depuis janvier.
Se rendant en fin de journée pour une intervention dans le quartier d`Abobo (nord), "quatre véhicules du Cecos (Centre de commandement des opérations de sécurité, une unité d`élite, ndlr) sont tombés dans une embuscade", a-t-elle déclaré à l`AFP.
"Tous les occupants ont été tués", a-t-elle précisé, alors que chacun de ces véhicules est composé habituellement de quatre occupants, des gendarmes et des policiers.
"Il y eu des combats à l`arme lourde et l`armée est en train de se déployer dans le secteur", a ajouté cette source, dont les propos ont été confirmés par des responsables du camp Gbagbo.
Une source médicale a indiqué qu`au moins deux gendarmes blessés avaient dû être hospitalisés, dont l`un atteint par des "éclats métalliques" après ces combats.
Des habitants ont fait état de tirs très nourris en fin de journée dans ce quartier où au moins une dizaine de membres des Forces de défense et de sécurité (FDS), dont fait partie le Cecos, ont été tués depuis janvier.