Les jours passent et les banques, les établissements financiers semblent se passer le témoin.
Après les différentes banques, SGBCI, BICICI, UBA, BSIC, Standard Chartered, City Bank, la Coopec (Coopérative d’épargne et de crédits) court inexorablement vers la fermeture. Une fermeture due à un manque de liquidité constaté à différents guichets de cette coopérative d’épargne et de crédit bien implantée sur tout le territoire Ivoirien. D’Abobo Gare en passant par Yopougon, les agences sont ouvertes et bondées de monde mais les caissières attendent plus d’éventuels et hypothétiques dépôts d’argents qui viendraient renflouer un temps soit peu les caisses. Les sociétaires qui à la vue des portes ouvertes, nourrissent le secret espoir de retirer de l’argent, une fois à l’intérieur ont vite fait de déchanter. L’espoir ayant fait place au doute et à la crainte. Lesquels se transforment en désenchantement car, l’information est la même d’une agence à une autre : « il n’y a pas de liquidité ». Avec cette fermeture qui devient de plus en plus inéluctable au fil des jours, les zones les plus reculées de la Côte d’Ivoire vont être touchées de plein fouet par les affres de la crise postélectorale. En effet, cette microfinance avec sa stratégie de proximité, a réussi au fil des années à s’implanter dans toute la Côte d’Ivoire. Et, quand on sait que, cette situation touchera à coup sûr d’autres microfinances, on peut affirmer sans risque de se tromper, que les jours à venir seront de plus en plus sombres pour l’ensemble des Ivoiriens.
K.H
Après les différentes banques, SGBCI, BICICI, UBA, BSIC, Standard Chartered, City Bank, la Coopec (Coopérative d’épargne et de crédits) court inexorablement vers la fermeture. Une fermeture due à un manque de liquidité constaté à différents guichets de cette coopérative d’épargne et de crédit bien implantée sur tout le territoire Ivoirien. D’Abobo Gare en passant par Yopougon, les agences sont ouvertes et bondées de monde mais les caissières attendent plus d’éventuels et hypothétiques dépôts d’argents qui viendraient renflouer un temps soit peu les caisses. Les sociétaires qui à la vue des portes ouvertes, nourrissent le secret espoir de retirer de l’argent, une fois à l’intérieur ont vite fait de déchanter. L’espoir ayant fait place au doute et à la crainte. Lesquels se transforment en désenchantement car, l’information est la même d’une agence à une autre : « il n’y a pas de liquidité ». Avec cette fermeture qui devient de plus en plus inéluctable au fil des jours, les zones les plus reculées de la Côte d’Ivoire vont être touchées de plein fouet par les affres de la crise postélectorale. En effet, cette microfinance avec sa stratégie de proximité, a réussi au fil des années à s’implanter dans toute la Côte d’Ivoire. Et, quand on sait que, cette situation touchera à coup sûr d’autres microfinances, on peut affirmer sans risque de se tromper, que les jours à venir seront de plus en plus sombres pour l’ensemble des Ivoiriens.
K.H
