Le 28 novembre 2010, les Ivoiriens, dans leur très grande majorité, ont décidé de confier le destin de leur pays, au candidat du RHDP. Là-dessus, il ne peut avoir ni ambiguïté, ni débat. Les choses sont claires et limpides. L’ancien opposant historique, celui qui se disait « enfant de l’élection » et père du retour du multipartisme en Côte d’Ivoire a été battu à la loyale. Le bon peuple de Côte d’Ivoire attendait d’afficher sa fierté d’avoir élu, librement, le président de sa République. Il est même content d’avoir fait le bon choix. Et pour cause. Depuis de longs mois ou de longues années, il est convaincu que le socialiste à l’ivoirienne ne peut faire son bonheur. Le monde entier découvre la face réelle de celui que certains intellectuels africains s’efforcent à présenter comme le plus grand des libérateurs des peuples. Comment quelqu’un qui n’a pas réussi à donner la joie, la liberté à ses propres concitoyens peut-il être un faiseur de bonheur pour des populations qui sont situées à mille lieues de chez lui ? Celui qui, à l’échelle réduite de son pays s’est montré incapable de construire la moindre infrastructure de développement, peut-il bâtir à l’échelle continentale, des instruments de développement ? A beau mentir qui vient de loin. Dans notre carré, il montre le visage hideux d’assassin de tout acabit. Depuis son avènement au pouvoir, chaque jour, il y a des familles qui sont endeuillées. Des routes sont détruites, faute d’entretien.
Les caisses de l’Etat sont devenues le portefeuille de famille. C’est de ce monstre qui avale ses enfants tous les jours, qui déstructure son économie et sa société, que le bon peuple veut se débarrasser. Un panel composé de chefs d’Etat viendrait-il l’empêcher de briser cette coque ?
Pourquoi le bon peuple de Côte d’Ivoire devrait-il continuer à souffrir ? Pourquoi ces chefs d’Etat qui œuvrent pour l’émancipation de leurs compatriotes, voudraient-ils maintenir le nôtre dans l’obscurité ? Non, le Panel ne vient pas contre les intérêts du bon peuple de Côte d’Ivoire. Pourquoi en serait-il ainsi ? C’est parce qu’il y a le peuple que le pays existe et que le professeur d’histoire en a été le président et non le contraire. Ceci pour dire que les intérêts du bon peuple de Côte d’Ivoire sont hautement supérieurs à ceux du candidat battu. Les individus passent. Le peuple demeure le même. Et en plus, il a de la mémoire
Les caisses de l’Etat sont devenues le portefeuille de famille. C’est de ce monstre qui avale ses enfants tous les jours, qui déstructure son économie et sa société, que le bon peuple veut se débarrasser. Un panel composé de chefs d’Etat viendrait-il l’empêcher de briser cette coque ?
Pourquoi le bon peuple de Côte d’Ivoire devrait-il continuer à souffrir ? Pourquoi ces chefs d’Etat qui œuvrent pour l’émancipation de leurs compatriotes, voudraient-ils maintenir le nôtre dans l’obscurité ? Non, le Panel ne vient pas contre les intérêts du bon peuple de Côte d’Ivoire. Pourquoi en serait-il ainsi ? C’est parce qu’il y a le peuple que le pays existe et que le professeur d’histoire en a été le président et non le contraire. Ceci pour dire que les intérêts du bon peuple de Côte d’Ivoire sont hautement supérieurs à ceux du candidat battu. Les individus passent. Le peuple demeure le même. Et en plus, il a de la mémoire