Après avoir fabriqué de faux documents politiques, les adversaires d’Eugène Diomandé continuent leur cabale en prétextant un faux et usage de faux, tout simplement parce qu’il a invoqué le gouvernement ivoirien pour réaliser un audit sur la société Comium. Refusant d’entrer dans les détails de l’audit qui dévoile les mensonges dans le financement de l’entreprise par le détenteur de 85 pour cent des parts, et de graves abus de biens sociaux, les adversaires pourtant déboutés par la justice ivoirienne, reprochent à Monsieur Diomandé d’avoir mis en avant la volonté du gouvernement Gbagbo-Soro de l’époque de promouvoir la bonne gouvernance et de trouver les moyens, au besoin un rachat de la société, pour lui permettre d’honorer ses engagements vis-à-vis de l’Etat de Côte d’Ivoire. Pas besoin de produire une lettre, ni un décret pour cela. Eugène Diomandé n’a donc produit aucun document au nom du gouvernement. Alors de quel faux parle –t-on quand aucun faux document n’existe en dehors de l’imagination des plaignants qui mettent en avant une convention ? Ainsi donc, après avoir en vain tenté d’utiliser le nom de Simone Gbagbo, c’est le nom de Laurent Gbagbo qui est désormais mis en avant. Des juges et des responsables de la police, prétendent avoir reçu des instructions expresses de Laurent Gbagbo, pour ne pas exécuter la décision de justice, réintégrant le PCA Diomandé. Dommage que des autorités policières et judicaires veuillent faire croire que Laurent Gbagbo n’est pas du tout préoccupé par la crise postélectorale en cours dans notre pays et que ce qui l’intéresse en ce moment, consiste plutôt à s’acharner sur un honnête citoyen qui ne fait que travailler pour son pays. Ce qui est sûr, la vérité finira par triompher. Et tous ces menteurs et imposteurs qui utilisent le nom de Laurent Gbagbo et de la République seront mis hors d’état de nuire. La cabale et le chantage pour confisquer la société et les parts d’Eugène Diomandé sont voués à l’échec.
I.D
I.D