Dommage, mille fois dommage que Laurent Gbagbo veuille coûte que coûte sacrifier la vie d’innocents jeunes Ivoiriens pour un pouvoir qu’il a déjà perdu ! Dans sa dérive totalitaire et suicidaire, il a donné l’ordre de rouvrir le front Ouest resté calme depuis janvier 2003, jusqu’au putsch électoral qu’il perpétré avec son complice de frère, Paul Yao N’dré, le 03 décembre dernier.
Depuis donc jeudi 24 février, les combats ont repris violemment à Zouan-Hounien, précisément à Téapleu, où les miliciens et mercenaires libériens(Lima) à sa solde multipliaient les exactions et traumatisaient les populations. La semaine dernière, ils avaient ligoté et torturé le chef du village de Téapleu. Comme si cela ne leur suffisaient pas, ils ont provoqué les Forces Nouvelles en avançant leur premier rideau vers Danané contrôlé par les hommes du Général Soumaïla Bakayoko. Tout cela sur ordre de leurs maîtres biens protégés à Abidjan. Et ce qui devait arriver est arriva. Jeudi, aux environs de 04h du matin, la situation a explosé. Mais très rapidement, les éléments du capitaine Eddy, com-zone de Danané ont pris le dessus sur les hommes du Capitaine Roger. Ces combattants, pour la plupart, des miliciens appuyés par quelques FDS et des mercenaires libériens de Lima ont été lourdement matés. Bilan, plus de 80 morts et d’importantes quantités d’armes et de véhicules saisis par les FAFN. Têtus comme le dictateur d’Abidjan, ils ont remis le couvert en faisant appel à des renforts de Lima. Mais là encore, ils sont jetés dans la gueule du loup. Les combats qui se sont déroulés avec une rare violence entre Zouan-Hounien et Bin-Houyé, auraient, selon un témoin joint sur place et une source proche des FAFN, mis la bande à Gbagbo en déroute. Selon les mêmes sources, des DCA, des A52, des 12-7, des obus, des munitions et bien d’autres matériels de guerre ont été saisis et présentés à la population de Danané, hier, en fin de matinée, par le Capitaine Eddy. Il n’en fallait pas plus pour provoquer une hystérie générale dans la ville qui voyait ainsi le danger s’éloigner définitivement d’elle. Aux dernières nouvelles, les FAFN seraient aux portes de Toulépleu, ville qui avait souffert le martyr lors des hostilités de 2002. Les heures qui suivent permettront de savoir si ces miliciens et mercenaires continueront de s’entêter pour un régime totalement fini qui s’accroche désespérément.
MASS D
Depuis donc jeudi 24 février, les combats ont repris violemment à Zouan-Hounien, précisément à Téapleu, où les miliciens et mercenaires libériens(Lima) à sa solde multipliaient les exactions et traumatisaient les populations. La semaine dernière, ils avaient ligoté et torturé le chef du village de Téapleu. Comme si cela ne leur suffisaient pas, ils ont provoqué les Forces Nouvelles en avançant leur premier rideau vers Danané contrôlé par les hommes du Général Soumaïla Bakayoko. Tout cela sur ordre de leurs maîtres biens protégés à Abidjan. Et ce qui devait arriver est arriva. Jeudi, aux environs de 04h du matin, la situation a explosé. Mais très rapidement, les éléments du capitaine Eddy, com-zone de Danané ont pris le dessus sur les hommes du Capitaine Roger. Ces combattants, pour la plupart, des miliciens appuyés par quelques FDS et des mercenaires libériens de Lima ont été lourdement matés. Bilan, plus de 80 morts et d’importantes quantités d’armes et de véhicules saisis par les FAFN. Têtus comme le dictateur d’Abidjan, ils ont remis le couvert en faisant appel à des renforts de Lima. Mais là encore, ils sont jetés dans la gueule du loup. Les combats qui se sont déroulés avec une rare violence entre Zouan-Hounien et Bin-Houyé, auraient, selon un témoin joint sur place et une source proche des FAFN, mis la bande à Gbagbo en déroute. Selon les mêmes sources, des DCA, des A52, des 12-7, des obus, des munitions et bien d’autres matériels de guerre ont été saisis et présentés à la population de Danané, hier, en fin de matinée, par le Capitaine Eddy. Il n’en fallait pas plus pour provoquer une hystérie générale dans la ville qui voyait ainsi le danger s’éloigner définitivement d’elle. Aux dernières nouvelles, les FAFN seraient aux portes de Toulépleu, ville qui avait souffert le martyr lors des hostilités de 2002. Les heures qui suivent permettront de savoir si ces miliciens et mercenaires continueront de s’entêter pour un régime totalement fini qui s’accroche désespérément.
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