Tout le martyre que les Ivoiriens vivent aujourd’hui n’est que l’aboutissement d’un plan savamment concocté par Laurent Gbagbo et ses partisans. Les observateurs du microcosme politique ivoirien sont plus que formels. Tous reconnaissent que la tentative de confiscation du pouvoir par Laurent Gbagbo, la guerre sans merci des mercenaires, miliciens et la garde républicaine contre les populations civiles, avec des armes de guerre, à Abobo, Anyama, Yamoussoukro, Daoukro, Zouan-Hounien sont la finalité de ce que l’homme Gbagbo préparait pendant ses dix années de règne. A cela, il faut comptabiliser bien d’autres actes répréhensibles auxquels l’on assiste ces jours-ci.
Laurent Gbagbo a toujours été dans une logique guerrière
Le ministre de l’Intérieur, assurant l’intérim de celui de la Communication, Hamed Bakayoko, n’a pas manqué de le relever lors de son interview télévisée sur Télé Côte d’Ivoire (TCI), mercredi dernier : « Pendant que nous sillonnions le pays pour faire campagne, Laurent Gbagbo réparait la guerre». La réalité du terrain atteste cela. Pendant qu’Alassane Ouattara, qui croyait dur comme fer, que la présidentielle dernière était organisée pour sortir la Côte d’Ivoire de crise parcourait les dix-neuf régions, pour présenter son programme de gouvernement, Laurent Gbagbo, insidieusement, réunissait les pièces du puzzle d’une guerre fratricide. Violant l’embargo imposé à la Côte d’Ivoire par l’ONU, le refondateur en chef a acheté des armes lourdes. C’est cet arsenal, acquis avec l’argent du contribuable, que les mercenaires et les miliciens recrutés à coups de milliards utilisent pour semer la mort dans les quartiers, villes et communes.
Aussi, c’est dans la logique de rendre son crime de confiscation du pouvoir parfait que Gbagbo a cru bon d’actionner son frère et ami Yao Paul N’Dré. Ce dernier, pour faire plaisir à Gbagbo a cru bon de tordre le cou au Droit en appliquant sa théorie de "Qui perd gagne". En déclarant le candidat LMP vainqueur en lieu et place d’Alassane Ouattara qui a glané 54,1% des suffrages des Ivoiriens.
Toutes ces actions longtemps préparées par Gbagbo plongent aujourd’hui le pays dans une situation presque chaotique. Le président élu est mis dans une situation où il n’a pas la plénitude du pouvoir. Suite à la médiation de dernière chance voulue par l’Union africaine, Ouattara qui a assez fait de concession ne devrait plus tolérer que Gbagbo continue de déglinguer la Côte d’Ivoire. Il ne devrait plus donner droit à une seule proposition de celui qui n’est qu’un usurpateur de pouvoir.
Par-dessus tout, Laurent Gbagbo a su user de malices et d’actions de saupoudrage pour entrainer les Ivoiriens, mains et pieds joints, dans l’abime de la violence. Il a tout mis en œuvre pour que le tissu social ivoirien soit en lambeaux avec la fermeture des banques. Toutes ces actions qui ont fini par rendre la vie difficile aux populations.
Jean- Antoine Doudou
Laurent Gbagbo a toujours été dans une logique guerrière
Le ministre de l’Intérieur, assurant l’intérim de celui de la Communication, Hamed Bakayoko, n’a pas manqué de le relever lors de son interview télévisée sur Télé Côte d’Ivoire (TCI), mercredi dernier : « Pendant que nous sillonnions le pays pour faire campagne, Laurent Gbagbo réparait la guerre». La réalité du terrain atteste cela. Pendant qu’Alassane Ouattara, qui croyait dur comme fer, que la présidentielle dernière était organisée pour sortir la Côte d’Ivoire de crise parcourait les dix-neuf régions, pour présenter son programme de gouvernement, Laurent Gbagbo, insidieusement, réunissait les pièces du puzzle d’une guerre fratricide. Violant l’embargo imposé à la Côte d’Ivoire par l’ONU, le refondateur en chef a acheté des armes lourdes. C’est cet arsenal, acquis avec l’argent du contribuable, que les mercenaires et les miliciens recrutés à coups de milliards utilisent pour semer la mort dans les quartiers, villes et communes.
Aussi, c’est dans la logique de rendre son crime de confiscation du pouvoir parfait que Gbagbo a cru bon d’actionner son frère et ami Yao Paul N’Dré. Ce dernier, pour faire plaisir à Gbagbo a cru bon de tordre le cou au Droit en appliquant sa théorie de "Qui perd gagne". En déclarant le candidat LMP vainqueur en lieu et place d’Alassane Ouattara qui a glané 54,1% des suffrages des Ivoiriens.
Toutes ces actions longtemps préparées par Gbagbo plongent aujourd’hui le pays dans une situation presque chaotique. Le président élu est mis dans une situation où il n’a pas la plénitude du pouvoir. Suite à la médiation de dernière chance voulue par l’Union africaine, Ouattara qui a assez fait de concession ne devrait plus tolérer que Gbagbo continue de déglinguer la Côte d’Ivoire. Il ne devrait plus donner droit à une seule proposition de celui qui n’est qu’un usurpateur de pouvoir.
Par-dessus tout, Laurent Gbagbo a su user de malices et d’actions de saupoudrage pour entrainer les Ivoiriens, mains et pieds joints, dans l’abime de la violence. Il a tout mis en œuvre pour que le tissu social ivoirien soit en lambeaux avec la fermeture des banques. Toutes ces actions qui ont fini par rendre la vie difficile aux populations.
Jean- Antoine Doudou