En réunion de crise le mercredi 23 février 2011 à 16h à Yopougon-SIDECI, le CNJ a analysé toute l’actualité socio-politique du pays.
Le CNJ a noté que la REVOLUTION ORANGE lancée depuis le samedi 19 février 2011 par le Premier ministre de Côte d’Ivoire, Monsieur Guillaume SORO, une REVOLUTION ORANGE soutenue par les Ivoiriens pour exiger le départ du dictateur Laurent Gbagbo du pouvoir, a été une occasion pour l’ancien chef de l’Etat d’exterminer les Ivoiriens aux mains nues.
Ces tueries perpétrées par une soldatesque politico-tribale de Laurent Gbagbo appuyée par des mercenaires libériens, angolais et des miliciens LMP n’ont laissé personne indifférent dans le monde entier à part Laurent Gbagbo et ses partisans.
Le CNJ a donc constaté les faits suivants au cours des cinq jours de manifestations:
l Tueries massives de jeunes ivoiriens à l’aide de roquettes RPG-7, de chars de guerre et de grenades ;
l Assassinat de deux ressortissants de la Mauritanie à Abobo par les miliciens de l’ex. Président ;
l Viols de jeunes filles dans les communes de Koumassi et Treichville;
l Arrestations et enlèvements de civils aux alentours de la mosquée d’Attécoubé par des éléments du CECOS;
l Arrestations et bastonnades des mères de famille devant la Garde Républicaine de Treichville;
l Pillages des magasins à Adjamé et Treichville par des éléments de la CRS;
l Incendies de plusieurs véhicules de transport en commun par des mercenaires à Adjamé et Abobo ;
l Distribution d’armes de guerre aux miliciens et militants LMP à Yopougon, Cocody et Port-Bouët.
Ces faits très graves montrent la volonté d’embrasement de la Côte d’Ivoire par Laurent Gbagbo. Ce dictateur veut laisser au Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, une Côte d’Ivoire en pleine déconfiture.
Vu ces atrocités, le CNJ présente toutes ses condoléances aux familles des jeunes tués, à la communauté mauritanienne de Côte d’Ivoire et à son Président de la République, SEM Mohamed OULD Abdel Aziz.
Le CNJ exprime toute sa compassion aux jeunes blessés, aux jeunes filles violées et aux mères de familles humiliées sans toutefois manifester son soutien aux opérateurs économiques, victimes de pillages et autres destructions de biens.
La gravité des actes et surtout la mauvaise foi affichée par Laurent Gbagbo pour endeuiller les familles ivoiriennes et étrangères, ont amené le CNJ à arrêter les dispositions urgentes suivantes:
1) Le recrutement spécial des Jeunes Volontaires pour la Défense et la Protection de la Patrie ;
2) L’attaque de tous les sites monstrueux abritant les mercenaires et les miliciens de Laurent Gbagbo ;
3) L’usage de tous les moyens utiles pour obtenir le départ de Laurent Gbagbo ;
4) L’appropriation par les jeunes, de l’exemple d’Abobo et son extension sur tout le District d’Abidjan et les autres localités de l’intérieur du pays ;
5) L’appui des FDS.CI (FDS et FAFN) pour contenir les tueries de Laurent Gbagbo.
Le CNJ renouvelle également son soutien au Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, au Premier ministre Guillaume SORO, aux membres du Gouvernement et aux responsables des chaînes de Radio et de Télévision de Côte d’Ivoire pour la résistance et les bons résultats enregistrés.
Le CNJ salue la vigilance et la réaction de la CEDEAO face aux déviations volontaires de monsieur Jacob Zuma.
Le CNJ demande aux jeunes de Côte d’Ivoire de demeurer constants sur le terrain jusqu’au départ de Laurent Gbagbo du palais présidentiel.
Fait à Abidjan, le 23 février 2011
Le BEN du CNJ
Le Président National
TIEDE Robinson
cnjeunesse@yahoo.fr
Le CNJ a noté que la REVOLUTION ORANGE lancée depuis le samedi 19 février 2011 par le Premier ministre de Côte d’Ivoire, Monsieur Guillaume SORO, une REVOLUTION ORANGE soutenue par les Ivoiriens pour exiger le départ du dictateur Laurent Gbagbo du pouvoir, a été une occasion pour l’ancien chef de l’Etat d’exterminer les Ivoiriens aux mains nues.
Ces tueries perpétrées par une soldatesque politico-tribale de Laurent Gbagbo appuyée par des mercenaires libériens, angolais et des miliciens LMP n’ont laissé personne indifférent dans le monde entier à part Laurent Gbagbo et ses partisans.
Le CNJ a donc constaté les faits suivants au cours des cinq jours de manifestations:
l Tueries massives de jeunes ivoiriens à l’aide de roquettes RPG-7, de chars de guerre et de grenades ;
l Assassinat de deux ressortissants de la Mauritanie à Abobo par les miliciens de l’ex. Président ;
l Viols de jeunes filles dans les communes de Koumassi et Treichville;
l Arrestations et enlèvements de civils aux alentours de la mosquée d’Attécoubé par des éléments du CECOS;
l Arrestations et bastonnades des mères de famille devant la Garde Républicaine de Treichville;
l Pillages des magasins à Adjamé et Treichville par des éléments de la CRS;
l Incendies de plusieurs véhicules de transport en commun par des mercenaires à Adjamé et Abobo ;
l Distribution d’armes de guerre aux miliciens et militants LMP à Yopougon, Cocody et Port-Bouët.
Ces faits très graves montrent la volonté d’embrasement de la Côte d’Ivoire par Laurent Gbagbo. Ce dictateur veut laisser au Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, une Côte d’Ivoire en pleine déconfiture.
Vu ces atrocités, le CNJ présente toutes ses condoléances aux familles des jeunes tués, à la communauté mauritanienne de Côte d’Ivoire et à son Président de la République, SEM Mohamed OULD Abdel Aziz.
Le CNJ exprime toute sa compassion aux jeunes blessés, aux jeunes filles violées et aux mères de familles humiliées sans toutefois manifester son soutien aux opérateurs économiques, victimes de pillages et autres destructions de biens.
La gravité des actes et surtout la mauvaise foi affichée par Laurent Gbagbo pour endeuiller les familles ivoiriennes et étrangères, ont amené le CNJ à arrêter les dispositions urgentes suivantes:
1) Le recrutement spécial des Jeunes Volontaires pour la Défense et la Protection de la Patrie ;
2) L’attaque de tous les sites monstrueux abritant les mercenaires et les miliciens de Laurent Gbagbo ;
3) L’usage de tous les moyens utiles pour obtenir le départ de Laurent Gbagbo ;
4) L’appropriation par les jeunes, de l’exemple d’Abobo et son extension sur tout le District d’Abidjan et les autres localités de l’intérieur du pays ;
5) L’appui des FDS.CI (FDS et FAFN) pour contenir les tueries de Laurent Gbagbo.
Le CNJ renouvelle également son soutien au Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, au Premier ministre Guillaume SORO, aux membres du Gouvernement et aux responsables des chaînes de Radio et de Télévision de Côte d’Ivoire pour la résistance et les bons résultats enregistrés.
Le CNJ salue la vigilance et la réaction de la CEDEAO face aux déviations volontaires de monsieur Jacob Zuma.
Le CNJ demande aux jeunes de Côte d’Ivoire de demeurer constants sur le terrain jusqu’au départ de Laurent Gbagbo du palais présidentiel.
Fait à Abidjan, le 23 février 2011
Le BEN du CNJ
Le Président National
TIEDE Robinson
cnjeunesse@yahoo.fr