MINSK - Le Bélarus a démenti lundi des informations faisant état d`une livraison présumée d`hélicoptères à l`une des parties au conflit en Côte d`Ivoire, en violation d`un embargo de l`ONU contre ce pays d`Afrique.
"Le Bélarus n`a jamais violé les sanctions du Conseil de sécurité de l`ONU", a déclaré à l`AFP un porte-parole du ministère bélarusse des Affaires étrangères, Andreï Savinykh, dénonçant une "possible campagne destructrice
contre le Bélarus".
Le secrétaire général de l`ONU, Ban Ki-moon, a appelé lundi à une réunion
d`urgence du Conseil de sécurité pour examiner la situation en Côte d`Ivoire,
en particulier une livraison présumée illégale d`armes, selon un porte-parole
de M. Ban.
L`appel du secrétaire général intervient à la suite d`informations faisant
état de la livraison en cours de trois hélicoptères d`attaque en provenance du
Bélarus et de matériel d`appui à Yamoussoukro, destinés aux forces du
président ivoirien sortant Laurent Gbagbo.
La première livraison est arrivée par avion tard dimanche et d`autres vols
sont prévus lundi, a précisé le porte-parole de l`ONU, soulignant qu`il
s`agissait d`une "grave violation de l`embargo contre la Côte d`Ivoire qui est
en vigueur depuis 2004".
"Le Bélarus n`a jamais violé les sanctions du Conseil de sécurité de l`ONU", a déclaré à l`AFP un porte-parole du ministère bélarusse des Affaires étrangères, Andreï Savinykh, dénonçant une "possible campagne destructrice
contre le Bélarus".
Le secrétaire général de l`ONU, Ban Ki-moon, a appelé lundi à une réunion
d`urgence du Conseil de sécurité pour examiner la situation en Côte d`Ivoire,
en particulier une livraison présumée illégale d`armes, selon un porte-parole
de M. Ban.
L`appel du secrétaire général intervient à la suite d`informations faisant
état de la livraison en cours de trois hélicoptères d`attaque en provenance du
Bélarus et de matériel d`appui à Yamoussoukro, destinés aux forces du
président ivoirien sortant Laurent Gbagbo.
La première livraison est arrivée par avion tard dimanche et d`autres vols
sont prévus lundi, a précisé le porte-parole de l`ONU, soulignant qu`il
s`agissait d`une "grave violation de l`embargo contre la Côte d`Ivoire qui est
en vigueur depuis 2004".