Anciennement patron de La Caisse d’Epargne, Zahui Marcellin, nouvel administrateur de la SGBCI, mesure déjà la taille de la tâche qui l’attend. Dans cet entretien où il revient sur les actions urgentes à mener pour la réouverture « sans délais » du nouveau patrimoine ivoirien, l’homme qui croit dur comme fer dans « l’inteligencia » ivoirienne, à l’effet de la fait sortir de cette grippe bancaire, ne veut pas s’adonner à un bricolage financier. Il entend aller doucement pour
opérationnaliser la banque de façon efficace et optimale au grand bonheur des clients qui font déjà les frais et commencent à perdre patience. Entretien
Que ressort-il de cette première rencontre avec les agents de la SGBCI ?
C’est une prise de contact qui nous permet de prendre possession de la banque et pouvoir faire l’état des lieux. L’inspecteur des finances m’a présenté. Vu le fait qu’ils aient applaudis la nomination, il y a un accueil positif, me semble t-il.
Quels sont les défis essentiels qui se présentent à vous dans cette situation ?
Le défi est celui de pouvoir rouvrir et satisfaire le besoin de la clientèle. C’est ça
le plus important. Mais au préalable il faudra qu’on fasse l’état des lieux, qu’on sache qu’elle est le patrimoine, quelle est la situation financière, quel est l’état de fonctionnement du système d’information bancaire pour pouvoir prendre une décision idoine.
Et pendant ce temps les clients eux, perdent patience… et font les frais de ce désagrément…
Lire la suite dans la Tribune de l’Economie n°43
opérationnaliser la banque de façon efficace et optimale au grand bonheur des clients qui font déjà les frais et commencent à perdre patience. Entretien
Que ressort-il de cette première rencontre avec les agents de la SGBCI ?
C’est une prise de contact qui nous permet de prendre possession de la banque et pouvoir faire l’état des lieux. L’inspecteur des finances m’a présenté. Vu le fait qu’ils aient applaudis la nomination, il y a un accueil positif, me semble t-il.
Quels sont les défis essentiels qui se présentent à vous dans cette situation ?
Le défi est celui de pouvoir rouvrir et satisfaire le besoin de la clientèle. C’est ça
le plus important. Mais au préalable il faudra qu’on fasse l’état des lieux, qu’on sache qu’elle est le patrimoine, quelle est la situation financière, quel est l’état de fonctionnement du système d’information bancaire pour pouvoir prendre une décision idoine.
Et pendant ce temps les clients eux, perdent patience… et font les frais de ce désagrément…
Lire la suite dans la Tribune de l’Economie n°43