OUAGADOUGOU - Le réalisateur ivoirien Owell Brown a appelé mercredi les hommes politiques de son pays, en proie à une grave crise, à l`"amour" et la "fraternité" qu`évoque son film "Le mec idéal", en course pour le grand prix du festival du cinéma africain de Ouagadougou (Fespaco).
"Les Ivoiriens ont besoin d`amour et de fraternité et c`est ce message que j`ai besoin de lancer aux politiciens", a déclaré à l`AFP Owell Brown, pour qui son film "tombe bien", en pleine crise ivoirienne.
Suivi dans la soirée par un public nombreux, "Le mec idéal" est une comédie qui conte l`histoire d`Estelle, une belle fille entreprenante. Si côté business tout va pour le mieux, côté coeur le tableau est plus sombre. Ses amies décident alors d`organiser un casting pour lui trouver "le mec idéal".
Owell Brown souligne que la crise dans son pays a failli compromettre la sortie du film.
"Je suis arrivé ici le jour de l`ouverture du festival (samedi) avec mon film sous le bras. Je n`avais pas pu réunir les moyens pour le terminer à cause de la crise. Mais une coproduction avec le Maroc nous a permis de kinéscoper (transférer) le film en 35 mm", raconte le cinéaste.
"C`est déjà une victoire d`être ici avec ce film pour représenter la Côte d`Ivoire dans la situation actuelle", confie-t-il. "On a gagné notre prix en étant ici".
Dix-huit longs métrages concourent pour le grand prix du 22e Fespaco, l`Etalon d`or de Yennenga, qui sera décerné samedi.
"Les Ivoiriens ont besoin d`amour et de fraternité et c`est ce message que j`ai besoin de lancer aux politiciens", a déclaré à l`AFP Owell Brown, pour qui son film "tombe bien", en pleine crise ivoirienne.
Suivi dans la soirée par un public nombreux, "Le mec idéal" est une comédie qui conte l`histoire d`Estelle, une belle fille entreprenante. Si côté business tout va pour le mieux, côté coeur le tableau est plus sombre. Ses amies décident alors d`organiser un casting pour lui trouver "le mec idéal".
Owell Brown souligne que la crise dans son pays a failli compromettre la sortie du film.
"Je suis arrivé ici le jour de l`ouverture du festival (samedi) avec mon film sous le bras. Je n`avais pas pu réunir les moyens pour le terminer à cause de la crise. Mais une coproduction avec le Maroc nous a permis de kinéscoper (transférer) le film en 35 mm", raconte le cinéaste.
"C`est déjà une victoire d`être ici avec ce film pour représenter la Côte d`Ivoire dans la situation actuelle", confie-t-il. "On a gagné notre prix en étant ici".
Dix-huit longs métrages concourent pour le grand prix du 22e Fespaco, l`Etalon d`or de Yennenga, qui sera décerné samedi.