«Je dois admettre que le rapport de la mission de l’Onu était une erreur. Il n’y a pas eu d’avion qui a atterri dimanche soir à l’aéroport de Yamoussoukro. L’information de la mission était une erreur.
J’ai rencontré ce matin, le chargé d’affaires de Belarus et j’ai exprimé nos profonds regrets et nos excuses pour le dommage causé au Belarus par une fausse information venue de notre mission.
C’est donc l’Onuci qui a fourni une fausse information et bien sûr, en tant que chef des forces de maintien de la paix, j’en prends la responsabilité. » Explique Alain Leroy, responsable des forces de la paix de l’Onu dans le monde. Le diplomate français a eu des mots d’excuse pour le Belarus.
Mais pas pour la Côte d’Ivoire. Tout compte fait, le monde entier découvre encore là, tout le faux servi en Côte d’Ivoire par ce diplomate coréen représentant spécial de Ban Ki-moon. « C’est une première dans le monde et à l’Onu. Avec un cadre d’un très grand niveau dont les informations fournies s’avèrent officiellement fausses. » Confie hier, un diplomate en poste à Abidjan. Sûrement que Choï doit avoir le profil encore plus bas, depuis son refuge de l’Hôtel Sebroko où il s’est muré pour fuir la rue abidjanaise. Ce diplomate, qu’on dit pur produit de son compatriote Ban Ki-moon se trouve pris au piège de sa haine contre les autorités ivoiriennes. Cette fausse affaire de livraison d’armes du Belarus à la Côte d’Ivoire, n’est qu’une partie du mensonge qu’il continue de fabriquer dans cette crise qui porte d’ailleurs sa marque. C’est lui qui s’est mis au-dessus des Institutions ivoiriennes, après le deuxième tour de la présidentielle pour confirmer un faux résultat donné au Golf Hôtel, pourtant quartier général de campagne de Ouattara. L’homme s’est permis de faire le travail dévolu au Conseil constitutionnel qui s’était pourtant saisi du dossier. Alors qu’il n’était qu’un simple certificateur. L’Etat angolais avait de ce fait, vu juste en donnant sa position dans cette affaire au début de cette crise. « Choï a trompé le monde entier» confiait l’Angola en parlant de la crise ivoirienne. A l’Onu, il n’est donc plus question de se limiter à cette seule affaire de vente d’armes à la Côte d’Ivoire. Il est urgent de voir un peu clair dans le rôle que joue Choï dans cette crise. La vérité doit être rétablie au nom des principes de démocratie. Car aujourd’hui, le camp rebelle continue de défier les autorités ivoiriennes parce qu’ils sont adossés à l’Onuci. C’est d’ailleurs cette force qui combat maintenant à la place des rebelles. Il suffit de voir ce qui se passe à Abobo et à l’Ouest pour s’en rendre compte. En clair, Choï a changé le mandat de l’Onuci en Côte d’Ivoire. Au point qu’elle passe du statut de force de maintien de la paix à celui de belligérant. Et dans l’intention de justifier son forfait, l’homme ne badine pas sur les moyens à l’échelle internationale. Pour se faire entendre en France et au sein de la communauté africaine, il n’a pas hésité à payer cash une interview dans les colonnes du confrère très françafricain « Jeune Afrique ». Evidemment, il a eu, le traitement qu’il voulait. Il a été placé en grande Une dans sa volonté d’en découdre avec Gbagbo, son nouvel opposant. C’est la mission que lui a assignée la France et son père spirituel Ban Ki-moon qui l’a fait venir en Côte d’Ivoire pour accomplir le crime de Sarkozy.
Guéhi Brence
J’ai rencontré ce matin, le chargé d’affaires de Belarus et j’ai exprimé nos profonds regrets et nos excuses pour le dommage causé au Belarus par une fausse information venue de notre mission.
C’est donc l’Onuci qui a fourni une fausse information et bien sûr, en tant que chef des forces de maintien de la paix, j’en prends la responsabilité. » Explique Alain Leroy, responsable des forces de la paix de l’Onu dans le monde. Le diplomate français a eu des mots d’excuse pour le Belarus.
Mais pas pour la Côte d’Ivoire. Tout compte fait, le monde entier découvre encore là, tout le faux servi en Côte d’Ivoire par ce diplomate coréen représentant spécial de Ban Ki-moon. « C’est une première dans le monde et à l’Onu. Avec un cadre d’un très grand niveau dont les informations fournies s’avèrent officiellement fausses. » Confie hier, un diplomate en poste à Abidjan. Sûrement que Choï doit avoir le profil encore plus bas, depuis son refuge de l’Hôtel Sebroko où il s’est muré pour fuir la rue abidjanaise. Ce diplomate, qu’on dit pur produit de son compatriote Ban Ki-moon se trouve pris au piège de sa haine contre les autorités ivoiriennes. Cette fausse affaire de livraison d’armes du Belarus à la Côte d’Ivoire, n’est qu’une partie du mensonge qu’il continue de fabriquer dans cette crise qui porte d’ailleurs sa marque. C’est lui qui s’est mis au-dessus des Institutions ivoiriennes, après le deuxième tour de la présidentielle pour confirmer un faux résultat donné au Golf Hôtel, pourtant quartier général de campagne de Ouattara. L’homme s’est permis de faire le travail dévolu au Conseil constitutionnel qui s’était pourtant saisi du dossier. Alors qu’il n’était qu’un simple certificateur. L’Etat angolais avait de ce fait, vu juste en donnant sa position dans cette affaire au début de cette crise. « Choï a trompé le monde entier» confiait l’Angola en parlant de la crise ivoirienne. A l’Onu, il n’est donc plus question de se limiter à cette seule affaire de vente d’armes à la Côte d’Ivoire. Il est urgent de voir un peu clair dans le rôle que joue Choï dans cette crise. La vérité doit être rétablie au nom des principes de démocratie. Car aujourd’hui, le camp rebelle continue de défier les autorités ivoiriennes parce qu’ils sont adossés à l’Onuci. C’est d’ailleurs cette force qui combat maintenant à la place des rebelles. Il suffit de voir ce qui se passe à Abobo et à l’Ouest pour s’en rendre compte. En clair, Choï a changé le mandat de l’Onuci en Côte d’Ivoire. Au point qu’elle passe du statut de force de maintien de la paix à celui de belligérant. Et dans l’intention de justifier son forfait, l’homme ne badine pas sur les moyens à l’échelle internationale. Pour se faire entendre en France et au sein de la communauté africaine, il n’a pas hésité à payer cash une interview dans les colonnes du confrère très françafricain « Jeune Afrique ». Evidemment, il a eu, le traitement qu’il voulait. Il a été placé en grande Une dans sa volonté d’en découdre avec Gbagbo, son nouvel opposant. C’est la mission que lui a assignée la France et son père spirituel Ban Ki-moon qui l’a fait venir en Côte d’Ivoire pour accomplir le crime de Sarkozy.
Guéhi Brence
