Des femmes qui croyaient rendre service à Ouattara, ont été tuées par ses rebelles, hier à Abobo.
Des femmes de la commune d’Abobo qui ont décidé de marcher hier (3 mars 2011) matin, ont essuyé des tirs des éléments de la rébellion de ladite commune. Tout avait bien commencé. Parties de la mairie d’Abobo, elles ont été cueillies à froid par leurs bourreaux. Des tirs nourris sont partis sur elles au niveau de la Casse d’Adjamé. Où selon, des témoins, aucun agent des Fds ne se trouvait. Bilan, une dizaine de morts. Cet acte ignoble et regrettable est vite mis à l’actif des Fds, par les commanditaires. Qui, ont utilisé ces pauvres femmes pour atteindre leur but politique. Celui décidé depuis la réunion secrète de Djékanou des rebelles pro-Ouattara, début février 2011. Un extrait des décisions suffit pour se convaincre sur les motifs de ce carnage. « Provoquer des affrontements très sanglants à Abidjan et dans certaines villes de l'intérieur, dont Toumodi, Dimbokro, Yamoussoukro, Dabou, San Pedro, Sinfra, Duékoué. Guiglo, etc, pour en faire de véritables carnages, dans le but d'imputer un génocide au régime en place ». L’expression est lâchée et le plan est connu : « imputer un génocide au régime en place », c’est-à-dire au président Laurent Gbagbo et les Forces loyalistes. « Cela aura pour effet, la mise en scène des institutions internationales qui actionneront tous moyens de pression pour la chute du président Gbagbo (imminent) », expliquait l’animateur principal de cette rencontre secrète de Djékanou. Avec ce qui vient de se passer à Abobo et les réactions (du camp Ouattara) qui s’en suivent, témoignent effectivement de la mise en marche de ce plan machiavélique.
Aujourd’hui, ce sont leurs propres partisans qu’ils ont tués. Dans les prochains jours, les Ivoiriens doivent s’attendre à un coup des rebelles qui risquent de provoquer des incidents diplomatiques. « Attaquer les Ambassades de la France et des Etats-Unis à Abidjan et imputer cela aux Fds et au régime du président Gbagbo. Cette attaque est confiée à un commando spécial, en vue de ne pas atteindre les personnels étrangers de ces Institutions, l'Onuci, la Licorne et certains agents secrets américains veilleront au grain, en vue de contre-attaquer les Fds qui iront s'interposer à ces attaques (imminent)».
Voilà donc ce que Soro appelle «organiser une véritable insurrection populaire, sous le couvert d'une révolution, à Abidjan et dans bien d'autres régions du pays (imminent) ». Preuves que tirer sur des personnes aux mains nues, relève de la compétence démoniaque du camp Ouattara, de la Licorne et de l’Onuci. Et non des Fds. Pas plus tard que le mercredi dernier, les contingents sénégalais, togolais et nigérian ont tiré sur des femmes aux mains nues, qui étaient allées prier pour eux. Il y a aussi l’assassinat des femmes danseuses d’«Adjanou » de Sakassou. Sans oublier le massacre des jeunes Ivoiriens par la Liciorne devant l’Hôtel Ivoire, en novembre 2004.
Une cabale de laquelle la communauté internationale qui commence à découvrir la vérité, devrait se désolidariser. Pour son image à travers le monde.
Salyff G.
Des femmes de la commune d’Abobo qui ont décidé de marcher hier (3 mars 2011) matin, ont essuyé des tirs des éléments de la rébellion de ladite commune. Tout avait bien commencé. Parties de la mairie d’Abobo, elles ont été cueillies à froid par leurs bourreaux. Des tirs nourris sont partis sur elles au niveau de la Casse d’Adjamé. Où selon, des témoins, aucun agent des Fds ne se trouvait. Bilan, une dizaine de morts. Cet acte ignoble et regrettable est vite mis à l’actif des Fds, par les commanditaires. Qui, ont utilisé ces pauvres femmes pour atteindre leur but politique. Celui décidé depuis la réunion secrète de Djékanou des rebelles pro-Ouattara, début février 2011. Un extrait des décisions suffit pour se convaincre sur les motifs de ce carnage. « Provoquer des affrontements très sanglants à Abidjan et dans certaines villes de l'intérieur, dont Toumodi, Dimbokro, Yamoussoukro, Dabou, San Pedro, Sinfra, Duékoué. Guiglo, etc, pour en faire de véritables carnages, dans le but d'imputer un génocide au régime en place ». L’expression est lâchée et le plan est connu : « imputer un génocide au régime en place », c’est-à-dire au président Laurent Gbagbo et les Forces loyalistes. « Cela aura pour effet, la mise en scène des institutions internationales qui actionneront tous moyens de pression pour la chute du président Gbagbo (imminent) », expliquait l’animateur principal de cette rencontre secrète de Djékanou. Avec ce qui vient de se passer à Abobo et les réactions (du camp Ouattara) qui s’en suivent, témoignent effectivement de la mise en marche de ce plan machiavélique.
Aujourd’hui, ce sont leurs propres partisans qu’ils ont tués. Dans les prochains jours, les Ivoiriens doivent s’attendre à un coup des rebelles qui risquent de provoquer des incidents diplomatiques. « Attaquer les Ambassades de la France et des Etats-Unis à Abidjan et imputer cela aux Fds et au régime du président Gbagbo. Cette attaque est confiée à un commando spécial, en vue de ne pas atteindre les personnels étrangers de ces Institutions, l'Onuci, la Licorne et certains agents secrets américains veilleront au grain, en vue de contre-attaquer les Fds qui iront s'interposer à ces attaques (imminent)».
Voilà donc ce que Soro appelle «organiser une véritable insurrection populaire, sous le couvert d'une révolution, à Abidjan et dans bien d'autres régions du pays (imminent) ». Preuves que tirer sur des personnes aux mains nues, relève de la compétence démoniaque du camp Ouattara, de la Licorne et de l’Onuci. Et non des Fds. Pas plus tard que le mercredi dernier, les contingents sénégalais, togolais et nigérian ont tiré sur des femmes aux mains nues, qui étaient allées prier pour eux. Il y a aussi l’assassinat des femmes danseuses d’«Adjanou » de Sakassou. Sans oublier le massacre des jeunes Ivoiriens par la Liciorne devant l’Hôtel Ivoire, en novembre 2004.
Une cabale de laquelle la communauté internationale qui commence à découvrir la vérité, devrait se désolidariser. Pour son image à travers le monde.
Salyff G.