A Abobo- la guerre pour emprunter le terme à Daouda, l’artiste. C’est vraiment la guerre. Ne nous trompons pas. Ce n’est ni une crise post électorale, ni un affrontement entre manifestants et forces de l’ordre, c’est une guerre de la Côte d’Ivoire contre le terrorisme.
En tout état de cause, face aux Forces de défense nationale, ce ne sont plus des rebelles, mais plutôt des terroristes armés par Blaise Compaoré du Burkina Faso, Wade du Sénégal, Goodluck du Nigéria, l’Onu de Ban Ki-moon et soutenus financièrement, matériellement, logistiquement par la France néo-coloniale de Sarkozy.
Les choses sont suffisamment claires pour qu’on ne s’y méprenne plus. Les masques sont tombés et les intérêts ici tant personnels qu’étatiques ont fait place à la raison, au bon sens, à la morale.
Blaise Compaoré : depuis l’assassinat de Thomas Sankara s’est trouvé une vocation bonapartiste: à défaut de se couronner à la Bokassa, empereur de l’Afrique de l’Ouest avec siège du royaume à Zignaré, il a entrepris de déstabiliser toute la sous-région pour s’en faire l’indispensable facilitateur, à défaut de se faire l’incontournable faiseur de rois. Son rêve démentiel, c’est de faire des pays membres de la Cedeao, des provinces du futur empire de Yatagan qu’il veut rebâtir. Perpétuellement cohabitent chez l’homme deux sentiments, que disons-nous deux ambitions : être Attila le fléau de Dieu, à qui rien ne résiste, et le bon Samaritain rêvé, faiseur de bonheur. L’homme est vraiment Janus, en tout lieu, en toute circonstance et surtout dans tout acte.
Il vient encore une fois de plus dans sa quête d’être, de jeter son dévolu sur la Côte d’Ivoire, la mamelle nourricière de son pays natal le Burkina Faso. Comme obsédé de prendre une revanche sur l’Histoire d’hier qui malheureusement n’est pas de notre fait, sinon que de celui de ses amis d’aujourd’hui, Blaise Compaoré rêve sur la route infinie de l’histoire de voir la Côte d’Ivoire soumise et couchée à ses pieds.
Oubliant que tout pouvoir humain à ses limites et que tout pouvoir sur terre a une fin, à l’exception de celui de Dieu. Faudrait-il dire à Compaoré qu’à force de vouloir manger son totem, on finit par s’autodétruire. S’il ne le sait pas, qu’il apprenne maintenant que la Côte d’Ivoire est un totem pour le Burkina, hélas.
Voici les dernières trouvailles de Blaise, renverser coûte que coûte Laurent Gbagbo, au profit de Ouattara, cousinage et intérêts communs obligent : Prendre la commune d’Abobo comme base pour s’élancer à l’assaut de la Côte d’Ivoire.
Pour ce faire, il a fait débarquer à Abidjan via Bouaké, des milliers de mercenaires, éternels chiens de guerre de la sous-région, assoiffés de sang, errant à la recherche de leur pitance.
Pire, il les fait encadrer par des centaines et des centaines de sous-officiers burkinabé sérieusement formés et aguerris dans la guérilla urbaine au Liberia et en Sierra Leone. Abobo est devenu subitement Pô, le centre de formation et de rassemblement des mercenaires de la sous-région au Burkina Faso.
Comme si cela ne suffisait pas, au vu des tentatives infructueuses de prendre Abidjan, il a fait appel à son complice Wade, un autre spécimen sorti des fonds des âges qui freine des quatre fers pour ne tomber dans le refuge pathologique des séniles. Un Wade qui continue de rêver à une Afrique genre Aof où lui jouera au Roi Makoko.
Avec lui le bien nommé Jonathan Goodluck, qui sait ce qui l’attend le mois prochain à l’élection présidentielle de son pays le Nigeria. Au lieu de s’occuper réellement du terrain qui lui est de plus en plus défavorable, il veut compter sur Sarkozy et la société Total pour l’introniser roi. Déjà se profile à l’horizon, une seconde guerre civile au Nigeria à base ethno-socio-religieuse.
A côté de tous ceux-là, Gnassingbé Faure, le tout nouveau venu qui croit devoir son pouvoir à Blaise Compaoré.
Voici ce que tout ce monde horrible à rassembler ou créer en une semaine à Abobo pour faire une véritable guerre dès qu’ils se sont rendu compte qu’avec le panel, ils avaient peu de chance de voir le prince de Kong, relooké, installé sur le trône :
En arsenal de guerre, équipements et autres, des centaines de caisses de kalaches, de mitrailleuses, de lance-roquettes, de colis de transmissions, de gilets par balles, des Aa-52, de milliers de caisses de munitions…
En hommes, la cause est servie à Abobo en une semaine :
-Nigérians : 410 commandos
-Sénégalais : 200, 450 autres sont sur un bateau depuis 2 jours.
Au niveau local : le capitaine Alla, Zakaria Koné ont recruté 318 apprentis gbaka dits « balanceurs » (à Adjamé, Abobo, Yopougon) qui s’initient depuis le début de la semaine au maniement d’armes.
Mabri Toikeusse qui séjourne encore au Liberia a recruté pour rien que pour Abobo :
250 mercenaires qui ont été convoyés par avion et hélicoptères; (souvenons-nous de la piste d’Iboké, dans le domaine Agro-pastoral de Vincent Bolloré, empruntable par les hercules, les C135, Transall et autres). Chaque Libérien, selon nos sources libériennes auraient touché environ 250.000 Fcfa.
Mabri est toujours au Liberia où il aurait encore recruté 450 Kroumen pour l’attaque du port de San Pedro ; ils seraient actuellement en route par mer.
Enfin, Abobo Gare est devenu Bouaké II, pour la reprise générale des hostilités qui doit forcément passer par la prise d’Abidjan et le Port de San Pedro. Nous sommes face à une véritable guerre terroriste où des êtres vivants sont égorgés à tour de bras, pour leur sang et organes en vue des préparations rituellement mystiques.
Il y a lieu de réagir ici et maintenant car l’attentisme observé au nom des Droits de l’Homme et du qu’en dira-t-on est perçu par les ennemis de la Côte d’Ivoire comme une incapacité de nos Forces à réagir.
Que Dieu sauve la Côte d’Ivoire.
Djiwa Gody
En tout état de cause, face aux Forces de défense nationale, ce ne sont plus des rebelles, mais plutôt des terroristes armés par Blaise Compaoré du Burkina Faso, Wade du Sénégal, Goodluck du Nigéria, l’Onu de Ban Ki-moon et soutenus financièrement, matériellement, logistiquement par la France néo-coloniale de Sarkozy.
Les choses sont suffisamment claires pour qu’on ne s’y méprenne plus. Les masques sont tombés et les intérêts ici tant personnels qu’étatiques ont fait place à la raison, au bon sens, à la morale.
Blaise Compaoré : depuis l’assassinat de Thomas Sankara s’est trouvé une vocation bonapartiste: à défaut de se couronner à la Bokassa, empereur de l’Afrique de l’Ouest avec siège du royaume à Zignaré, il a entrepris de déstabiliser toute la sous-région pour s’en faire l’indispensable facilitateur, à défaut de se faire l’incontournable faiseur de rois. Son rêve démentiel, c’est de faire des pays membres de la Cedeao, des provinces du futur empire de Yatagan qu’il veut rebâtir. Perpétuellement cohabitent chez l’homme deux sentiments, que disons-nous deux ambitions : être Attila le fléau de Dieu, à qui rien ne résiste, et le bon Samaritain rêvé, faiseur de bonheur. L’homme est vraiment Janus, en tout lieu, en toute circonstance et surtout dans tout acte.
Il vient encore une fois de plus dans sa quête d’être, de jeter son dévolu sur la Côte d’Ivoire, la mamelle nourricière de son pays natal le Burkina Faso. Comme obsédé de prendre une revanche sur l’Histoire d’hier qui malheureusement n’est pas de notre fait, sinon que de celui de ses amis d’aujourd’hui, Blaise Compaoré rêve sur la route infinie de l’histoire de voir la Côte d’Ivoire soumise et couchée à ses pieds.
Oubliant que tout pouvoir humain à ses limites et que tout pouvoir sur terre a une fin, à l’exception de celui de Dieu. Faudrait-il dire à Compaoré qu’à force de vouloir manger son totem, on finit par s’autodétruire. S’il ne le sait pas, qu’il apprenne maintenant que la Côte d’Ivoire est un totem pour le Burkina, hélas.
Voici les dernières trouvailles de Blaise, renverser coûte que coûte Laurent Gbagbo, au profit de Ouattara, cousinage et intérêts communs obligent : Prendre la commune d’Abobo comme base pour s’élancer à l’assaut de la Côte d’Ivoire.
Pour ce faire, il a fait débarquer à Abidjan via Bouaké, des milliers de mercenaires, éternels chiens de guerre de la sous-région, assoiffés de sang, errant à la recherche de leur pitance.
Pire, il les fait encadrer par des centaines et des centaines de sous-officiers burkinabé sérieusement formés et aguerris dans la guérilla urbaine au Liberia et en Sierra Leone. Abobo est devenu subitement Pô, le centre de formation et de rassemblement des mercenaires de la sous-région au Burkina Faso.
Comme si cela ne suffisait pas, au vu des tentatives infructueuses de prendre Abidjan, il a fait appel à son complice Wade, un autre spécimen sorti des fonds des âges qui freine des quatre fers pour ne tomber dans le refuge pathologique des séniles. Un Wade qui continue de rêver à une Afrique genre Aof où lui jouera au Roi Makoko.
Avec lui le bien nommé Jonathan Goodluck, qui sait ce qui l’attend le mois prochain à l’élection présidentielle de son pays le Nigeria. Au lieu de s’occuper réellement du terrain qui lui est de plus en plus défavorable, il veut compter sur Sarkozy et la société Total pour l’introniser roi. Déjà se profile à l’horizon, une seconde guerre civile au Nigeria à base ethno-socio-religieuse.
A côté de tous ceux-là, Gnassingbé Faure, le tout nouveau venu qui croit devoir son pouvoir à Blaise Compaoré.
Voici ce que tout ce monde horrible à rassembler ou créer en une semaine à Abobo pour faire une véritable guerre dès qu’ils se sont rendu compte qu’avec le panel, ils avaient peu de chance de voir le prince de Kong, relooké, installé sur le trône :
En arsenal de guerre, équipements et autres, des centaines de caisses de kalaches, de mitrailleuses, de lance-roquettes, de colis de transmissions, de gilets par balles, des Aa-52, de milliers de caisses de munitions…
En hommes, la cause est servie à Abobo en une semaine :
-Nigérians : 410 commandos
-Sénégalais : 200, 450 autres sont sur un bateau depuis 2 jours.
Au niveau local : le capitaine Alla, Zakaria Koné ont recruté 318 apprentis gbaka dits « balanceurs » (à Adjamé, Abobo, Yopougon) qui s’initient depuis le début de la semaine au maniement d’armes.
Mabri Toikeusse qui séjourne encore au Liberia a recruté pour rien que pour Abobo :
250 mercenaires qui ont été convoyés par avion et hélicoptères; (souvenons-nous de la piste d’Iboké, dans le domaine Agro-pastoral de Vincent Bolloré, empruntable par les hercules, les C135, Transall et autres). Chaque Libérien, selon nos sources libériennes auraient touché environ 250.000 Fcfa.
Mabri est toujours au Liberia où il aurait encore recruté 450 Kroumen pour l’attaque du port de San Pedro ; ils seraient actuellement en route par mer.
Enfin, Abobo Gare est devenu Bouaké II, pour la reprise générale des hostilités qui doit forcément passer par la prise d’Abidjan et le Port de San Pedro. Nous sommes face à une véritable guerre terroriste où des êtres vivants sont égorgés à tour de bras, pour leur sang et organes en vue des préparations rituellement mystiques.
Il y a lieu de réagir ici et maintenant car l’attentisme observé au nom des Droits de l’Homme et du qu’en dira-t-on est perçu par les ennemis de la Côte d’Ivoire comme une incapacité de nos Forces à réagir.
Que Dieu sauve la Côte d’Ivoire.
Djiwa Gody