L’information relative à la prétendue mort atroce de 6 femmes pro-Ouattara par les FDS et très vite relayée par certains médias occidentaux sans avoir mis les gants est basée sur du faux. Un montage intolérable à tous égards.
C’est la confusion dans le camp d’Alassane Dramane Ouattara, la France, l’Onuci et leurs terroristes, dans l’affaire “7 femmes tuées par les FDS” à Abobo. Puisque l’information relative aux prétendues “6 femmes pro-Ouattara tuées” plus une succombée à la suite de ses blessures à en croire les médias occidentaux, plus précisément les organes de presse français, ne relève que d’une pure invention, une simulation. Dont le seul but est de discréditer le gouvernement Gbagbo. Ce qui ouvrirait la voie à une intervention militaire contre Laurent Gabgbo tant souhaitée par le candidat malheureux à la présidentielle de novembre dernier, Alassane Dramane Ouattara, pion déclaré de la France contre le peuple ivoirien. C’est dans cette logique qu’en grande pompe des organes de presse français, notamment “I Télé” et “France 24” ont véhiculé une information jeudi 3 mars 2011 en continu : “Six femmes abattues lors d’une manifestation pro-Ouattara, une 7e femme serait décédée par la suite à l’hôpital”.
La vérité, c’est qu’il n’y a jamais eu de femmes tuées à Abobo. Comme on l’a fait croire. La vérité nue est découverte depuis vendredi grâce aux images vidéo indépendantes du prétendu massacre, reprises par la télévision nationale. La simulation est rocambolesque. Avec le scénario mal ficelé, on voit une femme couchée à même le sol, la tête appuyée sur le bras droit et faisant la morte, baignant dans une mare de liquide rouge-sang ressemblant étrangement à du bissap, une boisson consommée localement. Le comble, des paroles dites en malinké (langue locale du Nord, fief de Ouattara) appellent l’actrice à se recoucher, le scénario n’étant pas fini. Sur cette image où la femme revient à la vie, on ne voit nullement les autres corps des prétendues tuées.
La mise en scène théâtrale présente bien d’autres facettes hétéroclites. Puisque deux autres individus, une femme et un homme, aux têtes apparemment écrasées et baignant dans le même liquide rouge sont présentés par France 24. A proximité de ces personnes inertes, un jeune homme s’exhibe aiguisant sa machette sur le goudron. La 3e image qui se juxtapose aux autres selon le reportage de France 24 est un ancien regroupement des militants proches du camp Gbagbo dans la commune d’Attécoué et présenté comme un rassemblement des pro-Ouattara à Abobo ! Pauvres médias occidentaux, les Ivoiriens eux-mêmes ont relevé que ces images sont celles d’Attécoubé et non d’Abobo.
Cette mascarade donne raison à l’armée ivoirienne qui a affirmé qu’elle n’est pas intervenue ce jeudi 3 février à Abobo contre les terroristes d’Alassane Ouattara. Et c’est à juste titre que le gouvernement Aké N’Gbo a conclu dans les heures qui ont suivi que c’est un complot ourdi par l’Onuci, le RHDP, les rebelles et leurs mercenaires pour provoquer un choc émotionnel avant la réunion du panel en terre mauritanienne du 4 mars 2011. Cet énième mensonge grotesque discrédite à jamais la mafieuse communauté internationale qui, tapie dans l’ombre derrière l’UA, invite Laurent Gbagbo en Ethiopie pour un rendez-vous avec le chef des terroristes, Alassane Dramane Ouattara.
Félix Téha Dessrait
(dessrait@yahoo.fr)
(Source : Notre Voie)
C’est la confusion dans le camp d’Alassane Dramane Ouattara, la France, l’Onuci et leurs terroristes, dans l’affaire “7 femmes tuées par les FDS” à Abobo. Puisque l’information relative aux prétendues “6 femmes pro-Ouattara tuées” plus une succombée à la suite de ses blessures à en croire les médias occidentaux, plus précisément les organes de presse français, ne relève que d’une pure invention, une simulation. Dont le seul but est de discréditer le gouvernement Gbagbo. Ce qui ouvrirait la voie à une intervention militaire contre Laurent Gabgbo tant souhaitée par le candidat malheureux à la présidentielle de novembre dernier, Alassane Dramane Ouattara, pion déclaré de la France contre le peuple ivoirien. C’est dans cette logique qu’en grande pompe des organes de presse français, notamment “I Télé” et “France 24” ont véhiculé une information jeudi 3 mars 2011 en continu : “Six femmes abattues lors d’une manifestation pro-Ouattara, une 7e femme serait décédée par la suite à l’hôpital”.
La vérité, c’est qu’il n’y a jamais eu de femmes tuées à Abobo. Comme on l’a fait croire. La vérité nue est découverte depuis vendredi grâce aux images vidéo indépendantes du prétendu massacre, reprises par la télévision nationale. La simulation est rocambolesque. Avec le scénario mal ficelé, on voit une femme couchée à même le sol, la tête appuyée sur le bras droit et faisant la morte, baignant dans une mare de liquide rouge-sang ressemblant étrangement à du bissap, une boisson consommée localement. Le comble, des paroles dites en malinké (langue locale du Nord, fief de Ouattara) appellent l’actrice à se recoucher, le scénario n’étant pas fini. Sur cette image où la femme revient à la vie, on ne voit nullement les autres corps des prétendues tuées.
La mise en scène théâtrale présente bien d’autres facettes hétéroclites. Puisque deux autres individus, une femme et un homme, aux têtes apparemment écrasées et baignant dans le même liquide rouge sont présentés par France 24. A proximité de ces personnes inertes, un jeune homme s’exhibe aiguisant sa machette sur le goudron. La 3e image qui se juxtapose aux autres selon le reportage de France 24 est un ancien regroupement des militants proches du camp Gbagbo dans la commune d’Attécoué et présenté comme un rassemblement des pro-Ouattara à Abobo ! Pauvres médias occidentaux, les Ivoiriens eux-mêmes ont relevé que ces images sont celles d’Attécoubé et non d’Abobo.
Cette mascarade donne raison à l’armée ivoirienne qui a affirmé qu’elle n’est pas intervenue ce jeudi 3 février à Abobo contre les terroristes d’Alassane Ouattara. Et c’est à juste titre que le gouvernement Aké N’Gbo a conclu dans les heures qui ont suivi que c’est un complot ourdi par l’Onuci, le RHDP, les rebelles et leurs mercenaires pour provoquer un choc émotionnel avant la réunion du panel en terre mauritanienne du 4 mars 2011. Cet énième mensonge grotesque discrédite à jamais la mafieuse communauté internationale qui, tapie dans l’ombre derrière l’UA, invite Laurent Gbagbo en Ethiopie pour un rendez-vous avec le chef des terroristes, Alassane Dramane Ouattara.
Félix Téha Dessrait
(dessrait@yahoo.fr)
(Source : Notre Voie)