Craignant un «guet-apens», Laurent Gbagbo, à la différence d'Alassane Ouattara, sera absent à cette réunion de l'Union africaine pour tenter de sortir de la crise ivoirienne.
De notre envoyé spécial à Abidjan
La guerre des nerfs à laquelle se livrent Alassane Ouattara, président reconnu par les Nations unies, et son prédécesseur Laurent Gbagbo, qui se cramponne au pouvoir, est entrée dans une phase explosive. Avant la réunion d'Addis-Abeba, lors de laquelle un panel de cinq chefs d'État mandatés par l'Union africaine (UA) doit présenter jeudi sa stratégie de sortie de crise, les deux camps donnent libre cours à une propagande débridée. Par journaux interposés, ils s'accusent mutuellement de pratiquer la «terreur», la «barbarie» ou l'«épuration... suite de l'article sur Le Figaro
De notre envoyé spécial à Abidjan
La guerre des nerfs à laquelle se livrent Alassane Ouattara, président reconnu par les Nations unies, et son prédécesseur Laurent Gbagbo, qui se cramponne au pouvoir, est entrée dans une phase explosive. Avant la réunion d'Addis-Abeba, lors de laquelle un panel de cinq chefs d'État mandatés par l'Union africaine (UA) doit présenter jeudi sa stratégie de sortie de crise, les deux camps donnent libre cours à une propagande débridée. Par journaux interposés, ils s'accusent mutuellement de pratiquer la «terreur», la «barbarie» ou l'«épuration... suite de l'article sur Le Figaro