La Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci)
"continuera" ses activités dans le pays, a indiqué jeudi à l'AFP son
porte-parole Hamadoun Touré après l'interdiction de vol décidée par le camp du
président sortant Laurent Gbagbo.
Interrogé sur cette interdiction de vol, il a répondu: "nous continuerons
de mener nos activités au bénéfice du peuple ivoirien".
"L'Onuci a été déployée en Côte d'Ivoire pour aider le peuple ivoirien à
retrouver paix et stabilité. Ce mandat est toujours en vigueur et nous
l'exécutons avec les moyens mis à notre disposition par le Conseil" de
sécurité, a-t-il ajouté.
La France a également récusé jeudi comme "nulle et non avenue" la décision
du camp Gbagbo d'interdire à la force française Licorne de survoler et
d'atterrir dans le pays, une résolution de l'ONU garantissant sa "liberté de
mouvement".
"Je vous rappelle que l'Onuci et l'opération Licorne tiennent leur mandat
du Conseil de sécurité des Nations unies et notamment de la résolution 1962
qui leur garantit une totale liberté de mouvement", a dit le porte-parole du
ministère français des Affaires étrangères.
L'arrêté du gouvernement Gbagbo stipulait que "les aéronefs de l'Onuci et
de l'opération Licorne sont interdits de survol et d'atterrissage" dans le
pays.
Cette décision avait été annoncée mercredi soir quelques heures après le
départ d'Alassane Ouattara, pour la première fois officiellement depuis le
début de la crise née du scrutin de novembre, de son QG du Golf Hôtel
d'Abidjan.
M. Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, s'est
rendu jeudi à une réunion de l'Union africaine (UA) à Addis Abeba, destinée à
trouver une issue la crise ivoirienne.
L'Onuci assure traditionnellement le transport, grâce à ses hélicoptères,
des personnalités du camp Ouattara qui quittent le Golf Hôtel et y reviennent.
"continuera" ses activités dans le pays, a indiqué jeudi à l'AFP son
porte-parole Hamadoun Touré après l'interdiction de vol décidée par le camp du
président sortant Laurent Gbagbo.
Interrogé sur cette interdiction de vol, il a répondu: "nous continuerons
de mener nos activités au bénéfice du peuple ivoirien".
"L'Onuci a été déployée en Côte d'Ivoire pour aider le peuple ivoirien à
retrouver paix et stabilité. Ce mandat est toujours en vigueur et nous
l'exécutons avec les moyens mis à notre disposition par le Conseil" de
sécurité, a-t-il ajouté.
La France a également récusé jeudi comme "nulle et non avenue" la décision
du camp Gbagbo d'interdire à la force française Licorne de survoler et
d'atterrir dans le pays, une résolution de l'ONU garantissant sa "liberté de
mouvement".
"Je vous rappelle que l'Onuci et l'opération Licorne tiennent leur mandat
du Conseil de sécurité des Nations unies et notamment de la résolution 1962
qui leur garantit une totale liberté de mouvement", a dit le porte-parole du
ministère français des Affaires étrangères.
L'arrêté du gouvernement Gbagbo stipulait que "les aéronefs de l'Onuci et
de l'opération Licorne sont interdits de survol et d'atterrissage" dans le
pays.
Cette décision avait été annoncée mercredi soir quelques heures après le
départ d'Alassane Ouattara, pour la première fois officiellement depuis le
début de la crise née du scrutin de novembre, de son QG du Golf Hôtel
d'Abidjan.
M. Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, s'est
rendu jeudi à une réunion de l'Union africaine (UA) à Addis Abeba, destinée à
trouver une issue la crise ivoirienne.
L'Onuci assure traditionnellement le transport, grâce à ses hélicoptères,
des personnalités du camp Ouattara qui quittent le Golf Hôtel et y reviennent.