Pour le président de l’Udcy, le président Houphouët a combattu pour l’indépendance politique de la Côte d’Ivoire, le président Gbagbo, lui, combat pour la souveraineté économique, sociale et culturelle de la Côte d’Ivoire.
A la suite de la 265e réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, tenue le jeudi 10 mars 2011 et qui a reconnu M. Alassane Ouattara comme «président de la République de Côte d’Ivoire», des voix ne cessent de s’élever de partout pour dénoncer ce énième complot international.
C’est dans cette veine que s’inscrit le meeting animé par M. Mel Eg Théodore, président de l’Union démocratique et citoyenne et député de Jacqueville, le dimanche 13 mars 2011, dans la capitale des «3 A».
Devant une foule nombreuse venue des 31 villages de la localité, le leader des cadres de Jacqueville a prêché un message de vérité. Il a d’abord fustigé l’opposition qui, sous le couvert d’un soi-disant commando invisible, endeuille la population par des atrocités jamais connues sur la terre d’Eburnie.
Mel Théodore s’est indigné des manœuvres de la communauté Internationale visant à déstabiliser le régime constitutionnellement établi du président Gbagbo, pour faire main basse sur les ressources naturelles de la Côte d’Ivoire. Et ce, en complicité avec des pions à l’image du candidat malheureux du scrutin du 28 novembre 2011 Alassane Ouattara et tous ses collabos.
Pour lui, le vocable «communauté internationale» n’est rien d’autre qu’un euphémisme du mot «esclavagiste». C’est dire donc que les complots internationaux orchestrés par la communauté internationale dans les pays africains tels que le Congo, le Niger, le Tchad, pour ne citer que ces pays, ayant pour objectif de piller leurs ressources naturelles, représentent une forme moderne d’esclavage.
Aussi a-t-il présenté le président Laurent Gbagbo comme un homme de paix et de dialogue, qui malgré le tort fait à la Côte d’Ivoire, continue de tendre la main au candidat malheureux Alassane Ouattara.
« Si nous avons, dans la paix, ramené la liberté… ». Scandant en chœur cet extrait de l’Hymne national avec l’auditoire, Mel a voulu enseigner à Ouattara et à ses partisans, que c’est dans la paix qu’on peut bâtir le développement de la Côte d’Ivoire.
S’adressant à la population, le député de Jacqueville a demandé de ne pas céder à la rumeur, une autre arme que les déstabilisateurs de la Côte d’Ivoire utilisent pour intoxiquer et semer le doute dans l’esprit de la population.
Avant lui, tous les autres intervenants à savoir, le président du comité d’organisation, le président des jeunes, le porte-parole des cadres, la présidente des femmes et le président du Conseil général ont embouché la trompette du rejet des conclusions du panel. Aussi ont-ils réaffirmé leur soutien au président Gbagbo et leur attachement à la légalité constitutionnelle.
J-B E.
A la suite de la 265e réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, tenue le jeudi 10 mars 2011 et qui a reconnu M. Alassane Ouattara comme «président de la République de Côte d’Ivoire», des voix ne cessent de s’élever de partout pour dénoncer ce énième complot international.
C’est dans cette veine que s’inscrit le meeting animé par M. Mel Eg Théodore, président de l’Union démocratique et citoyenne et député de Jacqueville, le dimanche 13 mars 2011, dans la capitale des «3 A».
Devant une foule nombreuse venue des 31 villages de la localité, le leader des cadres de Jacqueville a prêché un message de vérité. Il a d’abord fustigé l’opposition qui, sous le couvert d’un soi-disant commando invisible, endeuille la population par des atrocités jamais connues sur la terre d’Eburnie.
Mel Théodore s’est indigné des manœuvres de la communauté Internationale visant à déstabiliser le régime constitutionnellement établi du président Gbagbo, pour faire main basse sur les ressources naturelles de la Côte d’Ivoire. Et ce, en complicité avec des pions à l’image du candidat malheureux du scrutin du 28 novembre 2011 Alassane Ouattara et tous ses collabos.
Pour lui, le vocable «communauté internationale» n’est rien d’autre qu’un euphémisme du mot «esclavagiste». C’est dire donc que les complots internationaux orchestrés par la communauté internationale dans les pays africains tels que le Congo, le Niger, le Tchad, pour ne citer que ces pays, ayant pour objectif de piller leurs ressources naturelles, représentent une forme moderne d’esclavage.
Aussi a-t-il présenté le président Laurent Gbagbo comme un homme de paix et de dialogue, qui malgré le tort fait à la Côte d’Ivoire, continue de tendre la main au candidat malheureux Alassane Ouattara.
« Si nous avons, dans la paix, ramené la liberté… ». Scandant en chœur cet extrait de l’Hymne national avec l’auditoire, Mel a voulu enseigner à Ouattara et à ses partisans, que c’est dans la paix qu’on peut bâtir le développement de la Côte d’Ivoire.
S’adressant à la population, le député de Jacqueville a demandé de ne pas céder à la rumeur, une autre arme que les déstabilisateurs de la Côte d’Ivoire utilisent pour intoxiquer et semer le doute dans l’esprit de la population.
Avant lui, tous les autres intervenants à savoir, le président du comité d’organisation, le président des jeunes, le porte-parole des cadres, la présidente des femmes et le président du Conseil général ont embouché la trompette du rejet des conclusions du panel. Aussi ont-ils réaffirmé leur soutien au président Gbagbo et leur attachement à la légalité constitutionnelle.
J-B E.
