Oui, je vous le dis : Nicolas Sarkozy, agent français de la Cia, participe volontairement à cette manipulation des Américains. Ce sont ces derniers qui l’ont fait président de la France. Souvenez-vous de l’affaire Clearstream montée par les Américains pour lui permettre de devancer son adversaire du même camp : Dominique de Villepin. Devenu président, Sarkozy applique à la lettre les consignes de la Cia, y compris laver un vieil affront que le Général de Gaulle leur a infligé : Sarkozy a fait adhérer à nouveau la France à ‘’l’Otan’’.
Pour la Côte d’Ivoire, «le coup de pousse» à Alassane Ouattara est un plan conçu par la Cia américaine et inspiré par le lobby des chocolatiers américains avec son réseau mondial. La raison : les Ivoiriens se détournent du cacao pour l’hévéa. Il leur faut une population acquise pour produire essentiellement le cacao. Pour mieux vous le faire comprendre, revisitons l’histoire et ses faits.
Nous sommes en 1988. Face à la baisse des prix sur le marché mondial, le président Houphouët-Boigny refuse de vendre le cacao. Il fait brûler la production pour montrer son ras-le-bol. Le stock de sécurité américain prend un coup. Le lobby des chocolatiers américains prend cela comme une trahison de la Côte d’Ivoire et un grand risque à ne plus revivre. «Après avoir aidé ce pays à devenir premier producteur de cacao, voilà qu’il nous paie en monnaie de singe !».
Mais ces puissants chocolatiers américains ont éprouvé de la pudeur à attaquer Houphouët-Boigny qui, en son temps, avait proposé la double nationalité sur recommandation des chocolatiers américains. Cependant, les Américains ont conçu un plan pour précipiter sa mort comme ils l’ont fait plus tard avec Eyadéma, Bongo, etc.
En 1989, la Cia organise l’asphyxie de la Côte d’Ivoire à travers le Fonds monétaire international (Fmi) et présente Alassane Ouattara comme le sauveur. Houphouët se voit obligé de l’accepter. Ouattara est bombardé Premier ministre d’Houphouët. Ce poste n’avait jamais existé en Côte d’Ivoire.
La Présidence n’est plus loin pour l’Ivoiro-Burkinabé. Dans la foulée, la Cia organise
le mariage de ses deux agents désormais réunis en Côte d’Ivoire : Monsieur Ouattara épouse Dominique Nouvian à Neuilly chez le maire Nicolas Sarkozy, un autre agent de la Cia en France. Houphouët-Boigny «peut» désormais mourir. Les Américains se débarrassent de lui en 1993. A ce moment-là, ils pensent avoir réussi leur coup quand surgit Henri Konan Bédié, avec l’appui des Français, grâce à l’article 11 de la Constitution ivoirienne.
Sur ce point, Houphouët les a doublé, Ouattara et ses maîtres chocolatiers, au chapitre de la succession. Ouattara s’agite pour rien. Il n’aura pas le pouvoir. Pendant la petite guerre de succession ouverte par Ouattara à la mort d’Houphouët, Gbagbo déclare qu’il n’aime pas la transmission monarchique du pouvoir, mais il démontre qu’il est légaliste et opte pour l’installation de Bédié au pouvoir.
Pour la Côte d’Ivoire, «le coup de pousse» à Alassane Ouattara est un plan conçu par la Cia américaine et inspiré par le lobby des chocolatiers américains avec son réseau mondial. La raison : les Ivoiriens se détournent du cacao pour l’hévéa. Il leur faut une population acquise pour produire essentiellement le cacao. Pour mieux vous le faire comprendre, revisitons l’histoire et ses faits.
Nous sommes en 1988. Face à la baisse des prix sur le marché mondial, le président Houphouët-Boigny refuse de vendre le cacao. Il fait brûler la production pour montrer son ras-le-bol. Le stock de sécurité américain prend un coup. Le lobby des chocolatiers américains prend cela comme une trahison de la Côte d’Ivoire et un grand risque à ne plus revivre. «Après avoir aidé ce pays à devenir premier producteur de cacao, voilà qu’il nous paie en monnaie de singe !».
Mais ces puissants chocolatiers américains ont éprouvé de la pudeur à attaquer Houphouët-Boigny qui, en son temps, avait proposé la double nationalité sur recommandation des chocolatiers américains. Cependant, les Américains ont conçu un plan pour précipiter sa mort comme ils l’ont fait plus tard avec Eyadéma, Bongo, etc.
En 1989, la Cia organise l’asphyxie de la Côte d’Ivoire à travers le Fonds monétaire international (Fmi) et présente Alassane Ouattara comme le sauveur. Houphouët se voit obligé de l’accepter. Ouattara est bombardé Premier ministre d’Houphouët. Ce poste n’avait jamais existé en Côte d’Ivoire.
La Présidence n’est plus loin pour l’Ivoiro-Burkinabé. Dans la foulée, la Cia organise
le mariage de ses deux agents désormais réunis en Côte d’Ivoire : Monsieur Ouattara épouse Dominique Nouvian à Neuilly chez le maire Nicolas Sarkozy, un autre agent de la Cia en France. Houphouët-Boigny «peut» désormais mourir. Les Américains se débarrassent de lui en 1993. A ce moment-là, ils pensent avoir réussi leur coup quand surgit Henri Konan Bédié, avec l’appui des Français, grâce à l’article 11 de la Constitution ivoirienne.
Sur ce point, Houphouët les a doublé, Ouattara et ses maîtres chocolatiers, au chapitre de la succession. Ouattara s’agite pour rien. Il n’aura pas le pouvoir. Pendant la petite guerre de succession ouverte par Ouattara à la mort d’Houphouët, Gbagbo déclare qu’il n’aime pas la transmission monarchique du pouvoir, mais il démontre qu’il est légaliste et opte pour l’installation de Bédié au pouvoir.