Faisant croire à leurs suiveurs qu'ils ont encore voix au chapitre en Côte d'Ivoire, les hommes de Laurent Gbagbo, après être parvenus à le convaincre sur une pseudo-nationalisation des banques commerciales fermées par leurs directions respectives, ont nommé des "administrateurs généraux par intérim" pour concrétiser le faux.
La Banque internationale pour le commerce et l'industrie en Côte d'Ivoire (Bicici), la Société générale de banque en Côte d'Ivoire (Sgbci), dans leurs différents communiqués, sont très précises. Leurs locaux restent fermés jusqu'à nouvel ordre. Pour leurs différentes directions générales, les conditions de sécurité ne permettent pas de travailler sereinement. Aussi le système de compensation archaïque mis en place après le "casse" de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'ouest (Bceao) rend-il le travail des banquiers laborieux. La Société ivoirienne de banque (Sib) n'est pas en reste ; elle demeure également fermée. Ainsi, comme on peut le savoir, les "administrateurs généraux par intérim" de la Bicici, Jean-Claude N'da Amétchi, de la Sgbci, Marcellin Zahui, de la Sib, Lambert Féh Kessé "fonctionnent dans le faux.
Ces "nouveaux nommés" n'ignorent pas qu'ils sont passibles de poursuites judiciaires et qu'ils courent de gros risques, dès que la situation se normalisera en Côte d'Ivoire pour une reprise effective des activités bancaires. Le Président de la République, Alassane Ouattara, mardi, dans son message à la nation, a dit sa volonté d'assainir la situation. Si des personnes, au nom d'on ne sait quel soutien à une certaine position inconséquente dite de consécration de la souveraineté, refusent de voir la vérité en face, elles doivent accepter d'en subir les conséquences, le temps venu.
Ck
La Banque internationale pour le commerce et l'industrie en Côte d'Ivoire (Bicici), la Société générale de banque en Côte d'Ivoire (Sgbci), dans leurs différents communiqués, sont très précises. Leurs locaux restent fermés jusqu'à nouvel ordre. Pour leurs différentes directions générales, les conditions de sécurité ne permettent pas de travailler sereinement. Aussi le système de compensation archaïque mis en place après le "casse" de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'ouest (Bceao) rend-il le travail des banquiers laborieux. La Société ivoirienne de banque (Sib) n'est pas en reste ; elle demeure également fermée. Ainsi, comme on peut le savoir, les "administrateurs généraux par intérim" de la Bicici, Jean-Claude N'da Amétchi, de la Sgbci, Marcellin Zahui, de la Sib, Lambert Féh Kessé "fonctionnent dans le faux.
Ces "nouveaux nommés" n'ignorent pas qu'ils sont passibles de poursuites judiciaires et qu'ils courent de gros risques, dès que la situation se normalisera en Côte d'Ivoire pour une reprise effective des activités bancaires. Le Président de la République, Alassane Ouattara, mardi, dans son message à la nation, a dit sa volonté d'assainir la situation. Si des personnes, au nom d'on ne sait quel soutien à une certaine position inconséquente dite de consécration de la souveraineté, refusent de voir la vérité en face, elles doivent accepter d'en subir les conséquences, le temps venu.
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