Reportage à Paris sur la façon dont ils vivent la situation
Les discussions sur la crise ivoirienne sont vives à la sortie du métro Château-rouge. « Gbagbo ne partira jamais ! », lance Kamagacé Simali, un agent d’entretien de 60 ans en pleine conversation avec un de ses compatriotes. Ce père de famille partisan d’Alassane Ouattara s’entretient au téléphone jour et nuit avec ses enfants restés en Côte d’Ivoire. « Mes deux enfants de 13 ans et 18 ans sont à Abobo, là où il y a eu le plus de violences. La fois dernière, lors des affrontements, les balles sont tombées derrière ma maison. Les enfants m’ont appelé en pleurant parce qu’ils avaient peur. Plus rien ne vas », confie-t-il. « On ne peut rien faire on n’est complètement démunis. La côte... suite de l'article sur Afrik.com
Les discussions sur la crise ivoirienne sont vives à la sortie du métro Château-rouge. « Gbagbo ne partira jamais ! », lance Kamagacé Simali, un agent d’entretien de 60 ans en pleine conversation avec un de ses compatriotes. Ce père de famille partisan d’Alassane Ouattara s’entretient au téléphone jour et nuit avec ses enfants restés en Côte d’Ivoire. « Mes deux enfants de 13 ans et 18 ans sont à Abobo, là où il y a eu le plus de violences. La fois dernière, lors des affrontements, les balles sont tombées derrière ma maison. Les enfants m’ont appelé en pleurant parce qu’ils avaient peur. Plus rien ne vas », confie-t-il. « On ne peut rien faire on n’est complètement démunis. La côte... suite de l'article sur Afrik.com