Sauver la presse libre pour empêcher Gbagbo et son clan de réaliser la guerre civile et le génocide planifiés....
Le Conseil national de la presse illégal dirigé par Deby Dally et les prédateurs de la liberté de la presse, s'est encore tristement signalé en suspendant pour un mois les quotidiens Le Jour plus et le Mandat. Le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre 2010, constate que des menaces lourdes et sérieuses continuent de planer sur la presse privée, libre et indépendante. En effet, huit journaux privés sont toujours menacés de fermeture, tout simplement parce qu’ils refusent d’accompagner les actes illégaux du gouvernement illégitime de Laurent Gbagbo. Les actes de menaces ne cessent de se multiplier.
Le dimanche 13 mars 2011, des éléments armés, se réclamant des Forces de défense et de sécurité disant répondre d’un ordre de leur hiérarchie, ont investi les locaux du siège du Quotidien Nord sud. Les installations du journal ont été fouillées de fond en comble par ces hommes en tenue, à la recherche d’armes à feu. Ils en sont repartis sans rien trouver, menaçant, par ailleurs, de visiter d’autres rédactions de la place.
Le vendredi 11 mars 2011, vers 03 heures du matin, des éléments des forces de sécurité, zélés, restés fidèles au président sortant ont investi les locaux de la société d’édition et de distribution EDIPRESSE pour empêcher la mise sur le marché de certains journaux.
Depuis le 28 janvier 2011 messieurs SANOGO Aboubacar et YAYORO Kangbé Charles, deux (2) journalistes de TV Notre Patrie sont détenus, sans raison évidente, à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
A ces actes antidémocratiques, s’ajoutent l’interruption de la diffusion en modulation de fréquence (FM) des chaînes de radio internationales BBC et RFI depuis le mercredi 2 mars 2011.
Le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre, rappelle que :
Le Nouveau Réveil, après avoir écopé auparavant d'une sanction pécuniaire, avait été suspendu pour six parutions du samedi 26 février 2011 au vendredi au 5 mars 2011.
Le quotidien le Jour plus a été condamné à payer d'abord une amende illégale d’un million de FCFA et ensuite une autre amende de deux millions de FCFA. Le quotidien Nord Sud avait été condamné à payer un million de FCFA. Le chauffeur du même Quotidien, Ouattara Yacouba, enlevé par des inconnus, reste introuvable jusqu'à ce jour. Le quotidien le Patriote a été condamné à payer un million de FCFA.
Les rédactions sont régulièrement menacées d'attaques et d’actes de vandalisme. Face à cette situation, le collectif avait suspendu sa parution pour quelques jours.
De ce qui précède, et pour marquer sa solidarité avec les confrères abusivement et arbitrairement suspendus, le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre 2010 décide, à compter du Jeudi 24 Mars 2011, et ce pour 72 heures, de suspendre la parution de ses journaux : le Nouveau Réveil, le Patriote, le Jour plus, le Mandat, l'Intelligent d'Abidjan, le Démocrate, l'Expression et Nord-Sud Quotidien.
Le collectif rejette vigoureusement les décisions illégales du CNP, organe de régulation renouvelé par un gouvernement illégitime.
Le collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre reste déterminé et mobilisé, pour dire Non ! à la dictature et à la barbarie du régime sortant de Laurent Gbagbo et de ses sinistres exécutants : Ouattara Gnonzié, Deby Dally Gbalawoulou et les 9 autres prédateurs et assassins de la liberté de presse (Amos Béhonao, Lahoua Souanga Etienne, Poblé Chantal, épouse Gohi, Bohui Komé Armand, Kokoré Kouassi, Gaudet Saturnin, Alliali N’Goran, Adjehi Atayé, Brou Comoé Marius).
Le Collectif tient à rappeler que la liberté de presse est un droit constitutionnel pour tous les Ivoiriens et les populations de Côte d'Ivoire. Il n'est donc pas question de laisser la pensée unique prospérer dans notre pays.
C'est pourquoi le collectif invite les journalistes démocrates et les médias libres à rester mobilisés, engagés et surtout à le rejoindre dans le combat pour la démocratie et la liberté de presse.
Le collectif interpelle instamment le gouvernement légitime sur les responsabilités à prendre pour garantir la liberté de la presse.
Il attire surtout l'attention de l’opinion nationale et internationale sur la volonté du gouvernement illégal de Laurent Gbagbo de réduire au silence la presse indépendante pour réaliser sa guerre civile et son génocide programmés.
Le temps est à l'action pour sauver la presse libre et empêcher l'exécution des horreurs planifiées.
Outre la présente suspension de parution, le collectif se réserve le droit de mener d'autres actions pour faire respecter et garantir la sécurité des journalistes et la liberté de la presse dans notre pays.
Fait à Abidjan, le 21 Mars 2011
Le Conseil national de la presse illégal dirigé par Deby Dally et les prédateurs de la liberté de la presse, s'est encore tristement signalé en suspendant pour un mois les quotidiens Le Jour plus et le Mandat. Le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre 2010, constate que des menaces lourdes et sérieuses continuent de planer sur la presse privée, libre et indépendante. En effet, huit journaux privés sont toujours menacés de fermeture, tout simplement parce qu’ils refusent d’accompagner les actes illégaux du gouvernement illégitime de Laurent Gbagbo. Les actes de menaces ne cessent de se multiplier.
Le dimanche 13 mars 2011, des éléments armés, se réclamant des Forces de défense et de sécurité disant répondre d’un ordre de leur hiérarchie, ont investi les locaux du siège du Quotidien Nord sud. Les installations du journal ont été fouillées de fond en comble par ces hommes en tenue, à la recherche d’armes à feu. Ils en sont repartis sans rien trouver, menaçant, par ailleurs, de visiter d’autres rédactions de la place.
Le vendredi 11 mars 2011, vers 03 heures du matin, des éléments des forces de sécurité, zélés, restés fidèles au président sortant ont investi les locaux de la société d’édition et de distribution EDIPRESSE pour empêcher la mise sur le marché de certains journaux.
Depuis le 28 janvier 2011 messieurs SANOGO Aboubacar et YAYORO Kangbé Charles, deux (2) journalistes de TV Notre Patrie sont détenus, sans raison évidente, à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA).
A ces actes antidémocratiques, s’ajoutent l’interruption de la diffusion en modulation de fréquence (FM) des chaînes de radio internationales BBC et RFI depuis le mercredi 2 mars 2011.
Le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre, rappelle que :
Le Nouveau Réveil, après avoir écopé auparavant d'une sanction pécuniaire, avait été suspendu pour six parutions du samedi 26 février 2011 au vendredi au 5 mars 2011.
Le quotidien le Jour plus a été condamné à payer d'abord une amende illégale d’un million de FCFA et ensuite une autre amende de deux millions de FCFA. Le quotidien Nord Sud avait été condamné à payer un million de FCFA. Le chauffeur du même Quotidien, Ouattara Yacouba, enlevé par des inconnus, reste introuvable jusqu'à ce jour. Le quotidien le Patriote a été condamné à payer un million de FCFA.
Les rédactions sont régulièrement menacées d'attaques et d’actes de vandalisme. Face à cette situation, le collectif avait suspendu sa parution pour quelques jours.
De ce qui précède, et pour marquer sa solidarité avec les confrères abusivement et arbitrairement suspendus, le Collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre 2010 décide, à compter du Jeudi 24 Mars 2011, et ce pour 72 heures, de suspendre la parution de ses journaux : le Nouveau Réveil, le Patriote, le Jour plus, le Mandat, l'Intelligent d'Abidjan, le Démocrate, l'Expression et Nord-Sud Quotidien.
Le collectif rejette vigoureusement les décisions illégales du CNP, organe de régulation renouvelé par un gouvernement illégitime.
Le collectif des journaux pour la sauvegarde des acquis du 28 novembre reste déterminé et mobilisé, pour dire Non ! à la dictature et à la barbarie du régime sortant de Laurent Gbagbo et de ses sinistres exécutants : Ouattara Gnonzié, Deby Dally Gbalawoulou et les 9 autres prédateurs et assassins de la liberté de presse (Amos Béhonao, Lahoua Souanga Etienne, Poblé Chantal, épouse Gohi, Bohui Komé Armand, Kokoré Kouassi, Gaudet Saturnin, Alliali N’Goran, Adjehi Atayé, Brou Comoé Marius).
Le Collectif tient à rappeler que la liberté de presse est un droit constitutionnel pour tous les Ivoiriens et les populations de Côte d'Ivoire. Il n'est donc pas question de laisser la pensée unique prospérer dans notre pays.
C'est pourquoi le collectif invite les journalistes démocrates et les médias libres à rester mobilisés, engagés et surtout à le rejoindre dans le combat pour la démocratie et la liberté de presse.
Le collectif interpelle instamment le gouvernement légitime sur les responsabilités à prendre pour garantir la liberté de la presse.
Il attire surtout l'attention de l’opinion nationale et internationale sur la volonté du gouvernement illégal de Laurent Gbagbo de réduire au silence la presse indépendante pour réaliser sa guerre civile et son génocide programmés.
Le temps est à l'action pour sauver la presse libre et empêcher l'exécution des horreurs planifiées.
Outre la présente suspension de parution, le collectif se réserve le droit de mener d'autres actions pour faire respecter et garantir la sécurité des journalistes et la liberté de la presse dans notre pays.
Fait à Abidjan, le 21 Mars 2011