ABUJA, Le chef de l`Etat nigérian Goodluck Jonathan a
indiqué mercredi que la Cédéao pourrait demander à l`ONU d`aller plus loin
dans sa réponse à la crise post-électorale en Côte d`Ivoire, à l`ouverture
d`un sommet de l`organisation régionale à Abuja.
"Je pense que nous pouvons adopter une résolution pour demander à l`ONU de
prendre des mesures un peu plus sérieuses concernant la situation en Côte
d`Ivoire", a-t-il déclaré aux dirigeants de la Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays).
"Je n`ai aucun doute que nous avons la volonté, l`engagement et la
détermination collective pour mettre un terme à la triste crise en Côte
d`Ivoire", a poursuivi M. Jonathan, président en exercice de la Cédéao.
Il a ajouté espérer que cela pourrait se faire "sans faire usage de la
force légitime".
Les chefs d`Etat et de gouvernements ouest-africains ont entamé mercredi un
sommet ordinaire de deux jours dans la capitale fédérale nigériane Abuja,
consacré notamment à la grave crise en Côte d`Ivoire, née de la présidentielle
du 28 novembre 2010.
En décembre, la Cédéao avait menacé de faire usage de la force pour chasser
du pouvoir le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à la faveur de son
rival Alassane Ouattara, reconnu élu par la quasi-totalité de la communauté
internationale.
indiqué mercredi que la Cédéao pourrait demander à l`ONU d`aller plus loin
dans sa réponse à la crise post-électorale en Côte d`Ivoire, à l`ouverture
d`un sommet de l`organisation régionale à Abuja.
"Je pense que nous pouvons adopter une résolution pour demander à l`ONU de
prendre des mesures un peu plus sérieuses concernant la situation en Côte
d`Ivoire", a-t-il déclaré aux dirigeants de la Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays).
"Je n`ai aucun doute que nous avons la volonté, l`engagement et la
détermination collective pour mettre un terme à la triste crise en Côte
d`Ivoire", a poursuivi M. Jonathan, président en exercice de la Cédéao.
Il a ajouté espérer que cela pourrait se faire "sans faire usage de la
force légitime".
Les chefs d`Etat et de gouvernements ouest-africains ont entamé mercredi un
sommet ordinaire de deux jours dans la capitale fédérale nigériane Abuja,
consacré notamment à la grave crise en Côte d`Ivoire, née de la présidentielle
du 28 novembre 2010.
En décembre, la Cédéao avait menacé de faire usage de la force pour chasser
du pouvoir le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à la faveur de son
rival Alassane Ouattara, reconnu élu par la quasi-totalité de la communauté
internationale.