Le Général de Division, Abdul Hafiz, a jugé mardi à Abidjan, que son bilan, en tant que Commandant de la force de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), était une réussite.
Le Général Hafiz, qui s’exprimait sur son séjour en Côte d’Ivoire, est revenu sur le mandat et les actions de la Force. « Mon séjour ici a été divisé en deux périodes : la partie pré-électorale et la crise postélectorale », a-t-il indiqué.
Sur le premier point, le Général Hafiz, s’appuyant sur le mandat de l’ONUCI, a estimé que la mission de la Force, qui était entre autres, d’apporter le soutien logistique, matériel et sécuritaire à l’organisation de l’élection présidentielle, a été incontestablement une réussite totale pour l’ONUCI. »
En plus d’avoir apporté notre soutien à la Commission électorale indépendante, nos unités étaient déployées d’une manière permanente et visible sur le terrain et nous avons fait des patrouilles intensifiées de jour et de nuit dans des zones sensibles et de violences potentielles et assuré la protection des civils et humanitaires en danger immédiat », a indiqué le Chef de la force, rappelant en outre que les élections s’étaient déroulées dans des conditions apaisées avec un taux de participation de plus de 80%.
S’agissant de la crise postélectorale, le Général Hafiz a tenu à indiquer que la Force continuait d’accomplir sa mission. « Nous protégeons l’Hotel du Golf où se trouvent le Président élu et les membres du gouvernement, les installations de l’ONUCI, le personnel de l’ONUCI et nos équipements », a-t-il souligné. Il a ajouté que sur le terrain, le force onusienne continuait d’assurer sa liberté de mouvements, continuait ses patrouilles et dans la mesure du possible, assurait la protection des civils en danger imminent de violence.
Dans le même ordre d’idées, le Commandant de la Force a estimé que l’acquisition de nouveaux matériels militaires allait donner à l’ONUCI, les capacités d’agir, de bouger et de réagir rapidement. « C’est véritablement une arme importante et significative pour l’ONUCI », a-t-il souligné.
Interrogé sur la situation dans l’Ouest du pays, le Général Hafiz a indiqué que les affrontements entre les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et les Forces de défense et de sécurité (FDS) étaient essentiellement « une affaire » entre les deux ex-belligérants. « Nous avons constaté que ce sont les FDS qui, les premiers, ont franchi la ligne de l’ex-zone de confiance violant ainsi le cessez-le-feu et les FRCI ont alors commencé à avancer vers l’Est »
« Nous sommes presqu’à la fin de cette crise », a noté le Commandant de la Force qui a confié qu’il retournerait dans son pays le Bangladesh après une mission d’un an qualifiée de « réussite totale ».
Le Général Hafiz, qui s’exprimait sur son séjour en Côte d’Ivoire, est revenu sur le mandat et les actions de la Force. « Mon séjour ici a été divisé en deux périodes : la partie pré-électorale et la crise postélectorale », a-t-il indiqué.
Sur le premier point, le Général Hafiz, s’appuyant sur le mandat de l’ONUCI, a estimé que la mission de la Force, qui était entre autres, d’apporter le soutien logistique, matériel et sécuritaire à l’organisation de l’élection présidentielle, a été incontestablement une réussite totale pour l’ONUCI. »
En plus d’avoir apporté notre soutien à la Commission électorale indépendante, nos unités étaient déployées d’une manière permanente et visible sur le terrain et nous avons fait des patrouilles intensifiées de jour et de nuit dans des zones sensibles et de violences potentielles et assuré la protection des civils et humanitaires en danger immédiat », a indiqué le Chef de la force, rappelant en outre que les élections s’étaient déroulées dans des conditions apaisées avec un taux de participation de plus de 80%.
S’agissant de la crise postélectorale, le Général Hafiz a tenu à indiquer que la Force continuait d’accomplir sa mission. « Nous protégeons l’Hotel du Golf où se trouvent le Président élu et les membres du gouvernement, les installations de l’ONUCI, le personnel de l’ONUCI et nos équipements », a-t-il souligné. Il a ajouté que sur le terrain, le force onusienne continuait d’assurer sa liberté de mouvements, continuait ses patrouilles et dans la mesure du possible, assurait la protection des civils en danger imminent de violence.
Dans le même ordre d’idées, le Commandant de la Force a estimé que l’acquisition de nouveaux matériels militaires allait donner à l’ONUCI, les capacités d’agir, de bouger et de réagir rapidement. « C’est véritablement une arme importante et significative pour l’ONUCI », a-t-il souligné.
Interrogé sur la situation dans l’Ouest du pays, le Général Hafiz a indiqué que les affrontements entre les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et les Forces de défense et de sécurité (FDS) étaient essentiellement « une affaire » entre les deux ex-belligérants. « Nous avons constaté que ce sont les FDS qui, les premiers, ont franchi la ligne de l’ex-zone de confiance violant ainsi le cessez-le-feu et les FRCI ont alors commencé à avancer vers l’Est »
« Nous sommes presqu’à la fin de cette crise », a noté le Commandant de la Force qui a confié qu’il retournerait dans son pays le Bangladesh après une mission d’un an qualifiée de « réussite totale ».