Dans une déclaration attribuée à notre mouvement et adressée à l’Ambassade du Liban à Abidjan, des quidams ont cru pouvoir usurper notre identité et se servir de notre combat à des fins très peu recommandables. A cet effet, ils s’en sont pris à « toutes les communautés étrangères vivant sur le sol béni ivoirien et en particulier la communauté libanaise qui ne cesse de s’ingérer dans les affaires politiques de notre chère Côte d’Ivoire et ceci, en finançant le tyran-dictateur Laurent Gbagbo et ses criminels (…) », proférant des menaces à leur endroit.
Suprême abomination, ce vrai-faux « commando invisibles », se disant branche militaire de la révolution du 1er mars, qui, en vérité, ne sait ni qui nous sommes, ni pourquoi nous nous battons contre le sanguinaire Laurent Gbagbo, pousse le bouchon jusqu’à revendiquer « l’enlèvement et l’exécution d’un traitre d’origine libanaise nommé Khalil Ali Fawaz (…) ».
Ne pouvant laisser prospérer une telle infamie, l’état-major du « commando invisible, le vrai, élève la plus vive protestation contre de telles pratiques mafieuses, s’indigne contre le comportement peu honorable du ou des auteurs de ce tract qui vise, manifestement, un double objectif : d’une part discréditer notre cause, et d’autre part semer la panique au sein des populations non ivoiriennes. Aussi, le « Commando invisible » tient-il à rassurer l’ensemble de nos compatriotes et surtout toutes les communautés étrangères vivant en Côte d’Ivoire que sa lutte ne vise qu’un seul but : arracher notre patrie des mains de l’usurpateur de Mama. Ce combat, le « Commando invisible » le mène non seulement au nom du peuple ivoirien, pour faire triompher la démocratie, mais aussi pour redonner à notre pays, sa vocation première de locomotive économique de la région et de terre d’hospitalité. Nous restons convaincus que le sol de Côte d’Ivoire peut nourrir tous ceux qui le chérissent et qui y vivent, à condition de chasser ceux qui prennent tout pour eux et pour eux seuls, à savoir Laurent Gbagbo et son clan.
Fait à Abidjan le lundi 28 mars 2011
Pour l’état-major du « Commando invisible »,
Le porte-parole
Tienfo Coumba
Suprême abomination, ce vrai-faux « commando invisibles », se disant branche militaire de la révolution du 1er mars, qui, en vérité, ne sait ni qui nous sommes, ni pourquoi nous nous battons contre le sanguinaire Laurent Gbagbo, pousse le bouchon jusqu’à revendiquer « l’enlèvement et l’exécution d’un traitre d’origine libanaise nommé Khalil Ali Fawaz (…) ».
Ne pouvant laisser prospérer une telle infamie, l’état-major du « commando invisible, le vrai, élève la plus vive protestation contre de telles pratiques mafieuses, s’indigne contre le comportement peu honorable du ou des auteurs de ce tract qui vise, manifestement, un double objectif : d’une part discréditer notre cause, et d’autre part semer la panique au sein des populations non ivoiriennes. Aussi, le « Commando invisible » tient-il à rassurer l’ensemble de nos compatriotes et surtout toutes les communautés étrangères vivant en Côte d’Ivoire que sa lutte ne vise qu’un seul but : arracher notre patrie des mains de l’usurpateur de Mama. Ce combat, le « Commando invisible » le mène non seulement au nom du peuple ivoirien, pour faire triompher la démocratie, mais aussi pour redonner à notre pays, sa vocation première de locomotive économique de la région et de terre d’hospitalité. Nous restons convaincus que le sol de Côte d’Ivoire peut nourrir tous ceux qui le chérissent et qui y vivent, à condition de chasser ceux qui prennent tout pour eux et pour eux seuls, à savoir Laurent Gbagbo et son clan.
Fait à Abidjan le lundi 28 mars 2011
Pour l’état-major du « Commando invisible »,
Le porte-parole
Tienfo Coumba