Le domicile de Sylla Sindou pillé et saccagé
Le responsable de la communication du RHDP à Odienné vient de faire les frais de cette crise postélectorale. Son domicile situé, à quelques encablures, du camp commando d’Abobo a été pillé et saccagé dans la nuit du mardi à mercredi. Sylla Sindou, qui se trouve en ce moment à Odienné, avait été prié, comme bon nombre de riverains, de vider les lieux par les miliciens et mercenaires de Gbagbo, qui occupaient ce camp. A l’instar de la demeure de ce membre du Bureau Exécutif National du RJR, plusieurs autres maisons ont été également mises sens dessus-dessous.
Avis aux lecteurs
En raison de la dégradation de la situation sécuritaire du pays, nous ne sommes pas en mesure de produire un journal dans sa pagination habituelle. La sécurité de nos agents étant une préoccupation, nous mettons sur le marché un journal au format réduit, avec un tirage considérablement négligeable. En fait, les difficultés de distribution constatées ces derniers jours, nous ont poussés à réduire le tirage. Nous espérons renouer avec vous, dans les plus brefs délais, avec un journal normal. Heureusement, vous l’aurez compris, chers lecteurs et partenaires, nous n’en avons plus pour longtemps avec les ennemis de la liberté de la presse. Toutes nos excuses.
La direction
Le responsable de la communication du RHDP à Odienné vient de faire les frais de cette crise postélectorale. Son domicile situé, à quelques encablures, du camp commando d’Abobo a été pillé et saccagé dans la nuit du mardi à mercredi. Sylla Sindou, qui se trouve en ce moment à Odienné, avait été prié, comme bon nombre de riverains, de vider les lieux par les miliciens et mercenaires de Gbagbo, qui occupaient ce camp. A l’instar de la demeure de ce membre du Bureau Exécutif National du RJR, plusieurs autres maisons ont été également mises sens dessus-dessous.
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En raison de la dégradation de la situation sécuritaire du pays, nous ne sommes pas en mesure de produire un journal dans sa pagination habituelle. La sécurité de nos agents étant une préoccupation, nous mettons sur le marché un journal au format réduit, avec un tirage considérablement négligeable. En fait, les difficultés de distribution constatées ces derniers jours, nous ont poussés à réduire le tirage. Nous espérons renouer avec vous, dans les plus brefs délais, avec un journal normal. Heureusement, vous l’aurez compris, chers lecteurs et partenaires, nous n’en avons plus pour longtemps avec les ennemis de la liberté de la presse. Toutes nos excuses.
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