Surtout, éviter de monter en première ligne pour ne pas donner prise aux arguments de Laurent Gbagbo. Après les résultats de la présidentielle ivoirienne du 28 novembre , auxquels le chef de l'État sortant refuse de se plier, la France trace la ligne diplomatique qui, après quatre mois de statu quo, a fini par placer Gbagbo dos au mur. Une stratégie payante, même si le sort de l'ex-homme fort d'Abidjan, dont Nicolas Sarkozy s'est entretenu vendredi à l'Élysée avec François Fillon, Alain Juppé et Gérard Longuet, restait incertain. «Les responsables d'exactions n'échapperont pas à leur responsabilité pénale», a prévenu la présidence française dans un communiqué.
Détestation cordiale
Activisme et discrétion - c'est en marchant sur ses deux jambes que Paris a... suite de l'article sur Le Figaro
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