PARIS, Le chef d'état-major des armées, Edouard
Guillaud, a affirmé lundi qu'il n'y avait eu "aucun rôle particulier des
forces spéciales" françaises "ni hier, ni aujourd'hui", lors de l'arrestation
du président ivoirien sortant, Laurent Gbagbo.
Interrogé lors d'un point presse sur le rôle des forces spéciales, l'amiral
Guillaud a souligné que les hommes des forces spéciales étaient en revanche
intervenus lors de l'extraction de l'ambassadeur du Japon de sa résidence,
mercredi soir.
Soulignant que l'arrestation de Laurent Gbagbo avait été effectuée par les
forces du président reconnu par la communauté internationale Alassane
Ouattara, il a simplement dit : "Ils nous ont dit que Laurent Gbagbo s'est
rendu à la porte de sa résidence".
Le ministre de la Défense Gérard Longuet a souligné pour sa part, au cours
du même point de presse, que le soutien de la force française Licorne lors de
l'arrestation de Laurent Gbagbo avait été "un soutien aérien", au travers de
quatre hélicoptères Gazelle.
sm-dch/df
Guillaud, a affirmé lundi qu'il n'y avait eu "aucun rôle particulier des
forces spéciales" françaises "ni hier, ni aujourd'hui", lors de l'arrestation
du président ivoirien sortant, Laurent Gbagbo.
Interrogé lors d'un point presse sur le rôle des forces spéciales, l'amiral
Guillaud a souligné que les hommes des forces spéciales étaient en revanche
intervenus lors de l'extraction de l'ambassadeur du Japon de sa résidence,
mercredi soir.
Soulignant que l'arrestation de Laurent Gbagbo avait été effectuée par les
forces du président reconnu par la communauté internationale Alassane
Ouattara, il a simplement dit : "Ils nous ont dit que Laurent Gbagbo s'est
rendu à la porte de sa résidence".
Le ministre de la Défense Gérard Longuet a souligné pour sa part, au cours
du même point de presse, que le soutien de la force française Licorne lors de
l'arrestation de Laurent Gbagbo avait été "un soutien aérien", au travers de
quatre hélicoptères Gazelle.
sm-dch/df