Désiré Tagro, l'ex-ministre de l'Intérieur de Laurent Gbagbo, est mort ce matin des suites de ses blessures infligées lors de l'assaut final de la résidence de Gbagbo, à la résidence de Cocody, affirment plusieurs sources bien informées à Abidjan.
Présent dans les sous-sols de la résidence aux côtés de la famille Gbagbo, il aurait été sévérement battu à coups de crosse par les soldats pro-Ouattara. D'autres sources affirment que sa mort serait due à des blessures par balles. Il a été transporté hier soir par les forces de l'ONU à l'hôpital Pisam d'Abidjan, où il est décédé.
Désiré Tagro était une figure du régime déchu. Considéré comme un dur, il avait négocié les accords de Ouagadougou qui, en mars 2007, avaient établi une feuille de route pour aller aux élections présidentielles.
Une centaine de personnes ont été appréhendées, lundi, par les forces de Ouattara, à la résidence de Cocody, dont certains responsables de la sécurité et des militaires qui pourraient être impliqués, entre autres, dans l'enlèvement du journaliste franco-canadien, Guy-André Kieffer.
Présent dans les sous-sols de la résidence aux côtés de la famille Gbagbo, il aurait été sévérement battu à coups de crosse par les soldats pro-Ouattara. D'autres sources affirment que sa mort serait due à des blessures par balles. Il a été transporté hier soir par les forces de l'ONU à l'hôpital Pisam d'Abidjan, où il est décédé.
Désiré Tagro était une figure du régime déchu. Considéré comme un dur, il avait négocié les accords de Ouagadougou qui, en mars 2007, avaient établi une feuille de route pour aller aux élections présidentielles.
Une centaine de personnes ont été appréhendées, lundi, par les forces de Ouattara, à la résidence de Cocody, dont certains responsables de la sécurité et des militaires qui pourraient être impliqués, entre autres, dans l'enlèvement du journaliste franco-canadien, Guy-André Kieffer.