LONDRES - Deux cents Ivoiriens environ ont manifesté samedi à Londres leur soutien à l`intervention de Paris, qui a permis de porter au pouvoir le président Alassane Ouattara, internationalement reconnu.
Réunis devant l`ambassade de France à Londres, les partisans de M. Ouattara
sont venus "témoigner (leur) reconnaissance" à la France, a expliqué à l`AFP
l`organisateur de la manifestation, Issiaka Konaté, président au Royaume-Uni
du Rassemblement des Républicains (RDR, parti pro-Ouattara).
Dans une lettre adressée à l`ambassadeur de France, Bernard Emié, les
partisans du nouveau président ivoirien ont "salué les efforts" de la France
en Côte d`Ivoire "depuis plus de cinquante ans", disant leur "infinie
reconnaissance et profonde gratitude pour l`appui inestimable (de Paris) à la
lutte pour la démocratie en Côte d`Ivoire".
Après quatre mois de crise, le président sortant Laurent Gbagbo a été
arrêté le 11 avril par les forces du chef de l`Etat internationalement reconnu
Alassane Ouattara, après un pilonnage intensif mené par les forces françaises
et celles de l`Onu, selon les Nations unies, Paris et le gouvernement de M.
Ouattara.
Le camp Gbagbo accuse Paris d`avoir envoyé des forces spéciales pour
"enlever" Laurent Gbagbo, ce que Paris a catégoriquement démenti.
Réunis devant l`ambassade de France à Londres, les partisans de M. Ouattara
sont venus "témoigner (leur) reconnaissance" à la France, a expliqué à l`AFP
l`organisateur de la manifestation, Issiaka Konaté, président au Royaume-Uni
du Rassemblement des Républicains (RDR, parti pro-Ouattara).
Dans une lettre adressée à l`ambassadeur de France, Bernard Emié, les
partisans du nouveau président ivoirien ont "salué les efforts" de la France
en Côte d`Ivoire "depuis plus de cinquante ans", disant leur "infinie
reconnaissance et profonde gratitude pour l`appui inestimable (de Paris) à la
lutte pour la démocratie en Côte d`Ivoire".
Après quatre mois de crise, le président sortant Laurent Gbagbo a été
arrêté le 11 avril par les forces du chef de l`Etat internationalement reconnu
Alassane Ouattara, après un pilonnage intensif mené par les forces françaises
et celles de l`Onu, selon les Nations unies, Paris et le gouvernement de M.
Ouattara.
Le camp Gbagbo accuse Paris d`avoir envoyé des forces spéciales pour
"enlever" Laurent Gbagbo, ce que Paris a catégoriquement démenti.