Le député de Vavoua, Gouali Dodo, par ailleurs président de l’Ong ‘‘Action pour la France’’, donne ses sentiments sur la fin de la crise postélectorale avec l’arrestation de l’ancien président, Laurent Gbagbo.
Quels sont vos sentiments après l’arrestation de Laurent Gbagbo?
La capture de Laurent Gbagbo met fin à plus de quatre mois d’usurpation du pouvoir. Son arrestation met fin au banditisme et au gangstérisme politique qui ont pour conséquence la mort inutile de plusieurs personnes innocentes. Vous comprenez que je sois animé d’un sentiment de joie ainsi que tous les Ivoiriens depuis que le président Alassane Ouattara a pris entièrement les rennes du pouvoir d’Etat à lui confiées par la grande majorité du peuple ivoirien le 28 novembre 2010. A travers ma modeste personne, c’est le département de Vavoua qui a voté majoritairement le président Alassane Ouattara sous ma houlette en tant que directeur départemental de campagne, qui est heureux.
Comment jugez-vous l’intervention de la France dans le dénouement de la crise?
Les soldats français de la force Licorne qui agissent sous le mandat de l’Onu, ont joué un grand rôle dans la libération de notre pays. En détruisant les armes lourdes des mercenaires et miliciens pro Gbagbo, ils ont évité à la Côte d’Ivoire, un génocide savamment planifié par Laurent Gbagbo, Affi N’guessan et Dogbo Blé. Moi, qui suis un francophile endurci, président de l’Ong Action pour la France, je ne peux que me réjouir de l’intervention des forces françaises et Onusiennes qui ont facilité la tache aux forces républicaines afin de capturer l’usurpateur en chef en préservant son intégrité physique comme l’exigeait le président de la République Alassane Ouattara.
Quelle devrait être la priorité pour le président Alassane Ouattara?
Il est clair que la priorité du président de la République, c’est de remettre très rapidement les Ivoiriens au travail dans un climat de sécurité, de confiance retrouvée et de paix.
Avec les meurtrissures et rancœurs dues aux récents évènements croyez-vous encore à la réconciliation des Ivoiriens?
La reconstruction de la Côte d’Ivoire dans la paix et la stabilité est l’une des priorités du programme de gouvernement du président Alassane Ouattara. Beaucoup de défis doivent être relevés pour permettre aux Ivoiriens de vivre dans un environnement apaisé. Il s’agit notamment de la lutte contre ne chômage des jeunes, du retour des entreprises dans notre pays, et de l’accès pour tous aux soins dans les hôpitaux. Les Ivoiriens ont donc intérêt à se pardonner, nonobstant les meurtrissures causées par Gbagbo et son clan de voleurs de pouvoir. Ce qui est non négociable, c’est la mise à la disposition de la Cour pénale internationale de M. Gbagbo et de son épouse dans les tous prochains jours, ainsi que certains de ses proches collaborateurs dont Paul Yao N’dré et autres pour répondre de tous les crimes.
Le plus dure pour les Ivoiriens est selon vous, passé ou est à venir?
Il est vrai que pour nous militants du Rhdp, mais aussi et surtout pour la communauté internationale, c'est-à-dire la Cedeao, l’Ua, l’Ue, l’Onu, les Etats Unis et la France, le plus dure c’était de faire respecter le verdict des urnes en Côte d’Ivoire. C’est ce qui a été fait par les forces républicaines de Côte d’Ivoire. Je voudrais à ce niveau rendre hommage au Premier ministre, ministre de la Défense Guillaume Soro. Si le respect du verdict des urnes est désormais un acquis, l’étape de la réconciliation nationale reste un grand défi que le président de la République et tous les Ivoiriens doivent relever.
K.M.D
Quels sont vos sentiments après l’arrestation de Laurent Gbagbo?
La capture de Laurent Gbagbo met fin à plus de quatre mois d’usurpation du pouvoir. Son arrestation met fin au banditisme et au gangstérisme politique qui ont pour conséquence la mort inutile de plusieurs personnes innocentes. Vous comprenez que je sois animé d’un sentiment de joie ainsi que tous les Ivoiriens depuis que le président Alassane Ouattara a pris entièrement les rennes du pouvoir d’Etat à lui confiées par la grande majorité du peuple ivoirien le 28 novembre 2010. A travers ma modeste personne, c’est le département de Vavoua qui a voté majoritairement le président Alassane Ouattara sous ma houlette en tant que directeur départemental de campagne, qui est heureux.
Comment jugez-vous l’intervention de la France dans le dénouement de la crise?
Les soldats français de la force Licorne qui agissent sous le mandat de l’Onu, ont joué un grand rôle dans la libération de notre pays. En détruisant les armes lourdes des mercenaires et miliciens pro Gbagbo, ils ont évité à la Côte d’Ivoire, un génocide savamment planifié par Laurent Gbagbo, Affi N’guessan et Dogbo Blé. Moi, qui suis un francophile endurci, président de l’Ong Action pour la France, je ne peux que me réjouir de l’intervention des forces françaises et Onusiennes qui ont facilité la tache aux forces républicaines afin de capturer l’usurpateur en chef en préservant son intégrité physique comme l’exigeait le président de la République Alassane Ouattara.
Quelle devrait être la priorité pour le président Alassane Ouattara?
Il est clair que la priorité du président de la République, c’est de remettre très rapidement les Ivoiriens au travail dans un climat de sécurité, de confiance retrouvée et de paix.
Avec les meurtrissures et rancœurs dues aux récents évènements croyez-vous encore à la réconciliation des Ivoiriens?
La reconstruction de la Côte d’Ivoire dans la paix et la stabilité est l’une des priorités du programme de gouvernement du président Alassane Ouattara. Beaucoup de défis doivent être relevés pour permettre aux Ivoiriens de vivre dans un environnement apaisé. Il s’agit notamment de la lutte contre ne chômage des jeunes, du retour des entreprises dans notre pays, et de l’accès pour tous aux soins dans les hôpitaux. Les Ivoiriens ont donc intérêt à se pardonner, nonobstant les meurtrissures causées par Gbagbo et son clan de voleurs de pouvoir. Ce qui est non négociable, c’est la mise à la disposition de la Cour pénale internationale de M. Gbagbo et de son épouse dans les tous prochains jours, ainsi que certains de ses proches collaborateurs dont Paul Yao N’dré et autres pour répondre de tous les crimes.
Le plus dure pour les Ivoiriens est selon vous, passé ou est à venir?
Il est vrai que pour nous militants du Rhdp, mais aussi et surtout pour la communauté internationale, c'est-à-dire la Cedeao, l’Ua, l’Ue, l’Onu, les Etats Unis et la France, le plus dure c’était de faire respecter le verdict des urnes en Côte d’Ivoire. C’est ce qui a été fait par les forces républicaines de Côte d’Ivoire. Je voudrais à ce niveau rendre hommage au Premier ministre, ministre de la Défense Guillaume Soro. Si le respect du verdict des urnes est désormais un acquis, l’étape de la réconciliation nationale reste un grand défi que le président de la République et tous les Ivoiriens doivent relever.
K.M.D
