NEW YORK (Nations unies), Le Conseil de sécurité de
l`ONU a adopté jeudi une résolution qui reconduit pour un an et non plus six
mois l`embargo sur les armes vers la Côte d`Ivoire afin d`assurer une
transition apaisée au président Alassane Ouattara.
Les quinze pays membres du Conseil ont adopté cette résolution qui
reconduit jusqu`au 30 avril 2012 l`embargo sur les armes à destination de la
Côte d`Ivoire et l`embargo sur les exportations de diamants bruts provenant du
pays.
Il porte aussi sur l`interdiction de voyages et le gel des avoirs de six
personnes, dont Laurent Gbagbo et sa femme Simone.
Le Conseil de sécurité avait instauré cet embargo pour un an en octobre
2008. Il avait été reconduit en 2009 pour la même durée, puis pour six mois en
octobre 2010.
Cette reconduction pour un an permet en outre d`aller au-delà des élections
législatives qui doivent avoir lieu avant la fin de l`année en Côte d`Ivoire.
En vue d`un tel scrutin, "l`objectif est de permettre à la Côte d`Ivoire de
poursuivre son processus démocratique dans la stabilité, en adressant un
signal fort à ceux qui ont appelé ces derniers mois à la violence et à la
haine", a souligné un diplomate du Conseil de sécurité.
Une clause de rendez-vous dans six mois permettra "d`effectuer un examen à
mi-parcours (..) en vue éventuellement de modifier, de lever ou de maintenir
avant l`échéance du 30 avril 2012 en partie ou dans sa totalité le régime des
sanctions en fonction des progrès qui auront été accomplis dans le processus
de paix", souligne la résolution.
Elle "engage instamment tous les combattants armés illégaux à déposer les
armes immédiatement".
"Cette résolution devrait contribuer au retour de la paix et de la
stabilité dans mon pays", a souligné l`ambassadeur de Côte d`Ivoire à l`ONU,
Youssoufou Bamba, devant le Conseil de sécurité.
Ce dernier a souligné que la vie en Côte d`Ivoire revenait à la normale.
Les magasins ont rouvert, de même que les écoles.
"La réconciliation nationale est le problème le plus pressant", a-t-il dit,
soulignant que le président Ouattara devait mettre sur pied dans les
prochaines semaines une commission à la réconciliation nationale.
l`ONU a adopté jeudi une résolution qui reconduit pour un an et non plus six
mois l`embargo sur les armes vers la Côte d`Ivoire afin d`assurer une
transition apaisée au président Alassane Ouattara.
Les quinze pays membres du Conseil ont adopté cette résolution qui
reconduit jusqu`au 30 avril 2012 l`embargo sur les armes à destination de la
Côte d`Ivoire et l`embargo sur les exportations de diamants bruts provenant du
pays.
Il porte aussi sur l`interdiction de voyages et le gel des avoirs de six
personnes, dont Laurent Gbagbo et sa femme Simone.
Le Conseil de sécurité avait instauré cet embargo pour un an en octobre
2008. Il avait été reconduit en 2009 pour la même durée, puis pour six mois en
octobre 2010.
Cette reconduction pour un an permet en outre d`aller au-delà des élections
législatives qui doivent avoir lieu avant la fin de l`année en Côte d`Ivoire.
En vue d`un tel scrutin, "l`objectif est de permettre à la Côte d`Ivoire de
poursuivre son processus démocratique dans la stabilité, en adressant un
signal fort à ceux qui ont appelé ces derniers mois à la violence et à la
haine", a souligné un diplomate du Conseil de sécurité.
Une clause de rendez-vous dans six mois permettra "d`effectuer un examen à
mi-parcours (..) en vue éventuellement de modifier, de lever ou de maintenir
avant l`échéance du 30 avril 2012 en partie ou dans sa totalité le régime des
sanctions en fonction des progrès qui auront été accomplis dans le processus
de paix", souligne la résolution.
Elle "engage instamment tous les combattants armés illégaux à déposer les
armes immédiatement".
"Cette résolution devrait contribuer au retour de la paix et de la
stabilité dans mon pays", a souligné l`ambassadeur de Côte d`Ivoire à l`ONU,
Youssoufou Bamba, devant le Conseil de sécurité.
Ce dernier a souligné que la vie en Côte d`Ivoire revenait à la normale.
Les magasins ont rouvert, de même que les écoles.
"La réconciliation nationale est le problème le plus pressant", a-t-il dit,
soulignant que le président Ouattara devait mettre sur pied dans les
prochaines semaines une commission à la réconciliation nationale.