L'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan a rapporté lundi que l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril dernier, avait finalement accepté sa défaite à la présidentielle de novembre dernier.
Le groupe des anciens emmené par Kofi Annan a pu rencontrer Laurent Gbagbo, actuellement détenu dans le nord de la Côte d'Ivoire. Ce dernier "n'a pas donné l'impression qu'il contestait la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de novembre; il l'a acceptée", a rapporté l'ancien secrétaire général de l'ONU. "Dans notre conversation avec lui, le langage était clair", a-t-il ajouté.
Le groupe des anciens, qui comprend aussi l'archevêque sud-africain Desmond Tutu et l'ancienne présidente irlandaise Mary Robinson, a également rencontré le président Alassane Ouattara, dont la victoire a été reconnue par l'ONU et l'Union africaine. Laurent Gbagbo avait refusé de lui céder le pouvoir jusqu'à sa capture par les forces de son adversaire.
Les anciens ont plaidé pour la réconciliation après les mois de violences qui ont suivi l'élection et ont exhorté Alassane Ouattara à tenir sa promesse de former une commission de vérité et réconciliation. Les anciens ont aussi demandé au gouvernement ivoirien d'autoriser la Croix-Rouge internationale à rendre visite à Laurent Gbagbo, son épouse et d'autres détenus.
Le groupe des anciens emmené par Kofi Annan a pu rencontrer Laurent Gbagbo, actuellement détenu dans le nord de la Côte d'Ivoire. Ce dernier "n'a pas donné l'impression qu'il contestait la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de novembre; il l'a acceptée", a rapporté l'ancien secrétaire général de l'ONU. "Dans notre conversation avec lui, le langage était clair", a-t-il ajouté.
Le groupe des anciens, qui comprend aussi l'archevêque sud-africain Desmond Tutu et l'ancienne présidente irlandaise Mary Robinson, a également rencontré le président Alassane Ouattara, dont la victoire a été reconnue par l'ONU et l'Union africaine. Laurent Gbagbo avait refusé de lui céder le pouvoir jusqu'à sa capture par les forces de son adversaire.
Les anciens ont plaidé pour la réconciliation après les mois de violences qui ont suivi l'élection et ont exhorté Alassane Ouattara à tenir sa promesse de former une commission de vérité et réconciliation. Les anciens ont aussi demandé au gouvernement ivoirien d'autoriser la Croix-Rouge internationale à rendre visite à Laurent Gbagbo, son épouse et d'autres détenus.