Les Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) du président Alassane Ouattara ont poursuivi mardi des opérations débutées lundi dans l`ouest d`Abidjan contre des miliciens favorables à l`ex-chef d`Etat Laurent Gbagbo, a-t-on appris auprès du ministère de la Défense.
"Les opérations se poursuivent pour mettre hors d`état de nuire les miliciens qui ne veulent pas déposer les armes", a déclaré à l`AFP le porte-parole du ministère, le capitaine Léon Kouakou Alla.
Les opérations sont dirigées contre des miliciens "retranchés" au niveau de la base navale, au bord de la lagune, dans le sud-est de l`immense quartier populaire de Yopougon (ouest), a précisé à l`AFP un officier FRCI, qui n`a pas souhaité être nommé.
Des tirs intermittents d`arme légère, et parfois d`arme lourde, ont été entendus depuis le quartier du Plateau (centre), situé de l`autre côté de la lagune, face à la base navale, ont constaté des journalistes de l`AFP.
Une femme a été légèrement blessée par une balle perdue mardi au Plateau, provoquant un court mouvement de panique de la population dans ce quartier administratif et des affaires.
Comme la veille, des FRCI ont pris position en fin d`après-midi sur les deux ponts menant au Plateau, dans le but de bloquer les éventuels miliciens qui tenteraient de s`enfuir par la lagune en utilisant des embarcations, a déclaré à l`AFP l`officier FRCI.
Le président Alassane Ouattara, au pouvoir depuis l`arrestation le 11 avril de Laurent Gbagbo, avait menacé le 22 avril de "désarmer par le force" les derniers groupes armés encore actifs, s`ils ne déposaient pas "rapidement" les armes.
Une cinquantaine de miliciens avaient déposé une vingtaine d`armes vendredi lors d`une cérémonie symbolique à Yopougon, en présence de chefs des FRCI.
Le 28 avril, les FRCI avaient mené une opération d`envergure dans le quartier d`Abobo (nord) pour mettre fin à l`activité des miliciens du "commando invisible", dirigé par l`ex-putschiste Ibrahim Coulibaly, dit "IB" qui a été tué par les FRCI dans un quartier proche où il s`était réfugié.
Le porte-parole du gouvernement a par ailleurs fait état "d`actes de vandalisme isolés, perpétrés par des groupes de prisonniers évadés armés, souvent vêtus de treillis militaires", sans préciser si cela concernait seulement Abidjan.
"Les opérations se poursuivent pour mettre hors d`état de nuire les miliciens qui ne veulent pas déposer les armes", a déclaré à l`AFP le porte-parole du ministère, le capitaine Léon Kouakou Alla.
Les opérations sont dirigées contre des miliciens "retranchés" au niveau de la base navale, au bord de la lagune, dans le sud-est de l`immense quartier populaire de Yopougon (ouest), a précisé à l`AFP un officier FRCI, qui n`a pas souhaité être nommé.
Des tirs intermittents d`arme légère, et parfois d`arme lourde, ont été entendus depuis le quartier du Plateau (centre), situé de l`autre côté de la lagune, face à la base navale, ont constaté des journalistes de l`AFP.
Une femme a été légèrement blessée par une balle perdue mardi au Plateau, provoquant un court mouvement de panique de la population dans ce quartier administratif et des affaires.
Comme la veille, des FRCI ont pris position en fin d`après-midi sur les deux ponts menant au Plateau, dans le but de bloquer les éventuels miliciens qui tenteraient de s`enfuir par la lagune en utilisant des embarcations, a déclaré à l`AFP l`officier FRCI.
Le président Alassane Ouattara, au pouvoir depuis l`arrestation le 11 avril de Laurent Gbagbo, avait menacé le 22 avril de "désarmer par le force" les derniers groupes armés encore actifs, s`ils ne déposaient pas "rapidement" les armes.
Une cinquantaine de miliciens avaient déposé une vingtaine d`armes vendredi lors d`une cérémonie symbolique à Yopougon, en présence de chefs des FRCI.
Le 28 avril, les FRCI avaient mené une opération d`envergure dans le quartier d`Abobo (nord) pour mettre fin à l`activité des miliciens du "commando invisible", dirigé par l`ex-putschiste Ibrahim Coulibaly, dit "IB" qui a été tué par les FRCI dans un quartier proche où il s`était réfugié.
Le porte-parole du gouvernement a par ailleurs fait état "d`actes de vandalisme isolés, perpétrés par des groupes de prisonniers évadés armés, souvent vêtus de treillis militaires", sans préciser si cela concernait seulement Abidjan.