Après son allégeance faite au Président de la République SEM Alassane OUATTARA, la Gendarmerie Nationale s'est aussitôt mise au travail, sur les instructions du Président et du Premier Ministre, Ministre de la Défense.
Suite au constat de l'insécurité générale dans le district d'Abidjan après les violences postélectorales, la Gendarmerie Nationale a été instruite par les nouvelles autorités, aux côtés de la Police Nationale, des Forces Républicaines de Côte d'Ivoire, Licorne et ONUCI, de rétablir la sécurité au profit des populations.
Le Général de Corps d'Armée Kassaraté, Commandant Supérieur de la Gendarmerie a, à cet effet, initié avec tous ces frères d'armes, des patrouilles conjointes de sécurisation de la ville d'Abidjan.
La première du genre a débuté dès le 14 Avril 2011 dans la zone sud d'Abidjan avec la Gendarmerie Nationale, les FRCI et Licorne. Quant à la zone Nord, plus affectée par les violences, les patrouilles mixtes n'ont pu débuter que deux jours après, soit le Samedi 16 avril 2011. D'abord avec la Licorne, ensuite avec les FRCI, la Gendarmerie Nationale a sillonné les quartiers des Deux Plateaux, de Cocody, d'Angré, de la Palmeraie et de la Riviera. Rassurer les populations, montrer la cohésion et le brassage des forces de sécurité en présence, tel était le but de cette mission, et les populations l'ont bien accueillie.
Alors que les patrouilles mixtes se poursuivent avec les différentes forces, un autre souci sécuritaire en latence devrait être résolu, celui des missiles, grenades, obus, roquettes et autres engins qui n'ont pu exploser lors des combats.
Les cas sont nombreux, et l'opération menée par les éléments de l'Unité d'Intervention de la Gendarmerie Nationale a débuté le mercredi 20 avril 2011. Plateau, Ministère de l'Intérieur, préfecture de police, Commandement Supérieur, Adjamé, Cocody chez des particuliers, des opérations de dépollution de zones ont été menées par les hommes du Général Kassaraté en vue de neutraliser et/ou d'enlever des engins qui n'avaient pas explosé.
Pour l'heure, les différentes opérations menées se sont déroulées avec un franc succès et les habitants en sont satisfaits.
Bien que n'ayant pas achevé la destruction de tous les explosifs, les sollicitations étant nombreuses, la Gendarmerie Nationale reste disponible pour accomplir sa mission. Elle peut être jointe au numéro suivant : 20.
La gendarmerie Nationale demande aux populations qui sont concernées par ce genre de situation de bien vouloir garder le calme, d'éviter de toucher ou manipuler ces engins, mais surtout d'alerter au numéro ci-dessus mentionné. Une équipe d'intervention se chargera de faire exploser le ou les engins.
La Gendarmerie Nationale se tient donc à la disposition des populations pour son bien-être sécuritaire.
Voici les numéros utiles de sécurité: 20 22 91 05. 20 22 91 42. 20 22 90 95
Suite au constat de l'insécurité générale dans le district d'Abidjan après les violences postélectorales, la Gendarmerie Nationale a été instruite par les nouvelles autorités, aux côtés de la Police Nationale, des Forces Républicaines de Côte d'Ivoire, Licorne et ONUCI, de rétablir la sécurité au profit des populations.
Le Général de Corps d'Armée Kassaraté, Commandant Supérieur de la Gendarmerie a, à cet effet, initié avec tous ces frères d'armes, des patrouilles conjointes de sécurisation de la ville d'Abidjan.
La première du genre a débuté dès le 14 Avril 2011 dans la zone sud d'Abidjan avec la Gendarmerie Nationale, les FRCI et Licorne. Quant à la zone Nord, plus affectée par les violences, les patrouilles mixtes n'ont pu débuter que deux jours après, soit le Samedi 16 avril 2011. D'abord avec la Licorne, ensuite avec les FRCI, la Gendarmerie Nationale a sillonné les quartiers des Deux Plateaux, de Cocody, d'Angré, de la Palmeraie et de la Riviera. Rassurer les populations, montrer la cohésion et le brassage des forces de sécurité en présence, tel était le but de cette mission, et les populations l'ont bien accueillie.
Alors que les patrouilles mixtes se poursuivent avec les différentes forces, un autre souci sécuritaire en latence devrait être résolu, celui des missiles, grenades, obus, roquettes et autres engins qui n'ont pu exploser lors des combats.
Les cas sont nombreux, et l'opération menée par les éléments de l'Unité d'Intervention de la Gendarmerie Nationale a débuté le mercredi 20 avril 2011. Plateau, Ministère de l'Intérieur, préfecture de police, Commandement Supérieur, Adjamé, Cocody chez des particuliers, des opérations de dépollution de zones ont été menées par les hommes du Général Kassaraté en vue de neutraliser et/ou d'enlever des engins qui n'avaient pas explosé.
Pour l'heure, les différentes opérations menées se sont déroulées avec un franc succès et les habitants en sont satisfaits.
Bien que n'ayant pas achevé la destruction de tous les explosifs, les sollicitations étant nombreuses, la Gendarmerie Nationale reste disponible pour accomplir sa mission. Elle peut être jointe au numéro suivant : 20.
La gendarmerie Nationale demande aux populations qui sont concernées par ce genre de situation de bien vouloir garder le calme, d'éviter de toucher ou manipuler ces engins, mais surtout d'alerter au numéro ci-dessus mentionné. Une équipe d'intervention se chargera de faire exploser le ou les engins.
La Gendarmerie Nationale se tient donc à la disposition des populations pour son bien-être sécuritaire.
Voici les numéros utiles de sécurité: 20 22 91 05. 20 22 91 42. 20 22 90 95