Le rêve fou des refondateurs ! Malgré la chute de leur mentor Laurent Gbagbo et surtout son assignation en résidence surveillée à Korhogo au Nord du pays, certains de ses proches nourrissent encore le secret espoir de revenir au pouvoir. Il s’agit principalement de ceux qui ont pu s’évanouir dans la nature pour réapparaître au Ghana, principalement à Accra. De jour comme de nuit, ces cadres LMP, tiennent sous la houlette de Kadet Bertin, conseiller chargé des questions militaires du président déchu, des réunions dans les locaux de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Accra. Objectif : déstabiliser le régime du président Alassane Ouattara. Kadet Bertin aurait même confié à des proches que lui et ses camarades frontistes ne laisseront jamais travailler le chef de l’Etat. Bien plus, ces refondateurs prétendent avoir même suffisamment d’argent pour créer une rébellion contre les autorités actuelles du pays.
Selon une source concordante, la résistance des miliciens et autres mercenaires à la solde de Laurent Gbagbo à Yopougon, était orchestrée par Kadet Bertin, avec l’aide de quelques éléments des ex-FDS (Forces de Défense et de Sécurité). La randonnée meurtrière de ces chiens de guerre dans le pays profond (Dabou, Grand-Lahou, Fresco, Soubré, San Pedro…), après leur déroute à Yopougon, serait également l’œuvre du sieur Kadet Bertin. L’homme est l’instigateur des tueries perpétrées par ces miliciens et mercenaires libériens, dans cette partie du pays. Pas moins de 120 personnes ont déjà trouvé la mort. Le but étant manifestement d’instaurer la chienlit, histoire de terroriser les populations, et contrarier le retour à la normalité.
D’après une indiscrétion, Kadet Bertin, qui était interné à la Pisam (Polyclinique Sainte-Anne Marie) de Cocody à la suite d’un accident de la circulation fin mars, s’est réfugié dès l’arrestation de Laurent Gbagbo dans une clinique à Marcory. C’est de cette « cachette », qu’il ralliera le Ghana, où il mène des opérations subversives, au nez et à la barbe des autorités ghanéennes. C’est le lieu justement de s’interroger sur le silence, on ne peut plus, coupable de John Atta Mills, chef d’Etat ghanéen, qui semble se rendre complice de ce qui a tout l’air d’un putsch en préparation. Pour un pays aussi démocratique que le Ghana, servir de base arrière à la déstabilisation d’un président démocratiquement élu est vraiment incompréhensible…
Y.S
Selon une source concordante, la résistance des miliciens et autres mercenaires à la solde de Laurent Gbagbo à Yopougon, était orchestrée par Kadet Bertin, avec l’aide de quelques éléments des ex-FDS (Forces de Défense et de Sécurité). La randonnée meurtrière de ces chiens de guerre dans le pays profond (Dabou, Grand-Lahou, Fresco, Soubré, San Pedro…), après leur déroute à Yopougon, serait également l’œuvre du sieur Kadet Bertin. L’homme est l’instigateur des tueries perpétrées par ces miliciens et mercenaires libériens, dans cette partie du pays. Pas moins de 120 personnes ont déjà trouvé la mort. Le but étant manifestement d’instaurer la chienlit, histoire de terroriser les populations, et contrarier le retour à la normalité.
D’après une indiscrétion, Kadet Bertin, qui était interné à la Pisam (Polyclinique Sainte-Anne Marie) de Cocody à la suite d’un accident de la circulation fin mars, s’est réfugié dès l’arrestation de Laurent Gbagbo dans une clinique à Marcory. C’est de cette « cachette », qu’il ralliera le Ghana, où il mène des opérations subversives, au nez et à la barbe des autorités ghanéennes. C’est le lieu justement de s’interroger sur le silence, on ne peut plus, coupable de John Atta Mills, chef d’Etat ghanéen, qui semble se rendre complice de ce qui a tout l’air d’un putsch en préparation. Pour un pays aussi démocratique que le Ghana, servir de base arrière à la déstabilisation d’un président démocratiquement élu est vraiment incompréhensible…
Y.S