Le Coordinateur du Programme National de Réinsertion et de Réhabilitation Communautaire (PNRRC), Ouattara Daniel Kossomina, a animé une conférence le dimanche 15 mai 2011, à la salle de conférence de sa structure. Une sortie qui intervient une semaine après le lancement de l’opération d’identification des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) avec les éléments du Commandant Chérif Ousmane. Il s’agissait, pour lui de présenter les biens fondés de cette opération pour la sécurisation de la nation.
«La crise post-électorale a favorisé l’émergence, sur l’ensemble du territoire, de personnes en treillis et en armes qu’il convient d’identifier. Cette crise a fait évoluer les effectifs déjà enregistrés au niveau des FRCI. Il est donc impératif pour l’Etat de maîtriser, les effectifs par une identification précise de chaque élément, de désarmer les miliciens, de démobiliser les ex-combattants afin de faire d’eux des acteurs de développement pour une réinsertion dans la société et dans le tissu économique », a indiqué Ouattara Daniel Kossomina, présentant l’avantage de cette opération d’identification. Il a, par ailleurs, précisé que cette opération ne prenait en compte les jeunes qui se sont familiarisés avec les armes. Et le but du PNRRC est de les amener à s’en détourner. L’opération permettra non seulement de préparer l’encasernement des FRCI, comme l’a souhaité le président Alassane Ouattara mais aussi de créer un environnement de sécurité en Côte d’Ivoire. Raison pour laquelle, le PNRRC s’est donné un délai allant jusqu’au 26 mai 2011, afin d’achever l’opération dans la ville d’Abidjan. Après les éléments du Commandant Chérif Ousmane, le cap sera mis, dès ce lundi 16 mai sur le Groupement tactique 2 et 4, au camp commando d’Abobo. Le jeudi 25 mai c’est au tour du groupement tactique 1 de la garde républicaine de Treichville de recevoir la délégation de PNRRC. Le coordinateur du PNRRC, Ouattara Daniel Kossomina a souligné que personne ne sera laissé-pour-compte au sortir de cette opération. Un bilan à mi-parcours a été présenté. 2276 éléments des FRCI du GT3 ont été identifiés à la date du samedi 14 mai, quand 37 miliciens volontaires ont été profilés par le PNRRC depuis le 5 mai dernier.
K.Ange
«La crise post-électorale a favorisé l’émergence, sur l’ensemble du territoire, de personnes en treillis et en armes qu’il convient d’identifier. Cette crise a fait évoluer les effectifs déjà enregistrés au niveau des FRCI. Il est donc impératif pour l’Etat de maîtriser, les effectifs par une identification précise de chaque élément, de désarmer les miliciens, de démobiliser les ex-combattants afin de faire d’eux des acteurs de développement pour une réinsertion dans la société et dans le tissu économique », a indiqué Ouattara Daniel Kossomina, présentant l’avantage de cette opération d’identification. Il a, par ailleurs, précisé que cette opération ne prenait en compte les jeunes qui se sont familiarisés avec les armes. Et le but du PNRRC est de les amener à s’en détourner. L’opération permettra non seulement de préparer l’encasernement des FRCI, comme l’a souhaité le président Alassane Ouattara mais aussi de créer un environnement de sécurité en Côte d’Ivoire. Raison pour laquelle, le PNRRC s’est donné un délai allant jusqu’au 26 mai 2011, afin d’achever l’opération dans la ville d’Abidjan. Après les éléments du Commandant Chérif Ousmane, le cap sera mis, dès ce lundi 16 mai sur le Groupement tactique 2 et 4, au camp commando d’Abobo. Le jeudi 25 mai c’est au tour du groupement tactique 1 de la garde républicaine de Treichville de recevoir la délégation de PNRRC. Le coordinateur du PNRRC, Ouattara Daniel Kossomina a souligné que personne ne sera laissé-pour-compte au sortir de cette opération. Un bilan à mi-parcours a été présenté. 2276 éléments des FRCI du GT3 ont été identifiés à la date du samedi 14 mai, quand 37 miliciens volontaires ont été profilés par le PNRRC depuis le 5 mai dernier.
K.Ange