« Les forces de l’ancien président Laurent Gbagbo et celles du nouveau chef
d`Etat Alassane Ouattara ont commis des crimes de guerre et des crimes
contre l`humanité en Côte d`Ivoire, au cours des six mois de crise
postélectorale », a affirmé, mercredi, Amnesty International. Dans un
volumineux rapport de 84 pages, intitulé "Ils lui ont demandé sa carte
d`identité et l’ont abattu", l’organisation des droits de l’homme donne la
parole à des victimes et des témoins de massacres, de viols et de chasses à
l’homme, dans l’ouest du pays. Les événements de l’ouest du pays ont été
d’une telle extrême cruauté qu’il serait indécent de banaliser ou d’en faire un
fonds de commerce politique en engageant une polémique politique autour
d’eux. Les organisations humanitaires et celles spécialisées dans la défense des
droits humains, semblent, cependant, verser dans cette surenchère qui les
amène à accuser à tout va. Depuis fin mars, les Forces républicaines de Côte
d’Ivoire, FRCI, sont indexées. Amnesty International vient de confirmer ces
accusations qui sonnent comme un acharnement. En effet, formées le 17 mars
2011, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire se sont engagées dans une
guerre contre l’imposture de Laurent Gbagbo. Mais, cette guerre menée par
les forces commandées par le ministre de la Défense, Guillaume Soro, n’avait
rien de sauvage. Bien au contraire, les Forces républicaines ont adopté une
stratégie militaire bien connue de tous. De la capture des villes de Zouan
Hounien, Bin-Houyé et Doké, à la chute de Bloléquin, en passant par Toulepleu,
Guiglo et Duékoué, les Forces républicaines ont agi de façon tout à fait ouverte,
sous le regard des médias. Le mode opératoire était le suivant : avant la prise
d’une ville, un cordon de sécurité était organisé autour d’elle. Le porte-parole
militaire du Premier ministre, le Capitaine Alla Kouadio, exhortait les Forces de
défense et de sécurité à déposer les armes ou à rejoindre les Forces
républicaines. Pendant des jours, il prenait à témoin la Communauté nationale
et internationale sur les exactions commises par les nombreux mercenaires
recrutés par les cadres de la région. Les villes ont été soumises aux pillages
systématiques des mercenaires et miliciens. Toutes les villes de l’Ouest ont été
martyrisées. Non pas par les combats, mais plutôt à la suite des exactions
commises.
D’ailleurs, si tant il est que les Forces républicaines en avaient gros sur le cœur
contre les partisans de Gbagbo, elles auraient, en toute logique, attaqué ses
parents. Les enquêteurs d’Amnesty internationale peuvent faire un tour à
Mama, village natal de l’ancien Chef de l’Etat. Tout y est en place, y compris
sa résidence. Aucune aiguille n’y a bougé. C’est la preuve que les hommes de
Guillaume Soro n’ont pas été éduqués à l’esprit de la vengeance et des tueries
massives comme veulent le faire croire certaines organisations internationales.
Il est indéniable que des exactions ont été commises à l’ouest. De tous les
bords. Et certainement par des hommes armés se réclamant du Président
Ouattara. Mais, ce qui est tendancieux c’est de vouloir impliquer les Forces
républicaines en tant qu’entité organisée et commandée, dans des massacres.
Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire sont venues plutôt sauver les Ivoiriens
d’un génocide savamment planifié depuis dix ans. Il faut le leur savoir gré.
Charles Sanga
d`Etat Alassane Ouattara ont commis des crimes de guerre et des crimes
contre l`humanité en Côte d`Ivoire, au cours des six mois de crise
postélectorale », a affirmé, mercredi, Amnesty International. Dans un
volumineux rapport de 84 pages, intitulé "Ils lui ont demandé sa carte
d`identité et l’ont abattu", l’organisation des droits de l’homme donne la
parole à des victimes et des témoins de massacres, de viols et de chasses à
l’homme, dans l’ouest du pays. Les événements de l’ouest du pays ont été
d’une telle extrême cruauté qu’il serait indécent de banaliser ou d’en faire un
fonds de commerce politique en engageant une polémique politique autour
d’eux. Les organisations humanitaires et celles spécialisées dans la défense des
droits humains, semblent, cependant, verser dans cette surenchère qui les
amène à accuser à tout va. Depuis fin mars, les Forces républicaines de Côte
d’Ivoire, FRCI, sont indexées. Amnesty International vient de confirmer ces
accusations qui sonnent comme un acharnement. En effet, formées le 17 mars
2011, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire se sont engagées dans une
guerre contre l’imposture de Laurent Gbagbo. Mais, cette guerre menée par
les forces commandées par le ministre de la Défense, Guillaume Soro, n’avait
rien de sauvage. Bien au contraire, les Forces républicaines ont adopté une
stratégie militaire bien connue de tous. De la capture des villes de Zouan
Hounien, Bin-Houyé et Doké, à la chute de Bloléquin, en passant par Toulepleu,
Guiglo et Duékoué, les Forces républicaines ont agi de façon tout à fait ouverte,
sous le regard des médias. Le mode opératoire était le suivant : avant la prise
d’une ville, un cordon de sécurité était organisé autour d’elle. Le porte-parole
militaire du Premier ministre, le Capitaine Alla Kouadio, exhortait les Forces de
défense et de sécurité à déposer les armes ou à rejoindre les Forces
républicaines. Pendant des jours, il prenait à témoin la Communauté nationale
et internationale sur les exactions commises par les nombreux mercenaires
recrutés par les cadres de la région. Les villes ont été soumises aux pillages
systématiques des mercenaires et miliciens. Toutes les villes de l’Ouest ont été
martyrisées. Non pas par les combats, mais plutôt à la suite des exactions
commises.
D’ailleurs, si tant il est que les Forces républicaines en avaient gros sur le cœur
contre les partisans de Gbagbo, elles auraient, en toute logique, attaqué ses
parents. Les enquêteurs d’Amnesty internationale peuvent faire un tour à
Mama, village natal de l’ancien Chef de l’Etat. Tout y est en place, y compris
sa résidence. Aucune aiguille n’y a bougé. C’est la preuve que les hommes de
Guillaume Soro n’ont pas été éduqués à l’esprit de la vengeance et des tueries
massives comme veulent le faire croire certaines organisations internationales.
Il est indéniable que des exactions ont été commises à l’ouest. De tous les
bords. Et certainement par des hommes armés se réclamant du Président
Ouattara. Mais, ce qui est tendancieux c’est de vouloir impliquer les Forces
républicaines en tant qu’entité organisée et commandée, dans des massacres.
Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire sont venues plutôt sauver les Ivoiriens
d’un génocide savamment planifié depuis dix ans. Il faut le leur savoir gré.
Charles Sanga