Auréolé de son titre de meilleur dirigeant 2010, le président des Magnans d’Adjamé le dédie à l’ensemble des présidents de club et explique pourquoi il soutient la candidature de Jacques Anouma aux prochaines élections de la FIF.
Quel Stella-Club d’Adjamé ver ra-t-on cette saison ?
C’est le début de saison. Et comme tout début de saison, c’est difficile. Nous avons, Dieu merci, tout notre effectif. Il s’agit d’une course de fond. Nous apprécierons ensemble le fond de jeu de mon groupe et on verra.
Le Stella a la particularité de réussir à conserver ses meilleurs joueurs, chaque saison. Quelle est votre secret ?
(Sourire) Il n’y a pas de secret. Il y a une bonne organisation de l’équipe dirigeante. Nous avons des devoirs et des droits envers les joueurs que nous essayons de respecter. C’est cette reconnaisance là que les joueurs nous donnent. Ils préfèrent travailler dans la stabilité et espérer être transférés à l’étranger un jour.
Quel est l’objectif du Stella, cette année ?
Depuis 2004-2005, l’objectif du club est d’être africain. Ça n’a donc pas changé. L’an dernier, nous avons disputé la Coupe UFOA et nous avons échoué à un point du podium mais les enfants ont repris confiance. Ils ont un défi à relever car un CV, c’est avant tout pour le joueur et non pour le dirigeant. Par la grâce de Dieu, nous tenterons de terminer sur le podium.
Vous avez un Uruguayen comme entraîneur, Roberto Carlos Paulette. Qu’attendez-vous de lui ?
Lui-même a déjà déterminé ce qui l’attend c’est-à-dire réaliser une bonne saison et terminer sur le podium. C’est le peu qu’on puisse demander à un entraîneur expatrié. Il a la charge de reconstruire toutes nos catégories. Il faut pouvoir former la relève.
En tant que président de la conférence des présidents, que pensez-vous du retrait de la candidature d’Alain Lobognon ?
Je n’ai pas de commentaires à faire. C’est une bonne chose car les élections, en sport, laissent trop de traces. C’est pourquoi le consensus est toujours bon. Dans un pays qui veut se réconcilier, c’est une bonne chose.
Etes-vous pour la candidature de l’actuel président Jacques Anou ma ?
Cela, je l’ai dit. Et je le répète. Nous soutenons sa candidature. Nous voulons la stabilité. Une stabilité dans le milieu sportif est très demandée car cela fait moins de vagues.
Fraîchement élu meilleur dirigeant sportif 2010, quels commentaires faites-vous ?
Je dédie mon trophée à tous les dirigeants de clubs. C’aurait pu être quelqu’un d’autre. Le jury a décidé que ce soit moi. Certainement que l’an 2010 était le mien. J’ai déjà été fait Chevalier du mérite sportif. Aujourd’hui, j’ai la palme de meilleur dirigeant.
Un titre qui fait cependant jaser…
Contre cela, vous ne pouvez rien. Même en football, il y a dix entraîneurs pour une équipe. Chacun y va de son commentaire. Un jury a ses critères que nous n’avons pas. Je ne m’attarderai pas à cela. Ce sont des esprits chagrins qui jasent. Comme on dit, les chiens aboient, la caravane passe…
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Quel Stella-Club d’Adjamé ver ra-t-on cette saison ?
C’est le début de saison. Et comme tout début de saison, c’est difficile. Nous avons, Dieu merci, tout notre effectif. Il s’agit d’une course de fond. Nous apprécierons ensemble le fond de jeu de mon groupe et on verra.
Le Stella a la particularité de réussir à conserver ses meilleurs joueurs, chaque saison. Quelle est votre secret ?
(Sourire) Il n’y a pas de secret. Il y a une bonne organisation de l’équipe dirigeante. Nous avons des devoirs et des droits envers les joueurs que nous essayons de respecter. C’est cette reconnaisance là que les joueurs nous donnent. Ils préfèrent travailler dans la stabilité et espérer être transférés à l’étranger un jour.
Quel est l’objectif du Stella, cette année ?
Depuis 2004-2005, l’objectif du club est d’être africain. Ça n’a donc pas changé. L’an dernier, nous avons disputé la Coupe UFOA et nous avons échoué à un point du podium mais les enfants ont repris confiance. Ils ont un défi à relever car un CV, c’est avant tout pour le joueur et non pour le dirigeant. Par la grâce de Dieu, nous tenterons de terminer sur le podium.
Vous avez un Uruguayen comme entraîneur, Roberto Carlos Paulette. Qu’attendez-vous de lui ?
Lui-même a déjà déterminé ce qui l’attend c’est-à-dire réaliser une bonne saison et terminer sur le podium. C’est le peu qu’on puisse demander à un entraîneur expatrié. Il a la charge de reconstruire toutes nos catégories. Il faut pouvoir former la relève.
En tant que président de la conférence des présidents, que pensez-vous du retrait de la candidature d’Alain Lobognon ?
Je n’ai pas de commentaires à faire. C’est une bonne chose car les élections, en sport, laissent trop de traces. C’est pourquoi le consensus est toujours bon. Dans un pays qui veut se réconcilier, c’est une bonne chose.
Etes-vous pour la candidature de l’actuel président Jacques Anou ma ?
Cela, je l’ai dit. Et je le répète. Nous soutenons sa candidature. Nous voulons la stabilité. Une stabilité dans le milieu sportif est très demandée car cela fait moins de vagues.
Fraîchement élu meilleur dirigeant sportif 2010, quels commentaires faites-vous ?
Je dédie mon trophée à tous les dirigeants de clubs. C’aurait pu être quelqu’un d’autre. Le jury a décidé que ce soit moi. Certainement que l’an 2010 était le mien. J’ai déjà été fait Chevalier du mérite sportif. Aujourd’hui, j’ai la palme de meilleur dirigeant.
Un titre qui fait cependant jaser…
Contre cela, vous ne pouvez rien. Même en football, il y a dix entraîneurs pour une équipe. Chacun y va de son commentaire. Un jury a ses critères que nous n’avons pas. Je ne m’attarderai pas à cela. Ce sont des esprits chagrins qui jasent. Comme on dit, les chiens aboient, la caravane passe…
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo