Les producteurs ivoiriens de riz se sont rencontrés le jeudi 2 mai 2011 à l’auditorium de la Caistab-Plateau pour fédérer leurs associations afin de renforcer leur secteur et amener la Côte d’Ivoire à s’auto-suffire dans les prochaines années. C’était au cours d’une assemblée générale constitutive.
Venus de toutes les régions de Côte d’Ivoire pour prendre part à cette assemblée générale, les riziculteurs entendent participer au développement du pays en optimisant la production du riz. Aussi souhaitent-ils relever le défi de l’autosuffisance alimentaire. En vue de redorer le blason de leur organisation qui a été secouée du fait de la crise, ils ont décidé d’unir leurs efforts en se dotant de la FENARIZ-CI (Fédération nationale des riziculteurs de Côte d’Ivoire). En clôture de cette assemblée constitutive, Singo Sidiki a été élu à l’unanimité par les membres du conseil d’administration de la Fenariz-ci. Selon le tout nouveau président du Conseil d’Administration, l’objectif de son organe est de répondre aux préoccupations actuelles des producteurs. « Il s’agit en réponse de cette nouvelle donne, de la professionnalisation des producteurs, du renforcement des équipements matériels, de recherches des ressources financières de cette nouvelle politique agricole », a-t-il souligné.
Toute chose qui selon lui permettra d’atteindre l’assurance de la sécurité alimentaire de la population ivoirienne. A sa suite, Thomas Tiacoh, président de l’Anariz-ci (Association nationale des riziculteurs de Côte d’Ivoire a déclaré : «Il faut que nous allions au devant de la vision que nous nous faisons ». Aussi, a-t-il invité les producteurs à l’union, au travail. « Nous n’avons pas assez de temps à perdre, il faut bâtir et rebâtir les rôles pour éviter la dualité à la tête de l’organisation », a souhaité Thomas Tiacoh. Pour sa part, Emmanuel Coulibaly, représentant le Dg de l’ONDR (Office national pour le développement du riz), a traduit la reconnaissance de sa structure pour la création de cette fédération. « Le Dg souhaite que ce soit une fédération forte. L’ONDR est prêt à appuyer tous les producteurs sans distinction de région et de religion », a-t-il indiqué. Avant d’émettre le vœu de transmettre fidèlement les différentes résolutions qui seront prises au cours de l’assemblée générale constitutive à son directeur général.
Armand K.
Venus de toutes les régions de Côte d’Ivoire pour prendre part à cette assemblée générale, les riziculteurs entendent participer au développement du pays en optimisant la production du riz. Aussi souhaitent-ils relever le défi de l’autosuffisance alimentaire. En vue de redorer le blason de leur organisation qui a été secouée du fait de la crise, ils ont décidé d’unir leurs efforts en se dotant de la FENARIZ-CI (Fédération nationale des riziculteurs de Côte d’Ivoire). En clôture de cette assemblée constitutive, Singo Sidiki a été élu à l’unanimité par les membres du conseil d’administration de la Fenariz-ci. Selon le tout nouveau président du Conseil d’Administration, l’objectif de son organe est de répondre aux préoccupations actuelles des producteurs. « Il s’agit en réponse de cette nouvelle donne, de la professionnalisation des producteurs, du renforcement des équipements matériels, de recherches des ressources financières de cette nouvelle politique agricole », a-t-il souligné.
Toute chose qui selon lui permettra d’atteindre l’assurance de la sécurité alimentaire de la population ivoirienne. A sa suite, Thomas Tiacoh, président de l’Anariz-ci (Association nationale des riziculteurs de Côte d’Ivoire a déclaré : «Il faut que nous allions au devant de la vision que nous nous faisons ». Aussi, a-t-il invité les producteurs à l’union, au travail. « Nous n’avons pas assez de temps à perdre, il faut bâtir et rebâtir les rôles pour éviter la dualité à la tête de l’organisation », a souhaité Thomas Tiacoh. Pour sa part, Emmanuel Coulibaly, représentant le Dg de l’ONDR (Office national pour le développement du riz), a traduit la reconnaissance de sa structure pour la création de cette fédération. « Le Dg souhaite que ce soit une fédération forte. L’ONDR est prêt à appuyer tous les producteurs sans distinction de région et de religion », a-t-il indiqué. Avant d’émettre le vœu de transmettre fidèlement les différentes résolutions qui seront prises au cours de l’assemblée générale constitutive à son directeur général.
Armand K.
