Agboville - L'ancien maire d'Agboville, Frédéric Sotchi Aké Mbo s'est défendu dimanche devant des femmes du grand marché de n'être pas celui qui a favorisé l'arrivée des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) dans le département d'Agboville, suite aux rumeurs persistantes qui l'incriminaient.
Selon M. Aké Mbo, la création des FRCI par le Président Alassane Ouattara est une volonté politique qui découle de l'accod politique de Ouagadougou (APO) signé en mars 2007 entre les ex-Forces nouvelles et le gouvernement de l'ancien président Laurent Gbagbo.
Leur arrivée à Agboville s'inscrit dans un vaste élan de libération du pays après la confiscation du pouvoir par Laurent Gbagbo au terme de l'élection présidentielle du 28 novembre, a-t-il fait savoir, indiquant qu'elle n'a été nullement inspirée par lui
"Des rumeurs font passer les FRCI comme des assaillants qui vont venir à Agboville et les populations vont entrer en brousse et que les forces de Laurent Gbagbo viendraient les libérer. Cela est ancré dans l'esprit des gens.(...). Nous devons leur dire que c'est une armée républicaine qui est là pour sécuriser la population", a-t-il expliqué.
L'ex-maire a par indiqué que sa rencontre avec les femmes du marché d'Agboville est l'entame d'une série d'échanges qu'il initie pour faire tomber les barrières de la méfiance et de la suspicion et sutout dire la vérité sur les rumeurs qui ont couru dans la département d'Agboville durant la crise post-électorale.
"Pour attendre que la commission dialogue, vérité et réconciliation arrive à Agboville, nous devons en tant que responsables politiques initier le dialogue pour permettre que la réconciliation ici se fasse dans une atmosphère apaisée et dans un esprit de coutoisie", a conclu le délégué départemental du RHDP (coalitio au pouvoir).
Selon M. Aké Mbo, la création des FRCI par le Président Alassane Ouattara est une volonté politique qui découle de l'accod politique de Ouagadougou (APO) signé en mars 2007 entre les ex-Forces nouvelles et le gouvernement de l'ancien président Laurent Gbagbo.
Leur arrivée à Agboville s'inscrit dans un vaste élan de libération du pays après la confiscation du pouvoir par Laurent Gbagbo au terme de l'élection présidentielle du 28 novembre, a-t-il fait savoir, indiquant qu'elle n'a été nullement inspirée par lui
"Des rumeurs font passer les FRCI comme des assaillants qui vont venir à Agboville et les populations vont entrer en brousse et que les forces de Laurent Gbagbo viendraient les libérer. Cela est ancré dans l'esprit des gens.(...). Nous devons leur dire que c'est une armée républicaine qui est là pour sécuriser la population", a-t-il expliqué.
L'ex-maire a par indiqué que sa rencontre avec les femmes du marché d'Agboville est l'entame d'une série d'échanges qu'il initie pour faire tomber les barrières de la méfiance et de la suspicion et sutout dire la vérité sur les rumeurs qui ont couru dans la département d'Agboville durant la crise post-électorale.
"Pour attendre que la commission dialogue, vérité et réconciliation arrive à Agboville, nous devons en tant que responsables politiques initier le dialogue pour permettre que la réconciliation ici se fasse dans une atmosphère apaisée et dans un esprit de coutoisie", a conclu le délégué départemental du RHDP (coalitio au pouvoir).
