«On note un ton relativement critique à saluer. Beaucoup d’efforts ont été
faits et il faut saluer la volonté des dirigeants de faire avancer les choses. Mais
en même temps, il faut noter une situation paradoxale dans ce qui est dit. Car
on assiste à un recul de la liberté de la presse. C’est la première fois en Côte
d’Ivoire que des hommes en armes occupent des rédactions pendant plusieurs
jours et plusieurs mois. Beaucoup d’entreprises de presse ont subi des dégâts.
Il ne faut pas parler en termes de journaux proches du RDHP ou LMP. Il faut
travailler à ce que les journalistes puissent exercer dans de bonnes conditions.
C’est-à-dire que tout ce qui est entrave doit être corrigé.»
Propos recueillis par Koné Saydoo
faits et il faut saluer la volonté des dirigeants de faire avancer les choses. Mais
en même temps, il faut noter une situation paradoxale dans ce qui est dit. Car
on assiste à un recul de la liberté de la presse. C’est la première fois en Côte
d’Ivoire que des hommes en armes occupent des rédactions pendant plusieurs
jours et plusieurs mois. Beaucoup d’entreprises de presse ont subi des dégâts.
Il ne faut pas parler en termes de journaux proches du RDHP ou LMP. Il faut
travailler à ce que les journalistes puissent exercer dans de bonnes conditions.
C’est-à-dire que tout ce qui est entrave doit être corrigé.»
Propos recueillis par Koné Saydoo