La situation des droits de l'homme en Côte d'Ivoire préoccupe les autorités américaines. C'est ce qu'a affirmé hier, l'ambassadeur Carter 3, au terme d'une audience avec le président de la République, Alassane Ouattara.
"J'étais ici pour présenter le nouveau chef de notre section politique économique. C'était un échange sur beaucoup de questions auxquelles le gouvernement doit faire face. Des questions de réformes économiques, réformes des questions de sécurité, questions des droits de l'Homme, les affaires commerciales. Nous avons fait un petit tour d'horizon avec le président de la République. Nous sommes en train de préciser notre programme d'engagement avec la Côte d'Ivoire, avec les questions d'assistance économique, parce que nous sommes en train de reconstruire franchement un programme d'assistance bilatérale avec la Côte d'Ivoire dans les domaines économiques, sociaux et militaires. Ça va prendre un peu de temps, beaucoup de dialogue, parce que nous voulons cibler les ressources que nous sommes en train de trouver pour aider le redémarrage de la Côte d'Ivoire. La question des droits de l'Homme est très importante. C'est la pierre angulaire des relations bilatérales avec la Côte d'Ivoire. Nous avons vu le rapport de Human Rights Watch, des Nations Unies.
Nous avons constaté aussi la déclaration du gouvernement avant-hier sur ces questions qui sont très importantes. C'est clair que le gouvernement de Côte d'Ivoire est très ouvert. Il invite tout un groupe à faire des rapports. Il y a des débats mais c'est une bonne chose. C'est très important d'avoir un dialogue ouvert avec tous les membres de la société civile, toutes les Ong internationales, pour aborder les questions des droits de l'Homme parce que c'est un travail qui continue. Nous avons des défis aux Etats-Unis avec les questions des droits de l'Homme. Il faut avoir un dialogue avec la société civile. C'est clair qu'Alassane Ouattara veut avoir ce dialogue et nous sommes ici pour soutenir ce dialogue", a t il déclaré.
Propos recueillis par Jules Claver Aka
"J'étais ici pour présenter le nouveau chef de notre section politique économique. C'était un échange sur beaucoup de questions auxquelles le gouvernement doit faire face. Des questions de réformes économiques, réformes des questions de sécurité, questions des droits de l'Homme, les affaires commerciales. Nous avons fait un petit tour d'horizon avec le président de la République. Nous sommes en train de préciser notre programme d'engagement avec la Côte d'Ivoire, avec les questions d'assistance économique, parce que nous sommes en train de reconstruire franchement un programme d'assistance bilatérale avec la Côte d'Ivoire dans les domaines économiques, sociaux et militaires. Ça va prendre un peu de temps, beaucoup de dialogue, parce que nous voulons cibler les ressources que nous sommes en train de trouver pour aider le redémarrage de la Côte d'Ivoire. La question des droits de l'Homme est très importante. C'est la pierre angulaire des relations bilatérales avec la Côte d'Ivoire. Nous avons vu le rapport de Human Rights Watch, des Nations Unies.
Nous avons constaté aussi la déclaration du gouvernement avant-hier sur ces questions qui sont très importantes. C'est clair que le gouvernement de Côte d'Ivoire est très ouvert. Il invite tout un groupe à faire des rapports. Il y a des débats mais c'est une bonne chose. C'est très important d'avoir un dialogue ouvert avec tous les membres de la société civile, toutes les Ong internationales, pour aborder les questions des droits de l'Homme parce que c'est un travail qui continue. Nous avons des défis aux Etats-Unis avec les questions des droits de l'Homme. Il faut avoir un dialogue avec la société civile. C'est clair qu'Alassane Ouattara veut avoir ce dialogue et nous sommes ici pour soutenir ce dialogue", a t il déclaré.
Propos recueillis par Jules Claver Aka