La liste n’est pas exhaustive. Elle ne saurait l’être, tellement elle est longue. La liste des crimes commis et restés impunis sous l’ex-chef de l’Etat ivoirien bat tous les records en Afrique.
De mémoire d’Ivoirien, jamais un régime n’aura autant marqué négativement l’histoire de la Côte d’Ivoire que le Front populaire ivoirien. En l’espace de quelques semaines, Laurent Gbagbo et ses camarades ont multiplié les scandales et commis des crimes restés jusque-là impunis. Il est difficile de leur accorder des circonstances atténuantes, nonobstant les jérémiades et larmes de crocodile des politiciens hypocrites.
2 décembre 2010
Attaque du siège du RDR à Yopougon par des soldats pro-Gbagbo : 13 morts et plusieurs blessés.
16 décembre 2010
Le Gouvernement Soro décide d’installer le nouveau DG de la RTI. La marche du RHDP sur la RTI est sauvagement réprimée. Plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. Quelques jours plus tard, 70 corps sont découverts à N’Dotré
Janvier 2011
Des enlèvements des militants ou sympathisants du RDR sont perpétrés pendant le couvre-feu imposé par Gbagbo.
12 FEVRIER 2011
Début à Abidjan d`une nouvelle flambée de violences, notamment, dans
le quartier pro-Ouattara d`Abobo (nord). Au moins trois jeunes sont tués par balles lorsque les forces de l’ordre fidèles à Gbagbo dispersent des partisans de son rival qui entendaient répondre à l`appel à une "révolution" à
l`égyptienne.
19-25 Février 2011
Abobo est le théâtre de violents affrontements, au lance-roquettes notamment, entre les Forces de défense et de sécurité (FDS), loyales à Gbagbo, et des insurgés non identifiés. Depuis janvier, les combats étaient sporadiques à Abobo.
25 Février
Yamoussoukro, capitale politique (centre), est gagnée par les violences. Les ex-Forces nouvelles (FN), qui tiennent le nord, suite à ce qu’elles ont appelé une provocation, s`affrontent dans l`ouest aux forces loyales à Gbagbo. Charles Blé Goudé, appelle les jeunes à créer des comités pour empêcher "par tous les moyens" de circuler la force de l`ONU (Onuci), accusée de soutenir le camp Ouattara.
28 Février
Deux employés de l`Onuci sont brièvement enlevés à Abidjan par des jeunes pro-Gbagbo. Les forces de Gbagbo tirent sur des experts de l`ONU à Yamoussoukro, selon l`Onuci.
3 mars 2011
L’armée de Gbagbo n’hésite pas à tirer avec un char de combat sur une foule de femmes qui manifestaient pacifiquement pour réclamer que la volonté du peuple soit respectée. 7 femmes sont atrocement tuées à Abobo. Les images sont insoutenables. Le Conseil de sécurité de l`ONU craint une "résurgence de la guerre civile". Barack Obama, le président américain parle de faillite morale de Gbagbo et ses compagnons.
4 mars 2011
Le panel de l`Union africaine (UA) sur la crise exige "l`arrêt immédiat des tueries" et des manifestations pouvant "dégénérer en troubles et en violences". Paris demande une enquête de l`ONU. Plus de 370 personnes ont été tuées dans des violences depuis fin 2010 (ONU). Le Haut commissariat aux réfugiés suspend des opérations dans l`ouest.
5 mars 2011
Les mercenaires de Gbagbo tirent à l’arme lourde à Koumassi sur des jeunes du RHDP qui manifestaient pour soutenir l’arrivée de Blaise Compaoré, président du Faso, dans le cadre du Panel de cinq chefs d’Etat de l’UA. Les roquettes font une dizaine de morts.
17 mars 2011
Plusieurs obus sont lancés dans le marché à Abobo et des cours communes faisant entre 25 et 40 morts.
Février à mars
Des milliers de mercenaires libériens recrutés à coût de millions par Laurent Gbagb et ses camarades, sèment la désolation au sein des populations de l’Ouest. En effet, dans le cadre de la révolution et de la marche qui devait les conduire aux portes d’Abidjan, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire ont conquis les villes de l’ouest montagneux les unes après les autres. Après le contrôle de Zouan-Hounien, Bin-Houyé et Toulépleu, Guiglo. Blolequin et Duékoué, l’horreur était à son comble. Charniers et fosses communes ont été découverts. Conséquences des exactions des mercenaires qui occupaient la zone.
De mémoire d’Ivoirien, jamais un régime n’aura autant marqué négativement l’histoire de la Côte d’Ivoire que le Front populaire ivoirien. En l’espace de quelques semaines, Laurent Gbagbo et ses camarades ont multiplié les scandales et commis des crimes restés jusque-là impunis. Il est difficile de leur accorder des circonstances atténuantes, nonobstant les jérémiades et larmes de crocodile des politiciens hypocrites.
2 décembre 2010
Attaque du siège du RDR à Yopougon par des soldats pro-Gbagbo : 13 morts et plusieurs blessés.
16 décembre 2010
Le Gouvernement Soro décide d’installer le nouveau DG de la RTI. La marche du RHDP sur la RTI est sauvagement réprimée. Plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. Quelques jours plus tard, 70 corps sont découverts à N’Dotré
Janvier 2011
Des enlèvements des militants ou sympathisants du RDR sont perpétrés pendant le couvre-feu imposé par Gbagbo.
12 FEVRIER 2011
Début à Abidjan d`une nouvelle flambée de violences, notamment, dans
le quartier pro-Ouattara d`Abobo (nord). Au moins trois jeunes sont tués par balles lorsque les forces de l’ordre fidèles à Gbagbo dispersent des partisans de son rival qui entendaient répondre à l`appel à une "révolution" à
l`égyptienne.
19-25 Février 2011
Abobo est le théâtre de violents affrontements, au lance-roquettes notamment, entre les Forces de défense et de sécurité (FDS), loyales à Gbagbo, et des insurgés non identifiés. Depuis janvier, les combats étaient sporadiques à Abobo.
25 Février
Yamoussoukro, capitale politique (centre), est gagnée par les violences. Les ex-Forces nouvelles (FN), qui tiennent le nord, suite à ce qu’elles ont appelé une provocation, s`affrontent dans l`ouest aux forces loyales à Gbagbo. Charles Blé Goudé, appelle les jeunes à créer des comités pour empêcher "par tous les moyens" de circuler la force de l`ONU (Onuci), accusée de soutenir le camp Ouattara.
28 Février
Deux employés de l`Onuci sont brièvement enlevés à Abidjan par des jeunes pro-Gbagbo. Les forces de Gbagbo tirent sur des experts de l`ONU à Yamoussoukro, selon l`Onuci.
3 mars 2011
L’armée de Gbagbo n’hésite pas à tirer avec un char de combat sur une foule de femmes qui manifestaient pacifiquement pour réclamer que la volonté du peuple soit respectée. 7 femmes sont atrocement tuées à Abobo. Les images sont insoutenables. Le Conseil de sécurité de l`ONU craint une "résurgence de la guerre civile". Barack Obama, le président américain parle de faillite morale de Gbagbo et ses compagnons.
4 mars 2011
Le panel de l`Union africaine (UA) sur la crise exige "l`arrêt immédiat des tueries" et des manifestations pouvant "dégénérer en troubles et en violences". Paris demande une enquête de l`ONU. Plus de 370 personnes ont été tuées dans des violences depuis fin 2010 (ONU). Le Haut commissariat aux réfugiés suspend des opérations dans l`ouest.
5 mars 2011
Les mercenaires de Gbagbo tirent à l’arme lourde à Koumassi sur des jeunes du RHDP qui manifestaient pour soutenir l’arrivée de Blaise Compaoré, président du Faso, dans le cadre du Panel de cinq chefs d’Etat de l’UA. Les roquettes font une dizaine de morts.
17 mars 2011
Plusieurs obus sont lancés dans le marché à Abobo et des cours communes faisant entre 25 et 40 morts.
Février à mars
Des milliers de mercenaires libériens recrutés à coût de millions par Laurent Gbagb et ses camarades, sèment la désolation au sein des populations de l’Ouest. En effet, dans le cadre de la révolution et de la marche qui devait les conduire aux portes d’Abidjan, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire ont conquis les villes de l’ouest montagneux les unes après les autres. Après le contrôle de Zouan-Hounien, Bin-Houyé et Toulépleu, Guiglo. Blolequin et Duékoué, l’horreur était à son comble. Charniers et fosses communes ont été découverts. Conséquences des exactions des mercenaires qui occupaient la zone.
