La Fesci survivra ou ne survira pas? En tout cas, le premier responsable de ce syndicat d’étudiants a déjà pris son bâton de pèlerin. Mian Augustin, en sa qualité de secrétaire général de cette fédération estudiantine a décidé d’entrer en activité. Pour lui, il faut réunir tous les ingrédients afin d’assurer la survie de la Fesci, dans cette nouvelle Côte d’Ivoire qui se veut excellente sous Alassane Ouattara. Et dans sa quête de solutions, cet allié de
Blé Goudé, estime trouver une oreille attentive auprès du Secrétaire général des Force Nouvelles. Mian Augustin s’est donc retrouvé hier à Bouaké où il a été reçu à la Fondation Soro KiGgafori Guillaume au quartier Kénédy par M. Sékongo Félicien, le conseiller spécial du SG des FN, chargé du monde associatif et syndical. Lors des échanges, le SG de la FESCI n’a pas fait de mystère sur l’objet de sa visite porté essentiellement sur la pérennité de son mouvement : «Vous savez que la Côte d’Ivoire sort d’une crise grave. Et que la Fesci n’est pas restée en marge de cette crise. Nous avons été secoués. Beaucoup d’étudiants sont à l’extérieur du pays. Des élèves ne sont pas encore revenus en classe. La Fesci est en difficulté. Nous nous sommes dits que le Premier ministre Soro Guillaume, étant un ancien secrétaire de la Fesci, qui est aujourd’hui aux commandes des affaires, était indiqué à nous donner des orientations, des conseils, prêt à nous mettre sur la voie susceptible et de nous permettre de ressortir de cette situation, la tête haute. Repositionner positivement la Fesci dans l’opinion nationale et internationale.» a plaidé l’actuel SG de la Fesci, avant de souhaiter que cela soit fait de sorte que «la Fesci se remette sur les rails, et qu’elle devienne véritablement un instrument de développement au service de l’école ivoirienne». En réaction, M. Sékongo Félicien a appelé le leader de la Fesci à se remettre au travail pour soigner l’image de son mouvement auprès des ivoiriens. «Vous ne vous êtes pas trompé de chemin, cependant vous devez faire en sorte que les ivoiriens puissent vous
aimer à nouveau » a t-il suggéré. Aussi, le conseiller spécial de M. Guillaume Soro a donné toutes les assurances au SG de la Fesci qu’il fera remonter ces préoccupations à qui de droit, qui n’est autre que le Premier ministre.
MAIGA Idrissa à Bouaké
Blé Goudé, estime trouver une oreille attentive auprès du Secrétaire général des Force Nouvelles. Mian Augustin s’est donc retrouvé hier à Bouaké où il a été reçu à la Fondation Soro KiGgafori Guillaume au quartier Kénédy par M. Sékongo Félicien, le conseiller spécial du SG des FN, chargé du monde associatif et syndical. Lors des échanges, le SG de la FESCI n’a pas fait de mystère sur l’objet de sa visite porté essentiellement sur la pérennité de son mouvement : «Vous savez que la Côte d’Ivoire sort d’une crise grave. Et que la Fesci n’est pas restée en marge de cette crise. Nous avons été secoués. Beaucoup d’étudiants sont à l’extérieur du pays. Des élèves ne sont pas encore revenus en classe. La Fesci est en difficulté. Nous nous sommes dits que le Premier ministre Soro Guillaume, étant un ancien secrétaire de la Fesci, qui est aujourd’hui aux commandes des affaires, était indiqué à nous donner des orientations, des conseils, prêt à nous mettre sur la voie susceptible et de nous permettre de ressortir de cette situation, la tête haute. Repositionner positivement la Fesci dans l’opinion nationale et internationale.» a plaidé l’actuel SG de la Fesci, avant de souhaiter que cela soit fait de sorte que «la Fesci se remette sur les rails, et qu’elle devienne véritablement un instrument de développement au service de l’école ivoirienne». En réaction, M. Sékongo Félicien a appelé le leader de la Fesci à se remettre au travail pour soigner l’image de son mouvement auprès des ivoiriens. «Vous ne vous êtes pas trompé de chemin, cependant vous devez faire en sorte que les ivoiriens puissent vous
aimer à nouveau » a t-il suggéré. Aussi, le conseiller spécial de M. Guillaume Soro a donné toutes les assurances au SG de la Fesci qu’il fera remonter ces préoccupations à qui de droit, qui n’est autre que le Premier ministre.
MAIGA Idrissa à Bouaké
